Del'autre cÎté du périph de David CharhonSortie le 19 décembre 2012Infos et réservations

AprĂšs le triomphe d'Intouchables et du CĂ©sar du meilleur acteur pour son acteur principal, on attendait tous de voir quel serait le prochain grand rĂŽle d'Omar Sy, annoncĂ© dans plusieurs projets en France et Ă  l'Ă©tranger. C'est finalement avec la comĂ©die d'action De l'autre cĂŽtĂ© du pĂ©riph' qu'Omar effectue son retour dans la peau du hĂ©ros aux cĂŽtĂ©s de Laurent Lafitte, la rĂ©vĂ©lation des Petits mouchoirs de Guillaume Canet. L'ambition de cette nouvelle comĂ©die Ă©tait d'offrir enfin Ă  la France un duo de flics Ă  la sauce L'Arme Fatale. Pari risquĂ© mais nĂ©anmoins audacieux, qu'en est-il au final ? Ousmane DiahkatĂ© est flic dans une brigade de Bobigny, il est persuadĂ© d'avoir repĂ©rĂ© pendant une planque une figure de la pĂšgre, mais personne ne lui accorde de crĂ©dit. C'est lorsqu'il dĂ©couvre le corps de la femme d'un grand patron dans une citĂ© qu'il voit l'occasion de jumeler les deux enquĂȘtes. Mais le lieutenant François Monge, membre du 36 quai des orfĂšvres et favori pour ĂȘtre promu commissaire ne partage pas les idĂ©es et les mĂ©thodes d'Ousmane. Mais les deux hommes n'ont pas le choix, ils sont officiellement Ă©quipiers sur cette affaire. Et pourtant qu'il s'annonçait mal ce nouveau duo ! RĂ©alisĂ© par David Charhon Cyprien, vous m'avez compris et gratifiĂ© d'une bande-annonce pas trĂ©s allĂ©chante, le film dĂ©marre pĂ©niblement avec une course-poursuite agrĂ©able mais pas toujours rythmĂ©e et surtout un humour assez douteux. En effet le film avait comme but de faire table rase des clichĂ©s mais la premiĂšre demi-heure en est remplie ! Ainsi les habitants de Paris sont tous racistes et les habitants des citĂ©s sont tous allergiques aux flics, agressifs, vulgaires et violents. Ce n'est qu'une fois dĂ©marrĂ©e la sĂ©quence chez une rĂ©sidente de citĂ© que le rĂ©alisateur ose enfin bousculer le politiquement correct et les idĂ©es reçues mĂȘme si celles-ci resteront prĂ©sentes hĂ©las. A partir de cet instant les gags font enfin mouche, les dialogues et situations sont vraiment tordants pour ma part j'hĂ©site toujours entre la poursuite Ă  pieds dans la citĂ© et la sĂ©quence dans un club Ă©changiste. Chose notable, le film n'est pas avare en scĂšnes d'action, avec quelques poursuites et surtout une bonne fusillade Ă  la moitiĂ© de l'histoire. Un rythme donc globalement maĂźtrisĂ© malgrĂ© des longueurs Ă©videntes au Lafitte est quand Ă  lui excellent en fan de Belmondo droit dans ses pompes et limite facho, tandis qu'Omar assure son show en faisant ce qu'il fait le mieux nous faire rire. Le seul soucis c'est qu'il est impossible de ne pas penser Ă  Intouchables tant certaines situations se ressemblent la danse, le frĂšre dĂ©linquant est devenu un fils voulant ĂȘtre flic mais restant turbulant... on espĂšre donc qu'Omar saura sortir rapidement de ce registre avant de tourner en revanche si le scĂ©nario part Ă  la base d'une bonne idĂ©e avec une histoire ancrĂ©e dans la crise sociale actuelle, les choses partent un peu en cacahuĂšte avec une trame assez confuse et une fin trop prĂ©cipitĂ©e. A croire qu'il n'y avait plus de budget pour rajouter un final façon L'Arme Fatale et que le rĂ©alisateur a dit aux acteurs de courrir en ligne droite en tirant un coup de feu de temps en temps. Mais ne boudons pas notre plaisir le film est malgrĂ© tout une bonne surprise, drĂŽle et pas avare en action chose plutĂŽt rare pour une comĂ©die française. Attention Ă©galement Ă  la prĂ©sence marquĂ©e du sexe dans le film, avec des rĂ©pliques et situations assez osĂ©es du mĂȘme calibre que L'amour dure trois ans pour les rĂ©pliques et Short Bus en nettement plus soft pour les situations Ma note *** Posted on Saturday, 22 December 2012 at 214 AMEdited on Saturday, 22 December 2012 at 232 AM
Titreoriginal : De l'autre cĂŽtĂ© du pĂ©riph. Fiche mise Ă  jour le 20/07/2017. AnnĂ©e de production : 2012. RĂ©alisĂ© par : David Charhon. Acteurs principaux : Omar Sy, Laurent Lafitte, Sabrina Ouazani. Date de sortie : 19 DĂ©cembre 2012. Date de reprise : SynopsisAvisBande-annonceCastingAnnĂ©e de production 2012Pays France Genre Film - ComĂ©die DurĂ©e 96 min. -10 Synopsis Le cadavre de l'Ă©pouse de Jean-Eric Chaligny, le leader du patronat, est retrouvĂ© sous un pont, un matin Ă  Bobigny. C'est l'inspecteur de la Brigade financiĂšre locale, Ousmane DiakhitĂ©, qui a donnĂ© l'alerte. Mais c'est Ă  l'ambitieux capitaine de la Criminelle de Paris, François Monge, qu'est confiĂ©e l'affaire. Ousmane tente d'Ă©veiller l'intĂ©rĂȘt de ce dernier en lui montrant une photo de la victime Ă  la sortie d'un tripot clandestin. Il parvient mĂȘme Ă  convaincre son supĂ©rieur de l'utilitĂ© d'ĂȘtre associĂ© Ă  l'enquĂȘte. Au grand dam de Monge, qui prend de haut son collĂšgue de banlieue aux mĂ©thodes peu diplomates L'avis de TĂ©lĂ©poche Une comĂ©die policiĂšre aux airs de tĂ©lĂ©film, qui pĂątit d'un scĂ©nario et d'une mise en scĂšne sans imagination et de personnages secondaires inexistants. Le tandem de flics dĂ©sassortis Omar Sy-Laurent Lafitte fonctionne heureusement parfaitement Bande-annonce Vous regardez De l'autre cĂŽtĂ© du pĂ©riph. Votre bande-annonce dĂ©marrera dans quelques secondes. Casting de De l'autre cĂŽtĂ© du pĂ©riph Acteurs et actricesLaurent LafitteFrançois MongeYoussef HajdiGiovanni / NabilRĂ©alisateurScĂ©nario
Del'autre cÎté du périph' (2011) David Charhon. De l'autre cÎté du périph'. (2011) David Charhon. Pays de production. France. Sortie en France. 19 décembre 2012. Procédé image. 35 mm - Couleur.
SYNOPSIS Un matin, un corps est retrouvĂ© sans vie prĂšs d'un vieux tripot clandestin, dans une citĂ© de Bobigny. Il s'agit de l'Ă©pouse du trĂšs influent Jean-Eric Chaligny, premier patron de France, au coeur d'un malaise social qui secoue le pays depuis quelques semaines. Deux hommes issus de mondes radicalement opposĂ©s se partagent l'enquĂȘte Ousmane DiakhitĂ©, policier de la section financiĂšre de Bobigny, et François Monge, capitaine de la police criminelle de Paris. Leurs pistes les entraĂźnent tour Ă  tour des deux cĂŽtĂ©s du pĂ©riphĂ©rique parisien, entre le syndicat patronal de la capitale et les affaires clandestines de la banlieue, Ă  Bobigny...
Lesaudiences du jeudi 8 octobre pour les programmes diffusés en premiÚre partie de soirée. Le film à voir ce soir : De l'autre cÎté du périph. Omar Sy, le héros d'Intouchables, et Laurent

Synopsis Un matin Ă  l’aube dans une citĂ© de Bobigny, prĂšs d’un vieux tripot clandestin, est retrouvĂ© le corps sans vie de Eponine Chaligny, femme du trĂšs influent Jean-Éric Chaligny, premier patron de France, au centre d’un climat social extrĂȘme qui secoue la France depuis quelques semaines. Ce matin-lĂ  deux mondes radicalement opposĂ©s vont alors se croiser Ousmane DiakitĂ©, policier de la section financiĂšre de Bobigny et François Monge, capitaine de la fameuse police criminelle de Paris. Leur enquĂȘte va les emmener d’un cĂŽtĂ© Ă  Paris et son syndicat patronal, de l’autre en banlieue de Bobigny et ses affaires clandestines. Tour Ă  tour, de l’autre cĂŽtĂ© du 14Production et distribution 4Box Office cumulĂ©Box Office chronologieSorties Ă  l'international 23PaysDistributeurAcheteurDate de sortieTitre localDĂ©solĂ©, aucun rĂ©sultat ne correspond Ă  votre TV CumulĂ©Diffusions TV dĂ©tail par paysPhotos 13GĂ©nĂ©rique dĂ©taillĂ© 17Mentions techniquesLong-mĂ©trageLangue de tournage FrançaisAutre pays coproducteur FranceNationalitĂ© 100% français FranceAnnĂ©e de production 2011Sortie en France 19/12/2012Etat d'avancement SortiVisa dĂ©livrĂ© le 10/12/2012Type de couleurs Couleur

OVZ] Télécharger: De l'autre cÎté du périph 2012 Film Complet Gratuit Français 1080p en Ligne Au revoir je suis Emmanuel Michaud. Je veux vous attribuer
Posted on Streaming CompletLoin du pĂ©riph Films VFLoin du pĂ©riphLoin Du PĂ©riph 2022 Film VF Complet – Streaming avec sous-titres en FrançaisLoin du pĂ©riph6Notes de film 6/10319 rösterDate de sortie 2022-05-06Production Mandarin Production / Wiki page du pĂ©riphGenres ComĂ©dieActionDix ans aprĂšs avoir fait Ă©quipe, Ousmane et François, deux flics que tout oppose, reforment Ă  contrecƓur leur tandem de choc. Pas franchement ravis de se retrouver, ils mettent le cap sur une petite ville des Alpes pour enquĂȘter sur un meurtre particuliĂšrement sordide. Mais, alors qu’ils pensent avoir Ă©lucidĂ© l’affaire, Ousmane et François dĂ©couvrent une rĂ©alitĂ© bien plus terrifiante ! De surprises en rebondissements, leur escapade loin du pĂ©riph les pousserait mĂȘme Ă  s’apprĂ©cier
 Loin du pĂ©riph Streaming avec sous-titres en FrançaisTitre du film PopularitĂ© 121 MinutesSlogan Deux flics, un meurtre et pas l’ombre d’une du pĂ©riph streaming complet films vf avec sous-titres en français gratuitement. Regardez un film en ligne ou regardez les meilleures vidĂ©os HD 1080p gratuites sur votre ordinateur de bureau, ordinateur portable, tablette, iPhone, iPad, Mac Pro et plus du pĂ©riph – Acteurs et actricesLoin du pĂ©riph Bande annonceStreaming avec sous-titres en FrançaisFilm CompletNous travaillons actuellement sur un nouveau format pour notre newsletter ! Rendez-vous dans quelques jours pour en savoir plus
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Cetarticle : De l'autre cĂŽtĂ© du pĂ©riph. par Omar Sy DVD . 1,82 € Il ne reste plus que 1 exemplaire(s) en stock. ExpĂ©diĂ© et vendu par momox fr. Recevez votre article 25 aoĂ»t - 30. Yao. par Omar Sy DVD . 10,00 € En stock. ExpĂ©diĂ© et vendu par Amazon. Le Flic de Belleville. par Omar Sy DVD . 10,00 € Il ne reste plus que 4 exemplaire(s) en stock (d'autres D’aprĂšs la devise libertĂ©, Ă©galitĂ©, fraternitĂ© », l’égalitĂ© figure parmi les principes fondamentaux de notre RĂ©publique. Elle se traduit par exemple par une justice appliquĂ©e de maniĂšre identique Ă  tous les citoyens, une protection de la libertĂ© de conscience de chacun mais aussi un accĂšs Ă©gal Ă  la culture et l’éducation. C’est concernant cette derniĂšre que je veux Ă©crire aujourd’hui. J’ai grandi Ă  Pantin en Seine-Saint-Denis, dans le neuf-trois » comme on dit. J’y ai effectuĂ© ma scolaritĂ© de la maternelle Ă  l’école MĂ©hul jusqu’à la sixiĂšme au collĂšge Lavoisier. En cinquiĂšme, j’ai bĂ©nĂ©ficiĂ© d’une dĂ©rogation Ă  titre exceptionnel pour aller dans un collĂšge prisĂ© du centre de Paris celui de Charlemagne dans le Marais, station Saint-Paul, dans un quartier cotĂ©. LĂ -bas, j’ai dĂ©couvert les disparitĂ©s qu’il y avaient entre mon collĂšge de banlieue et ce nouvel Ă©tablissement. Entre diffĂ©rences Ă©normes des profils sociaux des Ă©lĂšves, de l’importance accordĂ©e Ă  la culture, des moyens employĂ©s pour l’éducation ainsi que des clichĂ©s Ă  foison sur mon dĂ©partement, voici mon tĂ©moignage. DiffĂ©rence dans les moyens accordĂ©s Ă  l’éducation La premiĂšre fois que j’ai vu l’établissement du Marais, j’ai Ă©tĂ© surprise par sa beautĂ©. Peut-ĂȘtre banal pour certains, pour moi c’était une vraie merveille entourĂ© des rues calmes et sanctuarisĂ©es du quatriĂšme arrondissement, ce collĂšge Ă©tait rĂ©ellement beau. On avait envie d’y Ă©tudier, il Ă©tait attirant, le hall, la cour, les couloirs dans lesquels le parquet brille, l’ensemble m’attrayait. Je l’ai perçu en contraste total avec le collĂšge Lavoisier, blanc, vieux, usĂ© avec son hall qui ressemble Ă  celui d’une piscine. LycĂ©e Charlemagne, Paris – Libre de droits DĂ©tail en apparence inutile, mais lorsque je suis arrivĂ©e au collĂšge Charlemagne, la premiĂšre chose qui m’a marquĂ©e, c’est quand je suis allĂ©e aux toilettes. Attention, je ne veux pas faire lĂ  de trivialitĂ© mais juste exposer un fait, un constat j’ai Ă©tĂ© surprise par la propretĂ© et surtout par la prĂ©sence de papier. Simple mais pourtant Ă©tonnant Ă  Pantin il n’y avait pas de papier dans les toilettes, parce que soi-disant les Ă©lĂšves jouaient avec »  Ce dĂ©tail trivial en masquait d’autres, beaucoup plus importants dans les moyens accordĂ©s Ă  l’éducation entre la banlieue et Paris. Autre diffĂ©rence plus sĂ©rieuse Ă  Charlemagne, pour un effectif d’environ 480 Ă©lĂšves, il y avait une CPE et quatre surveillants tandis qu’à Lavoisier pour un effectif de plus de 800 Ă©lĂšves il y avait un CPE et demi et six surveillants. Les parents d’élĂšves ainsi que l’équipe Ă©ducative ont dĂ» se battre pendant des mois voire des annĂ©es pour obtenir un second poste en 2016. J’ai par ailleurs le souvenir de semaines passĂ©es en attendant d’avoir un remplaçant en sixiĂšme dans certains cours il m’est arrivĂ© de rester trois semaines sans professeure de français. D’autres professeurs pouvaient ĂȘtre absents des mois et n’étaient pas forcĂ©ment remplacĂ©s. À Charlemagne, les professeurs Ă©taient toujours remplacĂ©s rapidement et mĂȘme ceux dans des matiĂšres comme les arts plastiques en cinquiĂšme, une professeure absente a Ă©tĂ© remplacĂ©e trĂšs rapidement Ă  la fin de l’annĂ©e pendant deux semaines. Les disparitĂ©s concernant les remplacements, l’entretien des locaux ainsi que le nombre de CPE et de surveillants ne sont malheureusement pas les seules, les moyens donnĂ©s Ă  la culture dans les deux Ă©tablissements sont aussi concernĂ©s. Avant toute chose, Ă  Pantin, la culture a une place importante et de nombreuses sorties sont organisĂ©es en primaire au cinĂ©ma, Ă  la bibliothĂšque ; la ville organise mĂȘme des classes orchestre pour Ă©veiller les jeunes Ă  la musique
 Toutefois, ça ne suffit pas Ă  faire aimer la culture Ă  ceux qui n’y ont pas accĂšs et trĂšs vite, les livres Ă©pais deviennent synonymes d’ intello », de bolosse ». Ces Ă©lĂšves ne sont pas fautifs de ce comportement, c’est la maniĂšre dont on les exclut de ce processus qui les cantonnent Ă  ce rejet de la culture. Lire notre article intitulĂ© Le Pass culture la grande promesse ». En effet, comment ĂȘtre Ă©veillĂ© lorsque l’on se sent rejetĂ© ? Pour certains, culture est synonyme de richesse, de luxe. En sixiĂšme, un jour, une Ă©lĂšve avec qui je parlais m’a dit qu’elle pensait que j’étais une bourgeoise vivant dans une grande maison parce que je lisais des livres et Ă©tais cultivĂ©e. Et pourtant, j’ai Ă©tĂ© Ă©levĂ©e dans un milieu relativement modeste avec deux parents comĂ©diens qui, au vu de leur mĂ©tier ont pu me transmettre le goĂ»t de la lecture. J’ai eu cet accĂšs, eux non. En banlieue, la culture est vue comme telle un luxe. À Charlemagne, la culture Ă©tait aussi importante. Les Ă©lĂšves ont besoin d’ĂȘtre cultivĂ©s parce que ça leur permet de se sentir supĂ©rieurs aux autres et de briller. Ils vivent en allant au théùtre, au cinĂ©ma, Ă  l’opĂ©ra une Ă  plusieurs fois par mois minimum. Leurs parents les Ă©veillent Ă  la musique classique, Ă  la littĂ©rature, Ă  la culture gĂ©nĂ©rale ils doivent ĂȘtre des abĂźmes de savoir et ce dĂšs le plus jeune Ăąge. Et pourtant, c’est Ă  ces enfants dĂ©jĂ  nettement Ă©veillĂ©s Ă  la culture qu’on donne l’enseignement le plus complet, le plus rempli et avec le plus de culture possible. Sorties, concert Ă  l’ElysĂ©e pour la fĂȘte de la musique, monter la Traviata avec d’autres Ă©tablissements, goĂ»t pour la littĂ©rature qui a pu s’affirmer Ă  Charlemagne, j’ai pu vivre et bĂ©nĂ©ficier de cela. À Lavoisier, si l’on avait organisĂ© ces initiatives, les Ă©lĂšves se seraient sans doute sentis concernĂ©s et la culture aurait retrouvĂ© une place de choix dans leurs vies. Ces initiatives prestigieuses auraient sans doute pu permettre aux Ă©lĂšves de Seine-Saint-Denis de ne plus se sentir exclus du monde de la culture et Ă  partir de ce moment-lĂ , l’intĂ©rĂȘt aurait Ă©tĂ© prĂ©sent. Mais la vĂ©ritĂ© est lĂ  on ne donne pas les moyens aux Ă©lĂšves les plus dĂ©favorisĂ©s de pouvoir bĂ©nĂ©ficier des bienfaits de la culture. Surprenant ? RĂ©voltant ? Je suis de cet avis-lĂ . Comment peut-on oser reprocher Ă  des jeunes de se dĂ©tacher de l’école si on ne leur donne pas le cadre nĂ©cessaire, l’envie de rester Ă  l’école ? Par ailleurs, Ă  ce fossĂ© au niveau de l’éducation s’ajoutent un nombre incalculable de clichĂ©s qui viennent conditionner les Ă©lĂšves de banlieue et les cantonner Ă  une mauvaise caricature. “Je viens de banlieue”, cette phrase qui fait trembler Au delĂ  de ces disparitĂ©s rĂ©voltantes, j’ai eu le droit Ă  un florilĂšge de remarques sur mon milieu d’origine. La perle absolue revient Ă  cette professeure d’arts plastiques ayant dit Ă  ma soeur et moi que de lĂ  d’oĂč nous venions nous n’avions appris ni le soin ni le respect ». Cette remarque n’a pas Ă©tĂ© la seule et fait partie d’une sĂ©rie sympathique Ă  laquelle j’ai Ă©tĂ© soumise pendant trois ans. Parmi elles, des rĂ©flexions telles que comment vas-tu faire pour acheter tes fournitures vu qu’il n’y a pas de BHV Ă  cĂŽtĂ© de chez toi ? », est-ce que vous vous faites dĂ©neiger en banlieue ? » ou encore, cette derniĂšre rĂ©currente et Ă  en pleurer hĂ© dis, tu sais tu peux me le dire, ça craint chez toi hein ?! », Tu n’as pas peur de te faire voler ton tĂ©lĂ©phone Ă  chaque fois que tu retournes chez toi ? », C’est surprenant que tu ne te sois jamais faite agresser lĂ  oĂč tu vis ». Ces remarques m’ont permis de voir Ă  quel point on pouvait ĂȘtre ignorant. Auparavant, je n’avais pas conscience de vivre dans un lieu dangereux ». A partir du moment oĂč je suis arrivĂ©e Ă  Charlemagne, j’ai tout de suite ressenti une sorte de honte, de mal-ĂȘtre Ă  dire les mots banlieue » et Pantin » parce que pour les personnes en face de moi c’était synonyme de violence et de mauvaise Ă©ducation. J’avais l’impression de vivre dans une zone de non-droit alors que je pense que les personnes qui connaissent cette ville savent pertinemment qu’elle n’est pas dangereuse pour deux sous. Les camarades que j’avais en face de moi Ă©taient bien diffĂ©rents de ceux qui m’avaient accompagnĂ©e jusqu’à la sixiĂšme. Blancs, plutĂŽt relativement aisĂ©s, ayant voyagĂ© aux quatre coins du monde Ă  douze ans, cultivĂ©s j’ai vĂ©cu un rĂ©el choc thermique. Ces camarades Ă©taient plus occupĂ©s Ă  comparer les vĂȘtements de marque qu’ils portaient, leurs notes qu’à se soucier du monde au delĂ  du prĂ© carrĂ© de leur quatriĂšme arrondissement. Plus absurde, ma soeur et moi en avons vu certains comparer le nombre de mĂštres carrĂ©s de leurs appartements. Ils Ă©taient dĂ©connectĂ©s, dans une bulle, ailleurs. Ils se pensaient supĂ©rieurs, couverts par des parents peu prĂ©sents qui montaient au front dĂšs qu’un professeur osait mettre une note infĂ©rieure Ă  leurs espĂ©rances, ou faire une remarque sur un comportement irrespectueux. Pour eux, il y avait une rĂ©elle hiĂ©rarchie dĂ©finie par l’habillement, le maquillage, les notes, la popularitĂ©. Et mĂȘme s’ils Ă©taient un peu moins dans l’idĂ©e d’eux que je me faisais, ils s’en rapprochaient tout de mĂȘme Ă©normĂ©ment. Les gens de banlieue ne sont pas les seuls Ă  vivre isolĂ©s, mais l’autre partie enclavĂ©e ne semble pas ĂȘtre dĂ©rangĂ©e par cette solitude et les clichĂ©s n’influent pas sur leur mode de vie et leur travail, les moyens et la crĂ©dibilitĂ© qu’on leur donne. © Vladimir SmirnovTASS via Getty Images Quant Ă  rĂ©duire ces clichĂ©s, peut ĂȘtre faudrait-il que les Ă©lĂšves du centre de Paris arrĂȘtent de ne s’agglutiner qu’autour de chez eux. Certains de mes congĂ©nĂšres ne connaissaient mĂȘme pas la Villette, qui pour eux Ă©tait l’équivalent d’une contrĂ©e lointaine. Et Ă  l’inverse, pour rĂ©duire les clichĂ©s sur les personnes du centre de Paris, peut-ĂȘtre faudrait-il les mĂ©langer aux personnes de banlieue. Vous allez sans doute vous demander comment on peut crĂ©er cette rencontre. Ă  travers des projets artistiques peut-ĂȘtre ? Des conseils intercollĂšges ? Des jumelages d’établissements ? Des correspondances ? Les solutions et les propositions sont multiples alors inventons les, arrĂȘtons de cultiver le clichĂ© et changeons dans nos postulats. Ces clichĂ©s, ces disparitĂ©s sont la part sombre du tableau mais cette expĂ©rience m’a beaucoup apportĂ©. J’ai grandi, et maintenant que je vois la situation avec du recul, je sais que mĂȘme si je n’ai pas forcĂ©ment Ă©tĂ© heureuse dans cet Ă©tablissement, ça a Ă©tĂ© la plus grande chance de ma vie. Et pour la suite ? Ce changement m’a Ă©tĂ© bĂ©nĂ©fique. J’ai dĂ©couvert un autre mode de pensĂ©e et surtout j’ai appris Ă  m’adapter. AprĂšs avoir ramĂ© pendant un bon trimestre, j’ai rĂ©ussi Ă  aller de l’avant et Ă  prendre le dessus malgrĂ© les remarques dĂ©sobligeantes de certains de mes camarades. En quatriĂšme, lentement mais sĂ»rement j’ai rĂ©ussi Ă  me hisser dans le peloton de tĂȘte de ma classe et en troisiĂšme je suis sortie du collĂšge avec une mention TrĂšs Bien au brevet. À Charlemagne, j’ai pu dĂ©velopper mon goĂ»t pour l’apprentissage, je me suis dĂ©couverte plus forte que je ne le pensais. Les trois ans ont Ă©tĂ© rudes psychologiquement des camarades me rappelaient souvent que je n’avais pas ma place dans ce lieu et j’avais l’impression d’ĂȘtre devenue plus une note qu’une personne. C’était douloureux, c’était cruel, j’ai mis du temps Ă  me relever cette expĂ©rience mais je suis quand mĂȘme consciente de cette chance que l’on m’a donnĂ©e. Sans ĂȘtre allĂ©e Ă  Charlemagne, je ne voudrais sans doute pas ĂȘtre journaliste, et je n’aurais pas la prĂ©tention de passer les concours Sciences Po ni ne serais sĂ»rement pas en train d’écrire cet article. J’ai acquis une mĂ©thode de travail qui m’a donnĂ© les clefs pour progresser, j’ai dĂ©couvert que j’étais plus forte que je ne le pensais mais j’ai aussi pu dĂ©velopper mes intĂ©rĂȘts, me centrer et nourrir mes connaissances sur les sujets qui me plaisaient la littĂ©rature, l’art, l’histoire, la politique ou encore les langues. J’ai pu apprendre le russe, l’italien et le grec ancien en plus de l’anglais. J’ai dĂ©couvert que j’étais ambitieuse et me suis renforcĂ©e. Et mĂȘme si je suis trĂšs heureuse ainsi, je trouve que ce systĂšme est relativement cruel. Comment peut-on dire ça alors que l’éducation est censĂ©e ĂȘtre Ă©galitaire ? Comment une Ă©cole peut-elle donner envie d’ĂȘtre plus ambitieuse qu’une autre ? Ce constat, j’ai pu le faire plus d’une fois. Et cela il y a quelques semaines lorsque j’ai croisĂ© l’une de mes camarades de sixiĂšme ayant prĂ©fĂ©rĂ© aller dans un lycĂ©e privĂ© de la capitale que dans le lycĂ©e de secteur pantinois. Elle m’a dit que lorsqu’elle y Ă©tait arrivĂ©e, elle avait ramĂ© comme moi cinq ans auparavant. Sauf que moi, j’ai pu me relever, car c’était beaucoup plus tĂŽt. Elle a dĂ» renoncer aux mathĂ©matiques, et a encore du mal Ă  s’organiser et Ă  revoir sa mĂ©thode mĂȘme trois ans aprĂšs ĂȘtre sortie. Elle est aussi beaucoup plus rĂ©flĂ©chie et a des idĂ©es prĂ©cises sur ce qu’elle veut faire. Cela ne veut pas dire que les jeunes de banlieue ne sont pas ambitieux loin de lĂ , ils sont un vivier d’innovations, de talents. Ils ne sont juste pas mis Ă  leur avantage, ni poussĂ©s vers le haut. Essayez de vous dĂ©velopper dans un milieu oĂč vous avez l’impression d’ĂȘtre marginalisĂ©s par les mĂ©dias et l’opinion publique et vous me direz comment vous faites pour vous y dĂ©velopper. Alors donnez aux jeunes de banlieue des moyens corrects et dĂ©cents pour pouvoir bĂ©nĂ©ficier d’une Ă©ducation Ă©panouissante. ArrĂȘtez-vous deux secondes sur vos clichĂ©s hasardeux et essayez de les combattre au lieu de les ressasser. CrĂ©ez des initiatives Ă  l’image de celle de l’association Eloquentia qui donne la parole aux jeunes de Seine-Saint-Denis comme on le voit dans le dĂ©licieux documentaire À Voix Haute de StĂ©phane de Freitas. Donnez envie, soyez ambitieux dans ce que vous donnez Ă  manger aux enfants. N’ayez pas peur de leur donner du MoliĂšre en CM2, de leur lire HomĂšre en CE2 et vous verrez que les choses changeront car ils se sentiront valorisĂ©s, grandis. Il faut arrĂȘter de penser que ces enfants sont moins qualifiĂ©s que ceux du centre de Paris. Si je tĂ©moigne ici, ce n’est pas pour rabaisser les Ă©quipes Ă©ducatives de banlieue. Au contraire, je suis admirative de leur travail et je sais qu’ils font au mieux de ce qu’ils peuvent pour essayer d’insuffler un maximum d’énergie dans le travail qu’ils font malgrĂ© le manque de moyens. Je veux ici leur tĂ©moigner mon respect et mon soutien le plus profond car c’est grĂące Ă  certains membres de ces Ă©quipes que je peux ĂȘtre heureuse comme je le suis aujourd’hui. De plus, ils manifestent leur mĂ©contement et certains d’entre eux travaillent dans des conditions de travail dĂ©plorables depuis des annĂ©es entiĂšres. Il faut aussi se dire que mon histoire n’est pas singuliĂšre il y a d’autres Lavoisier avec bien moins de moyens, d’autres Charlemagne bien plus dĂ©connectĂ©s. J’ai aussi beaucoup parlĂ© du collĂšge mais cela ne veut pas dire que j’oublie la primaire. Les disparitĂ©s sont dĂ©jĂ  prĂ©sentes dans les moyens donnĂ©s notamment Ă  la culture. À mes yeux, ce n’est pas dĂšs le collĂšge que l’accĂšs Ă  la culture et Ă  des meilleurs moyens doit ĂȘtre possible mais dĂšs la primaire. En effet, plus tĂŽt on donne de bonnes conditions pour grandir Ă  l’enfant, plus tĂŽt il se sent mis en valeur. En banlieue, cela peut mettre fin Ă  ce sentiment d’exclusion qui phagocyte l’envie d’apprendre, d’avoir accĂšs Ă  la culture et peut permettre l’épanouissement entier des enfants. Je suis rĂ©voltĂ©e parce que j’ai l’impression que l’éducation n’est pas donnĂ©e de maniĂšre Ă©galitaire. Ma rĂ©volte est peut-ĂȘtre ridicule, sans doute certains d’entre vous vont-ils se dire qu’il faut que je m’y fasse. Mais ce n’est pas le cas comment peut-on laisser plus de moyens dans le centre de Paris alors que c’est les enfants de ce mĂȘme centre qui sont le plus prĂ©disposĂ©s pour ĂȘtre Ă©veillĂ©s, cultivĂ©s et faire partie de l’élite ? Comment peut-on laisser les banlieues ainsi sans mettre plus de moyens dans l’éducation alors que ce sont des espaces oĂč la jeunesse est florissante, et cela Ă  l’instar du 93 qui est le dĂ©partement le plus jeune de France ? Pourquoi remplir les caisses de la sĂ©curitĂ© en banlieue alors que cela alimente encore plus les clichĂ©s et que l’on pourrait trĂšs bien mettre plus de moyens dans l’éducation et la culture ? D’autant plus que nous savons trĂšs bien que ce sont la culture et l’éducation qui permettent d’avoir confiance en soi, d’ĂȘtre ambitieux, de vouloir se dĂ©velopper et non pas de devenir violent. Et cette thĂšse a Ă©tĂ© formulĂ©e par Victor Hugo lui-mĂȘme avec cette citation cĂ©lĂšbre “ouvrir la porte d’une Ă©cole c’est fermer la porte d’une prison”, alors qu’attendons-nous pour rĂ©agir ? La balle est dans notre camp. image de couverture libre de droits

Del'autre cĂŽtĂ© du ciel, anciennement nommĂ© Poupelle, est un film d'animation de Yusuke Hirota, d’aprĂšs le livre Poupelle et la ville sans ciel d'Akihiro Nishino, sorti en 2020..

Aperçu des critiques de la presse Internet sortie vod, dvd et blu-ray De l'autre cĂŽtĂ© du pĂ©riph"De l'autre CĂŽtĂ© du PĂ©riph est une comĂ©die drĂŽle qui remplit son carnet des charges, Ă  savoir nous plonger dans une enquĂȘte policiĂšre avec tout ce qui s'en suit course-poursuite, gunfight, interrogatoire tout en nous faisant rire." La Critique du Geek "Ça cogne et ça dĂ©fouraille dans ce film. ... De l'autre CĂŽtĂ© du PĂ©riph marie l'action, l'humour, le social et la politique, avec un peu de sexe en prime." Le Parisien "SoulignĂ© par une excellente bande originale signĂ©e Ludovic Bource The Artist les passages obligĂ©s de la course-poursuite en voiture ... prennent de belles couleurs mĂ©lodiques, dynamisĂ©es par des thĂšmes musicaux Ă  la fois modernes et faisant clairement rĂ©fĂ©rence au cinĂ©ma policier français des annĂ©es 1980." le Figaro "L'histoire n'a franchement rien de bien excitant Ă  offrir sinon une panoplie de stĂ©rĂ©otypes opposant les parisiens et les gens de la petite couronne dĂ©favorisĂ©e, avec un franc-parler qui aime s'adonner Ă  la vulgaritĂ© gratuite. ... il y a, bien sĂ»r, peu de chance que cette production passe Ă  la postĂ©ritĂ© de ses rĂ©fĂ©rences assumĂ©es Le Flic de Beverly Hills, 48 heures et Le Professionnel." Avoir Alire "Le spectateur se retrouve confrontĂ© Ă  une accumulation de gags ratĂ©s, de situations ridicules mais trĂšs rarement potaches, et Ă  des dialogues dignes d'un enfant de 6Ăšme." Abus de Cine Synopsis usuel Un matin Ă  l'aube dans une citĂ© de Bobigny, prĂšs d'un vieux tripot clandestin, est retrouvĂ© le corps sans vie de Eponine Chaligny, femme du trĂšs influent Jean-Éric Chaligny, premier patron de France, au centre d'un climat social extrĂȘme qui secoue la France depuis quelques semaines. Ce matin-lĂ  deux mondes radicalement opposĂ©s vont alors se croiser Ousmane DiakitĂ©, policier de la section financiĂšre de Bobigny et François Monge, capitaine de la fameuse police criminelle de Paris. Leur enquĂȘte va les emmener d'un cĂŽtĂ© Ă  Paris et son syndicat patronal, de l'autre en banlieue de Bobigny et ses affaires clandestines. Tour Ă  tour, de l'autre cĂŽtĂ© du pĂ©riph. OusmaneDiakhatĂ©, policier Ă  la section financiĂšre de Bobigny, voit, prĂšs du vieux tripot clandestin qu’il surveille, le corps de l’épouse d’un grand patron, Jean-Éric Chaligny. Il fait en sorte que l’affaire lui soit confiĂ©e, conjointement Ă  François Monge, un inspecteur de la police criminelle de Paris qui compte sur ses relations pour ĂȘtre promu commissaire. Ils
Notedesutilisateurs Bande-annonce Synopsis Un matin Ă  l’aube dans une citĂ© de Bobigny, prĂšs d’un vieux tripot clandestin, est retrouvĂ© le corps sans vie d’Éponine Chaligny, femme du trĂšs influent Jean-Éric Chaligny, premier patron de France, au centre d’un climat social extrĂȘme qui secoue la France depuis quelques semaines. Ce matin-lĂ  deux mondes radicalement opposĂ©s vont alors se croiser Ousmane DiakitĂ©, policier de la section financiĂšre de Bobigny et François Monge, capitaine de la fameuse police criminelle de Paris. Leur enquĂȘte va les emmener d’un cĂŽtĂ© Ă  Paris et son syndicat patronal, de l’autre en banlieue de Bobigny et ses affaires clandestines. Tour Ă  tour, de l’autre cĂŽtĂ© du pĂ©riph. David Charhon Director, Screenplay Julien War Screenplay RĂ©my Four Screenplay You need to be logged in to continue. Click here to login or here to sign up. GĂ©nĂ©ral s Mettre le curseur dans la barre de recherche p Ouvrir le menu du profil esc Fermer une fenĂȘtre ouverte ? Ouvrir la fenĂȘtre des raccourcis clavier Sur les pages des mĂ©dias b Retour ou vers le parent si faisable e Afficher la page de modification Sur les pages des saisons des Ă©missions tĂ©lĂ©visĂ©es → Afficher la saison suivante flĂšche droite ← Afficher la saison prĂ©cĂ©dente flĂšche gauche Sur les pages des Ă©pisodes des Ă©missions tĂ©lĂ©visĂ©es → Afficher l'Ă©pisode suivant flĂšche droite ← Afficher l'Ă©pisode prĂ©cĂ©dent flĂšche gauche Sur toutes les pages des images / photos a Ouvrir la fenĂȘtre d'ajout d'image / photo Sur toutes les pages de modifications t Ouvrir le sĂ©lecteur de traduction ctrl+ s Envoyer le formulaire Sur les pages des discussions n CrĂ©er une nouvelle discussion w Basculer le statut de suivi p Basculer publique / privĂ©e c Basculer fermer / ouvrir a Ouvrir l'activitĂ© r RĂ©pondre Ă  la discussion l Afficher la derniĂšre rĂ©ponse ctrl+ enter Envoyer votre message → Page suivante flĂšche droite ← Page prĂ©cĂ©dente flĂšche gauche
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