AprĂšsle dĂ©part de Pascal Ambrosi, Serge Attali vient d’accĂ©der Ă  la prĂ©sidence de l’école de musique de LunĂ©ville. Avec plein d’idĂ©es dans ses poches et la volontĂ© de faire sortir
Tƍru Amuro Profil Nom japonais 降谷 零 Furuya Rei 柉柀 透Amuro Tƍru Age 29 ans Sexe Masculin Nom de code Bourbon Occupation Membre de l'Organisation des hommes en noir Statistiques PremiĂšre apparition File 793/Episode 667 Apparitions Chapitres 56 Episodes 35 Openings 9 Trou de serrure Volume 76 Acteurs Voix japonaise Tohru Furuya Tƍru Amuro 柉柀 透 Amuro Tƍru, de son vrai nom Rei Furuya 降谷 零 Furuya Rei est un membre de l'Organisation des hommes en noirs, connu sous le nom de code de BārbonăƒăƒŒăƒœăƒł Bārbon, ainsi que membre de la Police SecrĂšte Japonaise, dans le manga et l'anime DĂ©tective Conan. Il dĂ©teste Shuichi Akai car celui-ci est le responsable de la mort de son ami Scotch. Lorsqu'il est en civil, Amuro travaille en temps que dĂ©tective privĂ©. Il enquĂȘte en parallĂšle en temps que Bārbon pour l'Organisation, et Rei Furuya pour la Police SecrĂšte. Il est l'apprenti de Kogoro. Histoire[] Bourbon Volume 76 Le passĂ© d'Amuro Ă  l'intĂ©rieur de l'Organisation est inconnu, mais il semble ĂȘtre liĂ© Ă  eux depuis un moment. Il connaissait les parents de Shiho Miyano qui sont mort quand Shiho Ă©tait jeune, sous-entendant qu'il est impliquĂ© depuis son adolescence. Il dĂ©teste Shuichi Akai , ce dernier ayant un lien avec la mort de Scotch, un collĂšgue d'Amuro au sein de la police japonaise, infiltrĂ© lui aussi dans l'Organisation. Il a d'ailleurs suspectĂ© Dai Moroboshi d'ĂȘtre un espion pour le FBI, ce qui s'est avĂ©rĂ© ĂȘtre le cas. Peu prĂšs la mort de Shuichi Akai, Kir appelle Jodie Starling pour l'informer qu'un nouveau membre de l'Organisation, appelĂ© Bourbon a Ă©tĂ© envoyĂ©. Kir dit que la cible de Bourbon est la scientifique qui s'est enfuie, Shiho Miyano, et que Bourbon est excellent pour rassembler des informations. Plus tard, Tooru Amuro apparaĂźt en tant que dĂ©tective qui garde un emploi Ă  mi-temps Ă  cĂŽtĂ© pour aider ses enquĂȘtes, comme son boulot Ă  mi-temps comme serveur au Ristorante Sundayrino. Peu aprĂšs sa premiĂšre apparition, Amuro commence Ă  travailler Ă  mi-temps au cafĂ© Poirot. Il est actuellement l'apprenti de Kogoro . PersonnalitĂ©[] Amuro est plutĂŽt enjouĂ©. Il est Ă©galement gĂ©nĂ©reux, apportant des sandwiches Ă  l'agence Mouri, payĂ©s Ă  ses frais. Dans des situations sĂ©rieuses, il semble ĂȘtre patient, gardant son calme. Comme les autres dĂ©tectives dans DĂ©tective Conan, il adore prĂ©senter ses dĂ©ductions aux autres lors d'affaires. Il est Ă©galement trĂšs manipulateur, piĂ©geant les autres pour obtenir des informations. Kogoro le dit "effeminĂ©". Gin dit que Bourbon a tendance Ă  agir en secret, comme Vermouth, et donc que personne ne peut jamais deviner ce qu'il prĂ©pare. Vodka dit que Bourbon dĂ©teste Shuichi Akai , encore plus que Gin. Bourbon croit qu'il est la seule personne capable de tuer Akai. Gin et Bourbon ne semblent pas non plus bien s'entendre, ne communiquant pas entre eux. Il est Ă©galement montrĂ© que Amuro s'interesse Ă  Conan, pour des raisons inconnues, puisqu'il n'y a pas de preuves qu'il soit au courant de l'identitĂ© de Conan. Cependant, il est possible que Amuro commence Ă  dĂ©couvrir le secret se cachant derriĂšre "Kogoro l'endormi". L'apparence de Bourbon Apparence[] Il a une peau sombre, un peu plus claire, mais assez proche de celle d'Heiji , ainsi que dans l'anime, des cheveux teint en blonds. Il porte des lunettes au dĂ©but, mais il ne semble pas en avoir besoin, les utilisant plutĂŽt pour dissimuler son identitĂ©. A la diffĂ©rence des autres membres de l'Organisation, il s'habille normalement en civil, portant toutefois parfois du noir. Vu plusieurs fois portant des habits de style victorien Britannique. CompĂ©tences[] Bourbon est un bon dĂ©tective DĂ©duction et intelligence[] Amuro est un bon dĂ©tective, douĂ© pour collecter des informations c'est la premiĂšre chose que Kir dira Ă  propos de Bourbon. Toutefois, puisque Amuro est sous couverture, en tant que l'apprenti de Kogoro, il n'a pas pu rĂ©ellement montrer ses capacitĂ©s de dĂ©ductions, alors que c'est sa spĂ©cialitĂ© au sein de l'Organisation. Son ami, Wataru Date, a dit qu'Amuro Ă©tait l'Ă©tudiant le plus intelligent Ă  l'AcadĂ©mie de Police. Vermouth le dĂ©crit Ă©galement comme Ă©tant le membre le perspicace de l'Organisation. Conduite[] Amuro est un bon conducteur, capable de poser prĂ©cisĂ©ment sa voiture devant une autre, pendant une poursuite, dans le but de l'arrĂȘter, avec une collision controllĂ©e. Premiers secours[] Quand Conan s'Ă©vanouit aprĂšs s'ĂȘtre pris une raquette de tennis dans la tĂȘte, Amuro a pris soin de lui, lui donnant les premiers secours, avant que le docteur n'arrive. Bourbon est un excellent joueur de tennis Tennis[] Amuro est un excellent joueur de tennis. Il prĂ©tend avoir Ă©tĂ© champion de tennis lorsqu'il Ă©tait au collĂšge, mais il arrĂȘta aprĂšs s'ĂȘtre blessĂ© Ă  l'Ă©paule. Il proposa toutefois d'enseigner le tennis Ă  Sonoko . Crochetage[] Amuro semble savoir crocheter les serrures assez rapidement. Il prĂ©tend avoir appris par le biais d'un ami travaillant dans une entreprise de sĂ©curitĂ©. La loi japonaise prohibe la possession d'outils permettant de crocheter les serrures, avec une peine pouvant aller Ă  1 an d'emprisonnement ou une amende de 500 000 yens. Arts martiaux[] Amuro est bon en boxe anglaise frappant un attaquant qui, en un seul coup, se retrouve par terre et en sang. Amuro semble Ă©galement connaitre le Jujutsu, de son temps Ă  l'acadĂ©mie de police; le jujustsu est gĂ©nĂ©ralement enseignĂ© aux officiers de police de Tokyo pour les aider dans l'immobilisation des suspects et les arrestations. Wataru Date dit qu'Amuro Ă©tait l'Ă©tudiant le plus fort Ă  l'acadĂ©mie de police. DĂ©minage[] Amuro est dĂ©crit comme Ă©tant douĂ© pour dĂ©samorcer des bombes. Dans le film 20, il explique qu'il a apprit tout ce qu'il sait Ă  l'AcadĂ©mie de police, sous la supervision de son ami Jinpei Matsuda. Cuisine[] Amuro est un trĂšs bon cuisinier. Missions[] Bourbon est un trĂšs bon membre de l'Organisation La premiĂšre mission de Bourbon Ă©tait de recherche la scientifique en fuite, Shiho Miyano. Amuro avait Ă©galement une seconde mission secrĂšte, alimentĂ©e par l'idĂ©e que seul lui est capable de tuer Shuichi Akai ; Amuro a donc reçu la permission du boss de vĂ©rifier si Akai Ă©tait vraiment mort. Il approcha le FBI en tant que sosie d'Akai, grĂące Ă  un dĂ©guisement fait par Vermouth, pour vĂ©rifier leurs rĂ©actions. Il devient Ă©galement l'apprenti de Kogoro Mouri, croyant que le dĂ©tective est connectĂ© Ă  Sherry Ce lien entre Sherry et Kogoro avait dĂ©jĂ  Ă©tĂ© suspectĂ© Ă  cause de l'Ă©metteur que Gin a trouvĂ© sous la chaussure de Kir aprĂšs que Kogoro a rĂ©solu une affaire chez cette derniĂšre. Cet Ă©metteur, mis dans un chewing gum, Ă©tait le mĂȘme que celui que Gin a dĂ©couvert dans sa voiture. Actuellement, Bourbon pense que Shiho a Ă©tĂ© tuĂ©e. Il pensait Ă©galement qu'Akai Ă©tait mort jusqu'Ă  ce qu'un homme mystĂ©rieux, cachĂ© par de la fumĂ©e, lança une grenade sur lui dans le Mystery Train. Bourbon redemanda Ă  Vermouth les fichiers dĂ©taillĂ©s de la mort d'Akai. Bourbon a Ă©galement dĂ©cidĂ© de rester l'apprenti de Kogoro, parce qu'il a remarquĂ© que Conan Ă©tait le vĂ©ritable cerveau derriĂšre "Kogoro l'endormi", ce qui a Ă©veillĂ© sa curiositĂ©. Par la suite, lors de Scarlet Showdown, Amuro eut la confirmation qu'Akai Ă©tait bien en vie et comprit que la personne ayant Ă©laborĂ© le plan de la fausse mort d'Akai Ă©tait Conan. NĂ©anmoins, ce dernier rĂ©ussit Ă  tromper Amuro quant Ă  la nouvelle identitĂ© de Akai en tant que Subaru Okiya. Cela n'efface pas totalement les soupçons d'Amuro envers Okiya. DĂ©veloppement[] Son dĂ©ploiement Manga 622; Anime 509[] L'agent infiltrĂ© de la CIA, Kir rĂ©ussit Ă  informer Jodie Starling , qu'un nouveau membre appelĂ© Bourbon a Ă©tĂ© dĂ©ployĂ© Ă  la recherche de Sherry , et que c'est un agent trĂšs bon en dĂ©duction, et en collecte d'informations. Jodie en informe Conan . Celui-ci semble inquiet, mais ne dit rien Ă  Haibara Ă  son propos. Scar Akai[] Bourbon dĂ©guisĂ© en Scar Akai Avant que Bourbon n'apparaisse en tant que Tooru Amuro, il s'est dĂ©guisĂ© en Akai, avec une grande brĂ»lure sur le visage, grĂące Ă  l'aide de Vermouth . Dans ce dĂ©guisement, il approcha les amis proches de Shuichi Akai pour vĂ©rifier en fonction de leurs rĂ©actions, si il Ă©tait vraiment mort. Bourbon a d'abord utilisĂ© son dĂ©guisement pour approcher Jodie Starling Ă  la banque Teito, ensuite AndrĂ© Camel au centre commercial de Beika. Il a Ă©galement envoyĂ© Ă  Kogoro un message avec sa dĂ©duction sur une affaire, utilisant un tĂ©lĂ©phone empruntĂ© Ă  un des spectateurs. L'introduction d'Amuro Manga 793-795; Anime 667-668[] La premiĂšre apparition de Tooru Amuro Amuro est engagĂ©e par une future mariĂ©e, Hatsune Kamon pour enquĂȘter sur son futur mari, Raita Banba, et savoir s'il ne la trompe pas. Pour son enquĂȘte, Amuro demande Ă  Kamon de faire leur fĂȘte de prĂ©-mariage au restaurant, Ristorante Sundayrino, oĂč il travaille en tant que serveur. Il fait tomber exprĂšs du gĂąteau sur le pantalon de Banba, essayant ainsi de le rendre mal Ă  l'aise si il veut approcher une femme plus tard. Banba boit beaucoup et Amuro doit lui faire remarquer que son tĂ©lĂ©phone sonne. Banba va Ă  la salle de bain pour rencontrer la personne qui l'a appelĂ©, le dĂ©tective Sanji Haruka, que Banba Ă  engagĂ© pour dĂ©couvrir si Kamon la trompe ou non. Sanji a suivi sa fiancĂ©e et dĂ©couvert sa rencontre avec Amuro. Donc Sanji pense, alors que c'est une erreur, que Kamon a une liaison avec Amuro. Banba est furieux contre Amuro et commencence Ă  le violenter. Plus tard, Kamon meurt dans une voiture en feu. Banba accuse Amuro. Amuro nie et dit que Banba a peut-ĂȘtre essayer de dĂ©guiser les blessures qu'il a reçu en se battant avec Kamon, en faisant de mĂȘme avec Amuro. Amuro enlĂšve ensuite ses lunettes et rĂ©vĂšle que c'est un dĂ©tective privĂ©, engagĂ© par Kamon, et non son amant. Tooru Amuro Episode 668 AprĂšs qu'Amuro ait donnĂ© une dĂ©duction correcte en disant que Sanji est un dĂ©tective engagĂ© par Banba, Kogoro accuse Amuro d'avoir conduit Kamon au suicide en lui disant que son mari Ă©tait un coureur de jupons, mais Amuro nie avoir contactĂ© Kamon part tĂ©lĂ©phone. Amuro accuse Banba d'ĂȘtre le meurtrier, ce qui Ă©nerve profondĂ©ment ce dernier. Amuro esquive son coup et demande Ă  Kogoro de tenir les jambes de Banba, pour regarder ses chaussures. Conan arrive ainsi Ă  dĂ©duire que la mort de Kamon est rĂ©ellement un suicide. Amuro continue d'accuser Banba, encore plus, aprĂšs l'arrivĂ©e des analyses ADN, mais Conan empĂȘche son arrestation en utilisant "Kogoro l'endormi". Amuro confronte au dĂ©but la dĂ©duction de Kogoro , mais accepte finalement son explication. Un jour plus tard, Amuro commence Ă  travailler en tant que serveur au CafĂ© Poirot, en dessous de l'agence du dĂ©tective Mouri. Il demande Ă  Kogoro s'il peut devenir son apprenti, lui disant qu'il a pas mal d'argent, et qu'il est prĂȘt Ă  payer si Kogoro l'emmĂšne avec lui sur des affaires. Le montant fait tressaillir Kogoro qui accepte immĂ©diatement. Meurtre Ă  l'agence du dĂ©tective Mouri Manga 796-800; Anime 671-674[] Amuro apporte des sandwichs Ă  Kogoro Alors que Kogoro , Ran et Conan regardent les informations sur un rĂ©cent cambriolage, Amuro passe Ă  l'agence avec des sandwichs aprĂšs avoir fini sa journĂ©e de travail au cafĂ© Poirot. AprĂšs avoir commenter le cambriolage, Amuro dit qu'il veut savoir quel est la nouvelle affaire de Kogoro, aprĂšs avoir dĂ©duit de son apparence que Kogoro a une nouvelle affaire. Kogoro reçoit le message d'un client lui demande de changer la localisation du rendez-vous au CafĂ© Columbo, et Amuro va avec eux, aprĂšs avoir changĂ© ses vĂȘtements de travail. Au Columbo, Kogoro explique Ă  Amuro que la requĂȘte du client est de trouver le casier auquel appartient une certaine clĂ©. Le client ne vient pas, donc Amuro, Kogoro, Conan et Ran retourne Ă  l'agence Mouri pour vĂ©rifier que le client ne s'y trouve pas. Quand Amuro arrive Ă  l'agence, lui et Conan remarquent que quelqu'un est entrĂ© par effraction, et semble avoir interceptĂ© le client. Restant dehors, Amuro explique ses dĂ©ductions, et indique que le coupable se trouve dans les toilettes. Bourbon attend le client supposĂ© devant les toilettes Avant qu'Amuro n'ouvre la porte de la salle de bain, un coup de feu retentit, et Conan se prĂ©cipite Ă  l'intĂ©rieur pour trouver un homme mort, qui s'est apparemment suicidĂ©. Une femme arrive et explique que l'homme la questionnait sur une clĂ© et un casier, et qu'il s'est ensuite sĂ»rement suicidĂ© quand Kogoro est rentrĂ© plus tĂŽt. Mais Amuro et Conan la suspecte de mentir, et d'avoir peut-ĂȘtre tuĂ© l'homme. Amuro questionne un peu la jeune femme, et Megure fait remarquer Ă  Kogoro que c'est encore un autre dĂ©tective dĂ©tective, tournant autour de lui. Curieux, Amuro se demande qui sont ces autres dĂ©tectives, et entend parler d'une jeune fille. Amuro propose alors Ă  la femme de la ramener chez elle, aprĂšs avoir reporter l'interrogatoire au lendemain. Conan, Ran et Kogoro viennent aussi. A la maison de la femme, Conan, Amuro et Kogoro disent avoir besoin d'utiliser les toilettes et vont Ă  l'intĂ©rieur. Ran allume son tĂ©lĂ©phone et reçoit immĂ©diatement un coup de tĂ©lĂ©phone de la part de Sera , qui est inquiĂšte de ne pas avoir de nouvelles depuis le meurtre. L'appel fait face Ă  beaucoup d'interferences, et Amuro ferme soudainement le portable de Ran , annonçant que l'endroit est sous Ă©coute, ce qui interfĂšre avec le signal du tĂ©lĂ©phone. Amuro sort un dĂ©tecteur de micros et commence Ă  nettoyer la maison. Ran, Amuro et Kogoro trouvent plusieurs micros avant de trouver une grande valise, sous le lit, d'oĂč Ă©mane une horrible odeur. Ils ouvrent la valise et trouve un corps Ă  l'intĂ©rieur. Bourbon se demande qui est Sera Peu aprĂšs, il est rĂ©vĂ©lĂ© que le coupable Ă©tait en fait la femme, qui a envoyĂ© Ă  Kogoro un message prĂ©tendant avoir Conan entre ses mains. Pendant l'enquĂȘte, ils trouvent une vidĂ©o qui contient de nombreuses informations sur le cambriolage. Amuro pense que l'appartement appartient plutĂŽt Ă  l'un des cambrioleurs. Ran se demande pourquoi un dĂ©tective aussi bon a besoin de devenir l'apprenti de son pĂšre. Cependant, Amuro rĂ©pond que Kogoro ne faisait que le tester, et qu'il a encore beaucoup Ă  tard, ils dĂ©cident de vĂ©rifier l'ordinateur de la maison, qui est protĂ©gĂ© par un mot de passe. Amuro dĂ©couvre que celui-ci est cacĂ© sous le bureau, mais Ă  la place de le donner directement, il choisit de faire parler Kogoro et Ran . AprĂšs avoir gagnĂ© l'accĂšs Ă  l'ordinateur, ils trouvent l'identitĂ© du troisiĂšme cambrioleur et sa localisation. C'est l'endroit oĂč la kidnappeuse de Conan est sĂ»rement allĂ©e. Ils se rendent Ă  l'adresse tandis que Sera les suit. Cependant, alors qu'ils sont en chemin, ils apprennent que Conan et la tueuse sont en danger, kidnappĂ©s par la troisiĂšme cambrioleuse. Amuro fait dĂ©raper exprĂšs sa voiture pour les arrĂȘter. A la fin, la cambrioleuse est mise par Sera, Conan est sauvĂ©. Amuro, Sera , et Subaru qui conduisait Agasa et Haibara sont tous vus en train de recevoir un coup de tĂ©lĂ©phone mystĂ©rieux. Vermouth appelle Bourbon, et commente la scĂšne en disant qu'il a gagnĂ© leur confiance, et qu'elle attend de lui de respecter la promesse qu'il lui a faĂźte. Jour de congĂ© Manga 801; Anime 675[] Amuro a une journĂ©e de congĂ©. AprĂšs la rencontre d'Amuro avec Sera lors de l'affaire prĂ©cĂ©dente, il remarque qu'elle ressemble Ă  Akai, donc Amuro se dĂ©guise Ă  nouveau en Akai pour vĂ©rifier sa rĂ©action. Cependant, comme Jodie et Camel avant elle, Sera fut choquĂ© de le voir. Wataru Date Manga 804-808; Anime 681-683[] Conan et les dĂ©tectives juniors rencontrent Amuro qui se rend Ă  la station de police suite Ă  l'affaire du kidnapping de Conan. Comme sa voiture s'est Ă©crasĂ© contre celle du coupable, il a Ă©tĂ© appelĂ© au commissariat pour remplir certains papiers, pour que la police puisse dĂ©terminer si son action a Ă©tĂ© exagĂ©rĂ©e. Il exprime sa dĂ©ception de ne pas pouvoir rencontre le professeur Agasa avec eux. Il dit Ă©galement qu'il avait un autre but en venant au commissariat, mais quand Conan demande ce que c'est, Amuro prĂ©tend que "ça a dĂ©jĂ  disparu". Amuro, prĂšs de la tombe de Wataru Date Pendant cet Ă©pisode, Takagi est kidnappĂ©, et se remĂ©more des souvenirs de son mentor, Wataru Date, dĂ©cĂ©dĂ© il y a un an, disant que celui-ci Ă©tait le meilleur Ă©tudiant Ă  l'acadĂ©mie de police. Cependant, Date a toujours refutĂ© cela, disant Ă  Takagi qu'il a toujours Ă©tĂ© le numĂ©ro 2. Il dit Ă©galement que ni son cerveau, ni ses muscles n'Ă©taient comparable Ă  ceux du numĂ©ro 1, qui Ă©tait un gentleman. Plus tard, il est rĂ©vĂ©lĂ© que la personne dont parle Date, est Amuro. Il laisse un cure-dent sur la tombe de Date et regarde Takagi et Sato se recueillir devant. Avant de partir, il supprime un message que Date lui a envoyĂ©, tout en pensant "Reste en paix, mon ami...". Sherry dans la cabane Manga 815-817; Anime 699-700[] Ran et Kogoro se font servir par Amuro au cafĂ© Poirot. Kogoro dit Ă  Amuro que Conan et les DĂ©tectives Juniors sont allĂ©s camper Ă  Gunma et qu'ils vont envoyer des photos plus tard sur l'ordinateur de Kogoro. Quand Sera appelle Ran pour demander quel sorte de vĂ©hicule Agasa conduit, Amuro Ă©coute la conversation. Plus tard dans la nuit, Amuro se faufile furtivement dans l'agence du dĂ©tective Mouri et rentre sur l'ordinateur de Kogoro utilisant le mot de passe que Kogoro lui a donnĂ© par inadvertance dans une affaire prĂ©cĂ©dente. A la place de photos de la balade des DĂ©tectives juniors qu'il attendait, il voit une vidĂ©o envoyĂ©e par quelqu'un Mitsuhiko qui montre Shiho Miyano sauvant Ayumi d'une cabane en feu. Il est choquĂ©, et zoome sur sa main pour remarquer qu'elle porte une bague permettant de monter dans le Bell Tree Express. Amuro se rend ensuite compte que l'ordinateur de Kogoro est en train d'ĂȘtre piratĂ© par quelqu'un, et se demande qui. Amuro informe Vermouth que Shiho est Ă  Gunma et qu'elle va embarquer dans le Mystery Train, qui elle-mĂȘme en informe Gin . Bourbon rentre dans l'ordinateur de Kogoro Le Mystery Train Manga 820-824; Anime 701-704[] Bourbon se rĂ©vĂšle pendant le Mystery Train Amuro apparait dans le train quand il rencontre Ran et les autres. Quand on lui demande ce qu'il fait lĂ , Amuro prĂ©tend avoir gagnĂ© ses tickets dans des enchĂšres en ligne, et qu'il a rencontrĂ© Kogoro dans la voiture-restaurant qu'il lui a appris l'affaire en cours. Quand Masumi Sera se prĂ©cipite pour trouver Scar Akai Vermouth , on voit Amuro contacter Vermouth lui disant qu'elle allait dans son sens. Il arrive ensuite quand Conan via Kogoro l'endormi commence sa dĂ©duction sur le coupable. AprĂšs la confession du coupable, Vermouth active des effets pyrotechnique le long du train, crĂ©ant de la fumĂ©e, dans le but de piĂ©ger Ai Haibara qui selon elle s'est retransformĂ© en Shiho Miyano. Amuro retrouve ensuite Sherry , et se prĂ©sente en tant que Bourbon. Il se demande s'il la connaĂźt, ce Ă  quoi elle rĂ©pond qu'il Ă©tait le rival du petit-ami de sa soeur, Dai Moroboshi Shuichi Akai . Amuro commence Ă  jubiler disant qu'il savait qu'Akai Ă©tait du FBI et qu'il ne pouvait pas croire Ă  sa mort. Il lui dit ensuite qu'il a dĂ©cidĂ© de se dĂ©guiser en Akai devant ceux qui Ă©taient proches de lui, bien qu'il ait demandĂ© Ă  Vermouth de se dĂ©guiser en lui dans le train. A partir de lĂ , il a conclut qu'Akai Ă©tait vraiment mort. Bourbon menace Sherry avec son arme Menaçant Shiho avec son arme, il lui dit d'aller dans le 8Ăšme wagon, pour qu'il puisse le dĂ©tacher avec des explosifs et ensuite la ramener, vivante, Ă  l'Organisation. Cependant, Shiho lui rĂ©vĂšle qu'il y a beaucoup d'explosifs dans le wagon, et Amuro rĂ©alise que Vermouth les a mis lĂ , car elle veut se dĂ©barrasser dĂ©finitivement de Sherry. Cependant, avant qu'il ne puisse faire quelque chose, un homme mystĂ©rieux, qui ressemble Ă©trangement Ă  Akai arrive de derriĂšre et lance une grenade pour dĂ©tacher le 8Ăšme wagon. Amuro esquive l'explosif, n'Ă©tant pas blessĂ©, et le 8Ăšme wagon explose, mais Shiho qui est en rĂ©alitĂ©, Kaito Kid dĂ©guisĂ©, arrive Ă  s'Ă©chapper. Amuro croĂźt que Sherry est morte. Il rejoint ensuite Vermouth et lui demande de lui donner les dossiers sur avant et aprĂšs la mort d'Akai. Il se dit qu'il doit recommencer de la premiĂšre Ă©tape, tandis que Subaru Okiya , regarde la scĂšne, en silence. La rencontre au club de tennis Manga 825-827; Anime 705-706[] Bourbon parle Ă  Conan aprĂšs s'ĂȘtre occupĂ© de lui AprĂšs les Ă©vĂšnements du Mystery Train, Amuro pris un congĂ© maladie auprĂšs du cafĂ© Poirot. Conan pris cela comme un signe comme quoi il ne prĂ©voyait pas de revenir. Cependant, Ă  l'horreur de Conan, Amuro a demandĂ© Ă  Kogoro si lui et Sonoko voulaient des leçons de tennis. Il les rencontre au cour de tennis et rĂ©vĂšle qu'il va revenir travailler au cafĂ© Poirot la semaine suivante. Quand un joueur lache accidentellement sa raquette de tennis, Amuro essaye d'avertir Conan que celle-ci va le frapper, mais Conan est incapable de l'Ă©viter Ă  temps. Conan est assomĂ©, inconscient, et Amuro se prĂ©cipite vers lui pour lui procurer les premiers soins avant l'arrivĂ©e du mĂ©decin. Quand Conan se rĂ©veille, il se rend compte qu'il a Ă©tĂ© dĂ©placĂ© Ă  l'intĂ©rieur de la maison de la personne qui l'a frappĂ© avec sa raquette. AprĂšs s'ĂȘtre excusĂ©, la personne en question demande si Amuro, Sonoko et les Mouri voudraient jouer au tennis avec eux. Conan dĂ©cide de partir pour faire la sieste dans une chambre, mais un bruit sourd le rĂ©veille; il dĂ©couvre que l'un des joueurs a Ă©tĂ© assassinĂ© et que le corps est coincĂ© dans la salle avec lui. Inquiet Ă  cause du bruit, Amuro crochete la serrure et essaye d'ouvrir la porte, mais Conan crie d'arrĂȘter car il y a un corps juste derriĂšre la porte. Quand la police arrive pour enquĂȘter, Amuro les aide. Bourbon s'approche de la montre de Conan Au moment oĂč Conan se prĂ©pare Ă  endormir Kogoro, Amuro commence Ă  ĂȘtre soupçonneux se baissant pour analyser la montre de Conan, ce qui empĂȘcher ce dernier de l'utiliser. Conan est forcĂ©e de donner des indices pour conduire Kogoro et la police Ă  la bonne dĂ©duction. AprĂšs l'affaire, Amuro et Vermouth ont une conversation tĂ©lĂ©phonique. Vermouth lui demande pourquoi il reste collĂ© Ă  l'agence du dĂ©tective Mouri alors qu'il n'y en a plus besoin puisqu'ils se sont dĂ©jĂ  occupĂ©s de Sherry . Amuro rĂ©pond qu'il s'intĂ©resse Ă  Kogoro l'endormi. Alors qu'il dit ça, il pense Ă  Conan , sous-entendant qu'il le suspecte d'ĂȘtre derriĂšre "Kogoro l'endormi". Un service de livraison doux et glacial Manga 842-843; Anime 722-723[] Bourbon retrouve le reçu et dĂ©chiffre le message Les DĂ©tectives Juniors sont piĂ©gĂ©s dans un camion de livraison rĂ©frigĂ©rĂ© avec un chat, un cadavre, et deux livreurs meurtriers. Incapable d'appeler Ă  l'aide, et sans d'autres possibilitĂ©s, Conan dĂ©cide d'essayer d'envoyer un message Ă  Amuro en utilisant le chat et un reçu. Le reçu s'envole, et avant de rĂ©aliser qu'il vient de Conan , Amuro le recherche en utilisant une application spĂ©ciale sur son tĂ©lĂ©phone. Amuro localise ensuite le camion rĂ©frigĂ©rĂ©. Le membre de l'Organisation dĂ©cide de prĂ©tendre comme si il les avait retrouvĂ© par hasard, et pas parce qu'il a dĂ©codĂ© le message sur le reçu. Il demande aux deux livreurs de laisser un passage parce que la rue est Ă©troite. Quand les enfants le voir, ils l'appellent pour qu'il vienne les aider, et Amuro, jouant l'idiot, demande ce que les enfants font lĂ . Un des meurtriers ordonne alors Ă  Amuro de monter dans le camion, mais Bourbon le frappe immĂ©diatement, l'assommant. Le meurtrier restant recule et Amuro l'attache tout en demande Ă  Conan d'appeller la police. Les enfants rĂ©vĂšles enquite qu'ils sont prĂšs de la maison d'Agasa , ce qui intĂ©resse Amuro. Haibara rĂ©ussit Ă  rester derriĂšre les autres enfants, et Ă  ne pas se faire remarquer par Amuro. De son cĂŽtĂ©, Okiya observe toute la scĂšne depuis la fenĂȘtre de la maison de Shinichi . Jodie rassemble ses souvenirs Manga 850-852Anime 734[] Les suspectant d'avoir des informations importantes pour son enquĂȘte, Amuro suit Conan et Jodie et tente de les approcher avec l'apparence de quelqu'un d'autres. Il, avec l'aide de Vermouth , se dĂ©guise en un homme appelĂ© Touhei Benzaki, aprĂšs l'avoir assommĂ©. Amuro ne le sait pas, mais le vrai Benzaki s'est fait volĂ© son portefeuille par une voleuse. Devant Conan et Jodie, Amuro prĂ©tend ĂȘtre le mari de la femme qui Ă  dĂ» bander les yeux et les mains de Jodie pendant l'affaire du braquage de la banque, oĂč il Ă©tait lui-mĂȘme une victime. Il dit Ă©galement avoir vu Scar Akai quelques jours plus tĂŽt, ce Ă  quoi Conan et Jodie rĂ©agissent fortement. Jodie attrape immĂ©diatement le bras d'Amuro et l'interroge sur l'endroit oĂč cela s'est passĂ©, tandis que lui en profite pour poser secrĂštement un appareil d'Ă©coute Ă  l'intĂ©rieur de la manche de son manteau. Soudain, la voleuse s'approche d'eux et tente de voler le portefeuille de Jodie. Elle reconnaĂźt Benzaki et s'inquiĂšte du fait qu'il pourraĂźt comprendre ce qu'elle fait, mais Amuro ne paye pas attention Ă  elle. AprĂšs cela, il dĂ©clare ne pas se souvenir de l'endroit oĂč il a vu Scar Akai, Ă  cause de son rhĂ»me. Pendant la conversation avec Jodie, Amuro apprend qu'Akai adore boire les canettes de cafĂ©, et en a laissĂ© tomber une quand l'Organisation essayait d'attaquer l'hĂŽpital central d'Haido. Jodie sous-entend Ă©galement qu'elle sait que Scar Akai et le vrai Akai ne sont pas la mĂȘme personne. Elle tend Ă  Amuro son numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone et lui demande de la contacter s'il se souvient de quelquechose. Plus tard, la voleuse est assassinĂ©e par une de ses victimes, et Amuro en tant que Touhei Benzaki devient sans le vouloir, l'un des suspects. GrĂące au systĂšme d'Ă©coute, Amuro est capable d'entendre les conversations de Jodie et Conan , oĂč elle mentionne comment Conan a permis de dĂ©masquer l'espion de l'Organisation, Rikumichi Kusuda, en utilisant son tĂ©lĂ©phone. Bourbon enlĂšve son masque A la fin de l'affaire, le coupable est arrĂȘtĂ©, et Conan montre sa surprise car Benzaki n'a pas Ă©tĂ© capable de reconnaĂźtre la voleuse la seconde fois qu'il l'a vu, demandant s'il a une mauvaise vue. Amuro Ă©lude la question en disant qu'il Ă©tait lĂ  pour acheter des porte-bonheur et non pour voir les fleurs. Vermouth , imitant l'apparence de la femme qui a bandĂ© les yeux et les mains de Jodie, se joint Ă  eux, et explique que les porte-bonheur Ă©tait pour leur bĂ©bĂ©. Elle prĂ©tend avoir des nausĂ©e matinales pour pouvoir reprendre le systĂšme d'Ă©coute de la manche de Jodie , et invente une excuse pour qu'ils quittent la scĂšne de crime immĂ©diatement. Amuro retourne ensuite le portefeuilel volĂ© au vrai Benzaki puis s'en va avec Vermouth. A l'intĂ©rieur de la voiture, Amuro et Vermouth discutent un peu. Elle se demande si il a appris quelque chose d'intĂ©ressant de Jodie. Amuro dit qu'il a appris une "histoire passionnant", mais qu'il ne partagera pas les dĂ©tails avec Vermouth avant d'avoir des preuves. Il ne fait que commenter, disant que Conan est "un garçon terrifiant". L'espionnage de Bourbon Manga 856;Anime 740[] Conan suspecte le couple qui les a approchĂ© lui et Jodie d'ĂȘtre en rĂ©alitĂ© Bourbon et Vermouth dĂ©guisĂ©s. Il dĂ©cide d'appeler Haibara pour confirmer si elle a sentie ou non les membres de l'Organisation rĂ©cemment, ne sachant pas qu'Amuro le surveille depuis le coin d'une rue. Conan Edogawa Le propriĂ©taire de Taii Manga 865-868[] Une tea-party tendue Manga 888-890 Anime770-771[] Amuro se rend Ă  l'hĂŽpital central d'Haido, et rencontre Conan et Kogoro, qui rendaient visite Ă  Eri Kisaki. Amuro dit qu'il est lĂ  pour rĂ©cupĂ©rer de l'argent empruntĂ© Ă  Rikumichi Kusuda, et demande Ă  Conan s'il le connaĂźt. Il met Conan mal Ă  l'aise en mettant en Ă©vidence que Conan est quelqu'un de trĂšs spĂ©cial. Il mĂšne l'enquĂȘte avec Conan et la police, et rĂ©sout l'enquĂȘte en duo avec Conan. L'affaire de l'attaque d'un professeur Manga 891-893[] Scarlet Showdown Manga 894-898 Anime779-783[] Lors de Scarlet Showdown, Bourbon se prĂ©sente Ă  la maison des Kudo le jour de la remise des rĂ©compenses Ă  laquelle Yusaku Kudo est invitĂ©. Celui-ci laisse ses hommes de main dans la rue, et rentre dans la maison, accueilli par Subaru Okiya. Bourbon tourne autour de l'affaire en parlant de Shuichi Akai Ă  un Okiya innocent, qui continue Ă  boire son thĂ© en Ă©coutant Bourbon parler du super-agent, qui aurait survĂ©cu Ă  une balle dans la tĂȘte grĂące Ă  une poche de sang et un pistolet Ă  blanc fait par le professeur Agasa. Alors que Bourbon demande Ă  Akai de retirer son masque pour montrer son vrai visage- Bourbon pensant que Okiya Ă©tait Akai-, Okiya retire son masque qu'il portait pour son rhume, et arrive Ă  parler avec normalement, prouvant ainsi que son masque mĂ©dical ne contenait pas de modificateur de voix. A ce mĂȘme moment, les hommes de Bourbon prennent en chasse la voiture de Camel et Jodie, retournĂ©s Ă  l'endroit de la "mort" d'Akai. Bourbon continuant d'essayer de dĂ©masquer Akai reçoit un appel de ses hommes lui indiquant que le fameux Akai se trouvait Ă  l’intĂ©rieur de la voiture du FBI. Bourbon dĂ©stabilisĂ© se rend compte qu'il s'Ă©tait trompĂ© dans sa dĂ©duction et parti immĂ©diatement de la maison tout en s'excusant, ne remarquant rien Ă  la ruse utilisĂ©e par Conan et ses parents oui car celui-ci avait demandĂ© Ă  sa mĂšre de maquiller son pĂšre pour qu'il ressemble Ă  Subaru pour effacer toute suspicion concernant l'identitĂ© d'Akai qui Ă©tait en fait bien Subaru. Entre temps Akai, se trouvant dans la poursuite en voiture entre les hommes de Bourbon et le FBI, tira sur le pneu d'un vĂ©hicule ennemi et rĂ©ussi Ă  tous les stopper afin de pouvoir parler Ă  Bourbon via le tĂ©lĂ©phone d'un de ses hommes, pour lui faire comprendre qu'il connaissait son identitĂ© ainsi que ses objectifs dans l'Organisation. Lorsque tout le monde est rentrĂ© chez soi, Akai discuta avec ses collĂšgues afin de les informer d'un nouvel arrivant au sein de l'Organisation, nom de code Rum, qui se rĂ©vĂ©la ĂȘtre assez haut placĂ© Ă  l'intĂ©rieur de celle-ci. Pour conclure lors de la derniĂšre scĂšne de l'Ă©pisode de l'anime, Conan entra au Coffee Poirot lĂ  oĂč Bourbon travaillait comme serveur comme couverture et traita Bourbon de "menteur" en souriant et celui-ci lui rĂ©pondit Ă©galement avec un sourire " Et c'est toi qui dit ça ?" , autrement dit on peux dire que cette scĂšne reprĂ©sente une poignĂ©e de main entre Conan et son ex-ennemi qui sont devenu alliĂ©s car il avait surement enfin compris la vĂ©ritable place qu'occupĂ©e "Bourbon". Analyse de ses relations[] Wataru Date[] Wataru Date et Tooru Amuro Ă©taient amis Ă  l'acadĂ©mie de police. Amuro Ă©tait l'Ă©tudiant le plus douĂ©, tandis que Date tenait la seconde place. Alors que Date devint un officier de police, Amuro alla autre part et perdit le contact avec Date pour des raisons inconnues. Le dernier message de Date Ă  Amuro lui demandait oĂč il Ă©tait et le rĂ©primandait de ne donner des nouvelles que rarement. Amuro est montrĂ© visitant la tombe de Date, laissant un cure-dent en respect pour Date; Date avait l'habitude d'en avoir. Conan Edogawa[] Bourbon se pose des questions sur Conan Amuro semble respecter l'intelligence de Conan et semble Ă©galement le surveiller. Il a protĂ©gĂ© Conan lorsqu'il Ă©tait dĂ©guisĂ© en Scar Akai Ă  la banque Teito, et il l'a aussi aidĂ© lorsque Conan se fait kidnappĂ©, ou encore lorsqu'il le soigne aprĂšs s'ĂȘtre pris un coup de raquette. Avant de savoir qu'il Ă©tait Bourbon, Conan Ă©tait gĂ©nĂ©ralement amical envers Amuro. AprĂšs les Ă©vĂšnements du Mystery Train, faire face Ă  un Amuro qui traĂźne avec eux, est devenu bizarre pour Conan, surtout parce qu'il est inquiet pour la sĂ©curitĂ© de Ran et Kogoro . Bien que sa mission concernant Sherry est terminĂ©e, Amuro a dĂ©cidĂ© d'enquĂȘter sur Conan. Amuro semble savoir que Conan utilise Kogoro comme une marionette pour prĂ©senter ses dĂ©ductions. Il a Ă©galement entendu une conversation entre Jodie et Conan sur comment ce dernier a aidĂ© le FBI lorsque Kir Ă©tait Ă  l'hĂŽpital central d'Haido. Depuis qu'il a Ă©tĂ© rĂ©vĂ©lĂ© qu'Amuro est en rĂ©alitĂ© un membre de la police secrĂšte japonaise, Conan et lui semblent bien s'entendre, se respecter et se protĂ©ger l'un l'autre. A la demande d'Amuro, Conan ne dira pas Ă  Heiji sa rĂ©elle identitĂ©, se contentant de dĂ©crire Amuro comme Ă©tant "un dĂ©tective apprenti de Kogoro". Tooru Amuro et Kogoro Kogoro Mouri[] Bourbon est l'apprenti de Kogoro Mouri. Alors qu'il pensait au dĂ©part que celui-ci Ă©tait un grand dĂ©tective, il a rapidement compris que c'Ă©tait Conan qui tirait les ficelles. Il reste son apprenti, et se sert de cette proximitĂ© avec Mouri pour enquĂȘter sur Conan. Shuichi Akai[] Shuichi Akai et Bourbon sont ennemis. Il est dĂ©clarĂ© que Bourbon dĂ©teste plus Akai que Gin ne le dĂ©teste. Bourbon croit ĂȘtre le seul capable de tuer Akai, et refusa de croire que Akai Ă©tait mort. Les sentiments d'Akai envers Bourbon sont inconnus, mais mĂȘme si ils sont sĂ»rement mutuels, ils ne sont pas aussi extrĂȘmes du cĂŽtĂ© d'Akai. La raison de leur conflit provient d'une vieille histoire avec un membre du PSB nommĂ© "Scotch", qui semblait ĂȘtre ami avec Bourbon. Akai aurait tuĂ© Scotch, comme montrĂ© dans la file 897. Vermouth[] Bourbon et Vermouth Vermouth et Bourbon semblent assez proches comme peuvent l'ĂȘtre deux personnages aussi secrets et sont souvent en contact. Bourbon est spĂ©cialisĂ© en collecte d'informations, il appartient donc vraissemblablement Ă  la mĂȘme division de reconaissance dans l'Organisation que Vermouth. Alors que l'on ne sait pas si Bourbon est le subordonnĂ© de Vermouth, elle semble suivre ses actions pendant ses missions, tandis que lui l'informe de ses dĂ©couvertes et futurs plans. Vermouth aida Bourbon Ă  se dĂ©guiser pour ressembler Ă  Akai pour qu'il puisse enquĂȘter sur la mort de son ennemi. Bourbon a fait une promesse inconnue Ă  Vermouth on dĂ©couvrira par la suite qu'il a promis de ne pas blesser Conan ou Ran, et elle l'appelle pour savoir s'il va la tenir aprĂšs la poursuite dans la nuit des dĂ©tectives Manga 796-800; Anime 671-674 Gin[] Gin n'aime pas la personnalitĂ© de Bourbon. Il n'aime particuliĂšrement pas le fait que Bourbon soit quelqu'un de si secret qui fait toujours ce qu'il lui plaĂźt. Toutefois, Gin respecte les capactiĂ©s de dĂ©ductions de Bourbon. Les deux membres ne semblent pas ĂȘtre en contact l'un avec l'autre, puisque Gin n'a pas idĂ©e de ce que fait Bourbon. Akemi Miyano[] Akemi Miyano et Amuro semblent s'ĂȘtre rencontrĂ©s Ă  un moment parce que Akemi a dit Ă  Shiho qu'Amuro avait une rivalitĂ© avec Akai. Shiho Miyano[] Sherry face Ă  Bourbon Amuro ne semble pas avoir une hostilitĂ© particuliĂšre envers Shiho, Ă  la diffĂ©rence d'autres membres de l'Organisation. Il tenta de la capturer vivante, Ă  la place de la tuer, regrettant de devoir avoir recours Ă  la violence. Amuro dit qu'il a rencontrĂ© Elena et Atsushi Miyano lorsqu'ils Ă©taient vivants. Amuro ne sait pas que Shiho est Ai Haibara . Il croĂźt donc que Sherry est morte. Masumi Sera[] Amuro rencontre Sera pour la premiĂšre fois quand Conan est kidnappĂ©. AprĂšs avoir tous les deux sauver Conan, il devient trĂšs surpris en la voyant, se demandant ce qu'elle fait lĂ . Le jour suivant, il ne se montre pas au travail. Amuro revoit Sera une seconde fois, et remarque qu'elle ressemble Ă  Shuichi Akai . Pour confirmer sa thĂ©orie, Amuro se dĂ©guise Ă  nouveau en Scar Akai pour voir sa rĂ©action. Quand Sera le voit dans la foule, elle se prĂ©cipite vers lui, comme Jodie et Camel avant, Sera est trĂšs choquĂ© de le voir. Elle lui court aprĂšs mais il disparaĂźt avant qu'elle ne puisse l'attraper. Ran se demande qui Sera poursuivait, et Sera rĂ©pond qu'elle pensait avoir vu quelqu'un qu'elle connaissait. Sera pense toutefois qu'il aurait Ă©tĂ© impossible que la personne qu'elle a vu soit la personne Ă  laquelle elle pense. Amuro la surveille d'un peu plus loin, confirmant son soupçon selon lequel Sera est reliĂ©e Ă  Akai. Elena Miyano[] Elena et Tooru semblaient proches lorsque celui-ci Ă©tait petit. Elle Ă©tait au courant que son prĂ©nom Ă©tait "Rei", et l'appelait "Rei-kun". Elle semblait le soigner lorsque celui-ci se battait et recevait des bleus. Elena est la premiĂšre personne que Tooru mentionne lorsqu'il rencontre Sherry Ă  bord du Mystery Train, prouvant que celle-ci a eu un gros impact sur lui. Jinpei Matsuda[] Ils se connaissent par l'acadĂ©mie de police. Tooru/Rei est celui qui lui a appris a dĂ©samorcĂ© les bombes. Ce qui a fini par entrainer sa mort et qui a sauvĂ© des centaines de vies. Origine de son nom[] Le nom de Tooru Amuro est inspirĂ© de Mobile Suit Gundam. Il est pris du nom du personnage principale Amuro Ray, et de l'acteur faisant la voix d'Amuro Tohru Furuya. Ce dernier fait Ă©galement la voix de Bourbon dans l'anime. Son vrai nom, Rei Furuya, vient du nom de famille du doubleur d'Amuro Tohru Furuya. Son surnom Cero ou Zero vient du fait que son prĂ©nom Rei veut dire zĂ©ro en japonais.
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RestealAx avec 21BB contre 51BB ne me choque pas, tu as de la FE avec ton bloqueur, MAIS ça marche sur un REG qui tente de marcher sur la table avec un PFR qui passe les 60% à cause des paliers sur un changement de vitesse (caricature inside) ; sur un fish qui open 4x CO avec un PFR de 15 je ne joue pas. Ce n’est à priori pas un steal, donc pas de resteal.

Il y a ceux qu’il fait rire et ceux qu’il afflige. Coluche et ses provocations divisent la France. Ici avec sa femme, VĂ©ronique, et leurs enfants, Romain et Marius. © Richard Jeannelle / Paris Match 27/08/2017 Ă  1002, Mis Ă  jour le 23/08/2017 Ă  1702 Les trente glorieuses agonisent, la crise Ă©conomique commence, mais la crĂ©ativitĂ© explose "En communautĂ© " l’expression est lĂąchĂ©e, magique. Ultime dĂ©cennie sans ordinateur individuel derniĂšre Ă©poque, Ă  jamais, oĂč l’individu, qui n’est pas encore individualiste, prĂ©fĂšre le groupe Ă  l’isolement, la communautĂ© Ă  sa chambrette, le partage Ă  l’égoĂŻsme, l’ouverture au repli. On n’imagine pas, alors, Mick Jagger se lancer dans une carriĂšre solo. Faire du rock, c’est monter un groupe de rock » ; du théùtre, crĂ©er sa propre troupe. A la tĂ©lĂ©vision, les Ă©missions sont collectives Le petit rapporteur », Alors raconte...» Les jeux de 20 h », et jusqu’à L’üle aux enfants » qui ressemble Ă  un kibboutz pour moins de 12 ans. AnnĂ©es d’autogestion comme dans La une est Ă  vous », quand les tĂ©lĂ©spectateurs dĂ©cident eux-mĂȘmes, en direct, de leurs programmes. Lire aussi AnnĂ©es 70 les chemins de la libertĂ© 1/2 - Paris Match Mais si tout se doit d’ĂȘtre collectif, tout se doit aussi d’ĂȘtre expĂ©rimental. Les deux, d’ailleurs, vont souvent de pair. Godard, influencĂ© par Brecht que les seventies ont ressuscitĂ©, fonde le groupe Dziga Vertov qui essaie le cinĂ©ma devient art et essai » d’inventer une façon maoĂŻste de filmer ; Rivette propose avec Out 1 Noli me tangere » 1971 un film qui s’étend sur douze heures et trente minutes, Ă  cĂŽtĂ© duquel La maman et la putain » de Jean Eustache trois heures quarante minutes seulement fait, deux ans plus tard, figure de court-mĂ©trage. Philippe Garrel, avec La cicatrice intĂ©rieure » 1972, s’inscrit dans la mouvance d’un courant post-structurel amĂ©ricain » — ce qui ne veut rien dire du tout, mais l’époque est volontiers jargonneuse c’est aussi ce qui fait son charme. La suite aprĂšs cette publicitĂ© Lire aussi Dans les archives de Match - 1970, les annĂ©es Michel Delpech L’expĂ©rience peut facilement, dans cette Ăšre des bornes sans cesse dĂ©passĂ©es et des limites constamment franchies, dĂ©boucher sur des objets qui sĂšment quelque peu l’effroi. Nous ne parlons point lĂ  de L’exorciste » 1973 ni de Massacre Ă  la tronçonneuse » 1974, mais de ce nouveau courant, baptisĂ© snuff movie », qui mettrait en scĂšne de vĂ©ritables exĂ©cutions, viols, tortures, meurtres ou suicides... Heureusement, on apprendra que cela aussi n’était finalement que du cinĂ©ma », et que de tels films n’ont, en rĂ©alitĂ©, jamais existĂ© ! ExpĂ©rimentaux, aussi, le théùtre qui devient contemporain », notamment avec Jean-Claude Grumberg, la musique Boulez fonde l’Ircam en 1977, la littĂ©rature Paradis », de Sollers, sans ponctuation aucune ; La disparition », de Georges Perec, Ă©crit sans employer la lettre e » ; Pierre Guyotat, Jack Thieuloy qui inventent leurs propres grammaires, la poĂ©sie Jacques Roubaud et la bande de l’Oulipo ; Denis Roche, la danse crĂ©ation, en 1974, du GRTOP, Groupe de recherches théùtrales de l’OpĂ©ra de Paris, l’architecture. On y revient toujours, c’est ainsi tout est centre », cellule », coopĂ©rative », collectif » ou groupe » de recherche, de rĂ©flexion, d’études. MĂȘme les vieilles badernes, vouĂ©es au dĂ©goĂ»t du jour, sont ravivĂ©es par ce biais un centre d’études gidiennes » on imagine presque des salles façon Nasa est créé Ă  l’universitĂ© de Lyon. La suite aprĂšs cette publicitĂ© Agriculteurs et militants se donnent la main pour empĂȘcher l'extension du camp militaire du Larzac et l'expropriation des paysans en aoĂ»t 1977 © AFP Tout devient expĂ©rience ou expĂ©rimental ce n’est pas par hasard que Jimi Hendrix, ce Comanche black envoĂ»tĂ© qui fait l’amour Ă  sa guitare avant d’y mettre le feu, baptise sa formation The Jimi Hendrix Experience » la marge, l’illĂ©galitĂ© dĂ©finissent une seconde norme, une lĂ©galitĂ© parallĂšle. On s’exclut d’abord pour s’inclure autrement, trouver sa place, construire un projet, en harmonie avec le tout, arborant l’étendard indien de l’amour des autres les hippies. On s’exclura ensuite pour s’exclure totalement, refuser toute place, dĂ©truire tout projet, en conflit avec tous, hissant le pavillon londonien de la haine de soi les punks annoncĂ©s dĂšs 1972 avec l’extraordinaire Orange mĂ©canique » de Stanley Kubrick. A partir de 1977, l’annĂ©e oĂč triomphe Rockollection » et oĂč meurt Elvis, le tube de colle remplace la marijuana ; l’anarchie, drapĂ©e dans des croix gammĂ©es inversĂ©es, sent dĂ©sormais la biĂšre tiĂšde, sur fond de tessons de bouteille, de zones industrielles, de bouches d’égout dont on rĂ©cupĂšre les rats. Mais le monde n’est pas suffisamment vaste ; il s’agit de le continuer dans les Ă©toiles. Et comme la communautĂ© humaine n’est point assez Ă©tendue, on va chercher d’autres frĂšres, plus lointains. Non seulement l’homme va presque tous les jours sur la Lune ce qui n’étonne ni ne passionne plus personne, mais se dĂ©veloppe un goĂ»t pour les soucoupes volantes et les extraterrestres sans lequel ces annĂ©es-lĂ  ne seraient plus ces annĂ©es-lĂ . L’astronome Carl Sagan lance la mode des ovnis rĂ©cupĂ©rĂ©e par l’inĂ©narrable Jean-Claude Bourret en France et rĂ©dige sur une plaque mĂ©tallique de la sonde Pioneer, en 1972, un message en forme de bouteille Ă  la mer interstellaire » aux hypothĂ©tiques occupants du cosmos ».De cette obsession passĂ©e de mode, il restera un grand film Rencontres du troisiĂšme type », de Steven Spielberg 1977, oĂč François Truffaut incarne un scientifique. Le nombre de sectes explose, dont les gourous, Ă  l’instar de l’ex-chanteur yĂ©yĂ© Claude Vorilhon devenant RaĂ«l, prĂ©tendent avoir eu des rendez-vous avec les petits hommes verts. On s’étonne d’ailleurs, avec le recul, qu’aucun Martien n’ait choisi les annĂ©es 70 pour se prĂ©senter Ă  nous. Nous visitant aujourd’hui, ils s’ennuieraient ; livrĂ©s au crack ou Ă  la MDMA, ils ne pourraient tester la forme festive des drogues, vivre ce qu’avaient vĂ©cu John Lennon, Pete Townshend avec le LSD, Lou Reed, Nico et Keith Richards avec l’hĂ©roĂŻne, Keith Moon avec les amphĂ©tamines. Rock psychĂ©dĂ©lique » fascinante Ă©poque oĂč l’on crĂ©ait des catĂ©gories lĂ©gales Ă  partir de substances illicites ! Le 4 aoĂ»t 1978, Mesrine pose pour Paris Match arme au poing et dĂ©clare Maintenant c’est la guerre [...] je ne me rendrai pas. » Le 2 novembre 1979, la police l’abat porte de Clignancourt, Ă  Paris. © DR Ce psychĂ©dĂ©lisme scientifique » ne doit pas occulter cette particularitĂ© qu’ont les annĂ©es 70 Ă  planer trĂšs loin tout en volant trĂšs haut la science passionne le grand public ; la science-fiction acquiert enfin ses lettres de noblesse, tant en BD, avec Moebius, au cinĂ©ma, avec George Lucas, qu’en littĂ©rature. Cyborg » 1972, best-seller amĂ©ricain dont le hĂ©ros bionique » s’appelle Steve Austin, donne naissance Ă  une sĂ©rie cĂ©lĂšbre, L’homme qui valait 3 milliards » puis, fĂ©minisme oblige, Ă  son pendant fĂ©minin, Super Jaimie », annonçant l’actuel dĂ©bat sur le transhumanisme. L’avenir du futur » propose chaque semaine, Ă  une heure de grande Ă©coute, des dĂ©bats tĂ©lĂ©visĂ©s avec des astrophysiciens, des mathĂ©maticiens, des biologistes de renom. Temps X », animĂ© par les frĂšres Bogdanov, invite les adolescents Ă  dĂ©couvrir l’Univers et la physique. Et mĂȘme Bernard Pivot, dans son Ă©mission littĂ©raire, donne la parole Ă  des scientifiques de renom. En 1975, un Ă©ternel ado, Bill Gates, dĂ©missionne de Harvard pour fonder Microsoft avec un ami. Un an plus tard, un baba cool fauchĂ©, fan de Bob Dylan et de Joan Baez, crĂ©e Apple, Ă©galement avec un ami. Il s’appelle Steve amis, parlons-en. En 1972, 1973, 1976, on n’est pas amis sur Facebook » sans se connaĂźtre dans la vraie vie » ; en 1972, 1973, 1976, la vie est toujours vraie », on se rend chez les copains Ă  l’improviste, on privilĂ©gie le contact humain, on partage, utopiquement peut-ĂȘtre, mais pas virtuellement. Les vĂ©ritables ancĂȘtres des rĂ©seaux sociaux sont, d’une part, les rassemblements et les festivals, d’autre part, les manifs et les AG » assemblĂ©es gĂ©nĂ©rales. La suite aprĂšs cette publicitĂ© La suite aprĂšs cette publicitĂ© Has been la mini des annĂ©es 60. Yves Saint-Laurent rallonge les jupes. Marisa Berenson est sa muse, "la it girl des annĂ©es 70", comme l'appelle le couturier, pose ici chez lui. © DR Dans le sillage de Woodstock, les festivals pop se multiplient ; l’üle de Wight, Knebworth, Glastonbury dĂ©placent des centaines de milliers de jeunes revĂȘtus de fleurs et d’espoirs venus pour planer devant des idoles qui planent davantage encore Hendrix, Miles Davis, les Who, les Doors, Pink Floyd, Led Zeppelin, les Stones. MĂȘme les punks ont les leurs les Clash et les Damned se produisent Ă  Mont-de-Marsan. Quant aux AG », les trotskistes, les maoĂŻstes, la gauche prolĂ©tarienne, parfois appuyĂ©s par Sartre ou Godard, les multiplient pour dĂ©fendre les ouvriers et dĂ©noncer le crypto-fascisme du pouvoir ; dans un sabir rempli de mots en isme », on passe des milliers d’heures, entre tigres de papier », Ă  voter des motions pour ou contre la lutte armĂ©e. La plupart du temps, on se dĂ©gonfle, d’autant que Giscard a provisoirement, comme son homologue Carter aux Etats-Unis, fait souffler un vent de modernitĂ© sur la France. Il n’en reste pas moins que les affrontements entre gauchistes » et milices patronales sont parfois violents, allant jusqu’au drame la mort du militant ouvrier maoĂŻste-spontanĂ©iste » Pierre Overney, en 1972, tuĂ© par un vigile de chez Renault, est l’occasion d’un rassemblement de 200 000 personnes et d’émeutes aux cocktails Molotov le cocktail prĂ©fĂ©rĂ© de la dĂ©cennie. Car le corps, dans ces annĂ©es de poudre », ne fait pas simplement l’amour ; il fait la guerre. Mais les guerres des annĂ©es 70, au-delĂ  de leurs atrocitĂ©s et du nombre affligeant de leurs victimes, semblent porteuses d’espoir les accords d’Helsinki, signĂ©s en 1975, sont une sorte de dĂ©calogue de la paix ». La guerre civile Ă  Soweto, oĂč la police sud-africaine assassine des jeunes du ghetto noir parce qu’ils refusent de passer des examens dans la langue des colons l’afrikaans, provoque un soulĂšvement dans les townships qui changera Ă  jamais le rapport de force entre oppresseurs et opprimĂ©s. La guerre du Vietnam provoque la naissance d’un mouvement pacifiste mondial. On fait la guerre Ă  la guerre toutes proportions gardĂ©es, dans le Larzac aussi, les chevelus constituent une vĂ©ritable armĂ©e pour
 s’opposer Ă  l’installation de l’armĂ©e dans la rĂ©gion !. Le bourbier vietnamien humilie, internationalement, la puissance amĂ©ricaine ; ce sera la victoire, en 1975, de David contre Goliath. Les gentils d’hier sont les mĂ©chants d’aujourd’hui. L’impĂ©rialisme n’est plus supportable. Les consciences se mobilisent Ă  travers les protest songs ». Les stars deviennent engagĂ©es. Contrairement Ă  Bob Dylan, qui prĂ©tend que c’est impossible, Joan Baez ou John Lennon en appellent Ă  une paix Ă©ternelle, invitant chaque jeune Ă  se transformer en manifestant. MĂȘme les forces de l’ordre sont gagnĂ©es par ce qu’on nomme les mouvements contestataires » aprĂšs Serpico » et Shaft », impensables dix ans plus tĂŽt, Starsky et Hutch », avec leurs pattes d’eph, incarnent des flics post-Vietnam et post-Watergate plus proches des campus que des autoritĂ©s. Les Ă©crivains, les poĂštes font de la politique Jean-Edern Hallier, Philippe Sollers en France ; Allen Ginsberg aux Etats-Unis. On n’écrit plus de romans, on analyse le langage, façon Chomsky. On est frivole et cĂ©rĂ©bral Ă  Ă©galitĂ©. On sĂšche les cours pour baiser et / ou pour Ă©couter Lacan, Barthes et Derrida. AprĂšs la chair, la chaire. La politique, voilĂ  qui servira, s’imagine-t-on, Ă  faire tomber les murs. Or, qui est l’ennemi du corps, sinon la cloison ? Abattre les Ă©difices, non seulement des centres pĂ©nitentiaires que critique Foucault, mais tous les autres murs — Ă  commencer par ceux qui sĂ©parent le foyer de la rue, les scĂšnes théùtrales des trottoirs, les rĂ©dactions des bistrots, les galeries de musĂ©es des usines. L’art, dĂ©semmurĂ© », dĂ©sencloisonnĂ©, se met Ă  descendre dans la rue ». Les maisons de la culture » de Malraux doivent ĂȘtre concassĂ©es les théùtres ambulants, les troupes itinĂ©rantes se multiplient, jouent sous la canicule ou sous la pluie, sans un sou vaillant, mais ensemble le souci d’ĂȘtre ensemble et fauchĂ© sera, dĂšs 1980, remplacĂ© par celui d’ĂȘtre seul et plein de fric, avec comme ennemie cette fameuse bourgeoisie », qui a confisquĂ© la culture pendant trop longtemps. Et comme la culture est bourgeoise, comme la culture est un gros mot, il s’agit d’en inventer une autre et tant pis si elle sera rĂ©cupĂ©rĂ©e plus tard par les bourgeois la contre-culture. C’est Crumb, c’est la BD, c’est Actuel », c’est Charlie Hebdo », c’est Reiser, c’est Wolinski, c’est Fluide glacial », c’est Gotlib, c’est L’Echo des savanes », c’est Claire BretĂ©cher. Autre mur Ă  abattre le couple. L’amour doit s’arracher de cette camisole et ĂȘtre libre » Ă  son tour. On essaiera l’amour Ă  plusieurs, moins bourgeois » que l’amour Ă  deux. Le bourgeois est l’ennemi, mais juste en dessous du flic, gĂ©nĂ©ralement assimilĂ© Ă  un facho » et que les chansons du jeune Renaud, anar issu de cette bourgeoisie honnie, malmĂšnent et invectivent. A Ă©couter Hexagone », on se doute bien, par ailleurs, que les annĂ©es 70 en France, celles de Dupont Lajoie » Yves Boisset, 1975, ne sont pas tout Ă  fait les annĂ©es 70 en AmĂ©rique ils ont Columbo dont les enquĂȘtes seraient rĂ©solues aujourd’hui en trois minutes grĂące aux tests ADN, nous avons le commissaire Moulin ; ils ont Robert De Niro, nous avons Louis de FunĂšs ; ils ont Faye Dunaway, nous avons Mireille Darc ; ils ont le Grateful Dead, nous avons Mireille Mathieu. La France ne peut faire autrement que rester totalement la France. Pas de ciel sans un peu de terre, voire de terroir. DĂšs 1971, on fait berger dans l’ArdĂšche parce qu’on a compris que la sociĂ©tĂ© ne bougerait plus ». En 2017, on veut sauver sa peau ; en 1973, c’était le Larzac — en regardant La petite maison dans la prairie » ? Les annĂ©es 70 sont d’une abyssale complexitĂ© en mĂȘme temps qu’on veut changer le monde, on accuse rĂ©ception de cette impossibilitĂ©. En mĂȘme temps qu’on veut larguer les amarres, on va s’ancrer dans les villages. Une tension perpĂ©tuelle existe entre le vivre ailleurs et le vivre autrement. Car ce qui compte, ce n’est pas tant le mouvement que la rupture » si chĂšre Ă  François Mitterrand, qui, depuis le congrĂšs d’Epinay 1971, entend changer la vie ».La rupture remplace la continuitĂ©. Rompre, c’est d’abord s’en aller. Il faut partir », disait Rimbaud, prĂ©curseur de 68, que la jeunesse consacre autant que Jim Morrison ou Boris Vian dont les livres deviennent les brĂ©viaires de l’aprĂšs-68, tous deux musiciens et chanteurs, tous deux morts d’avoir trop tirĂ© sur la corde, tous deux jeunes et beaux pour l’éternitĂ©. Les danseuses du Crazy Horse, autour de Lova Moor, la femme du patron, proposent pour NoĂ«l 1970 un programme ambitieux et rythmĂ©. © Jack GAROFALO/PARISMATCH/SCOOP Le monde est Ă  la portĂ©e de tout auto-stoppeur ; il a cessĂ© d’ĂȘtre trop grand vision bourgeoise, vision bornĂ©e pour ĂȘtre trop petit vision nomade, vision ouverte. On ne visite plus, on voyage Nouvelles FrontiĂšres s’installe dans les provinces 1972, Terres d’aventure voit le jour 1976 ; on ne change pas d’air, on s’évade, comme Steve McQueen dans Papillon » 1973. Loin, trĂšs loin de chez ses vieux », on n’explore plus, on expĂ©rimente le premier Guide du routard » est une invitation Ă  faire la route des Zindes » ; A nous les petites Anglaises », une introduction aux dĂ©couvertes linguistiques et linguales ; Katmandou, Goa, Porto Seguro sont aux annĂ©es 70 ce que Saint-Tropez fut aux annĂ©es 60. Kerouac a fait des Ă©mules. Et pour les moins aventuriers, il reste le Club Med, si bien dĂ©crit dans Les bronzĂ©s », qui mĂȘle l’exotisme Ă  la dĂ©conne mais, lĂ  aussi, de groupe. On n’est pas encore mondialisĂ©, mais on est mondial Alan Stivell, un Breton, invente la world music ». Les sabots sont forcĂ©ment suĂ©dois, les gilets obligatoirement afghans, les caftans Ă©videmment berbĂšres. Autre grand mot de la pĂ©riode contestation » le reggae, nĂ© dans les bidonvilles de Kingston, conteste l’existence des ghettos. La guerre du Kippour, dont les pays de l’Opep appartenant au tiers monde » selon l’humiliante expression en vogue essaient d’empĂȘcher l’issue, dĂ©clenche en 1973 le premier choc pĂ©trolier Votre progrĂšs fantastique, vos revenus et vos richesses plus fantastiques encore, fondĂ©s sur le pĂ©trole Ă  bon marchĂ©, sont terminĂ©s », clame TĂ©hĂ©ran. En trois mois, le prix du baril de brut est multipliĂ© par quatre ; le monde est Ă©branlĂ©. Les princes arabes apparaissent sur la scĂšne internationale, qu’ils ne quitteront plus. Les Etats appellent les citoyens Ă  ne plus gaspiller. En Occident, la sociĂ©tĂ© de l’outrance, le monde de l’abondance commence, stupĂ©fait et sonnĂ©, Ă  rĂ©gler les thermostats et Ă  Ă©teindre les lumiĂšres. La France, comme Ă  son habitude, cabotine On n’a pas de pĂ©trole, mais on a des idĂ©es » ; parmi elles le nuclĂ©aire, dont les Ă©cologistes, qui deviennent, en Allemagne notamment, une force politique significative, sont les irrĂ©ductibles ennemis. C’est le dĂ©but du tiers-mondisme ou, si l’on veut, du dĂ©clin de l’Occident » — d’autant que l’explosion de la facture pĂ©troliĂšre apparaĂźt sur fond de productivitĂ© fatiguĂ©e, d’inflationnisme sournois et, depuis 1971, sur une dĂ©cision de Nixon, de rĂ©gime de changes flottants. En France, la croissance s’étiole, le chĂŽmage commence Ă  monter ; on pourra continuer Ă  s’amuser encore un peu, mais ce sera, sans doute, la toute derniĂšre fois. L’économie de marchĂ© va pouvoir se dĂ©clencher, au dĂ©triment de l’économie planifiĂ©e. La rĂ©volution iranienne provoque le deuxiĂšme choc pĂ©trolier 1979. Et quand le pĂ©trole n’asphyxie pas l’économie, il empoisonne la mer. C’est la marĂ©e noire ». En 1978, un superpĂ©trolier de 334 mĂštres, l’ Amoco Cadiz », dĂ©verse 80 000 tonnes d’ Arabian light » et goudronne les flots, la flore et la faune de l’Atlantique 300 kilomĂštres de littoral sont emmazoutĂ©s, 10 000 oiseaux pĂ©rissent ; le flower power » est loin. C’est le spectre visqueux de nos abus qui semble vouloir hanter les consciences, sous la forme d’un sentiment de culpabilitĂ© mondiale. Le peace and love » n’était peut-ĂȘtre que le cache-misĂšre d’une sociĂ©tĂ© gĂątĂ©e, malade, folle ; d’un monde inĂ©galitaire, scindĂ©, schizophrĂšne. Et si les beatniks n’étaient finalement rien d’autre, jusque dans leur rĂ©bellion utopiste, que des produits de la sociĂ©tĂ© de consommation ? Et si les punks avaient raison ?Le gĂ©nie des annĂ©es 70, c’est de nous avoir fait retenir le meilleur d’elles ; elles sont moins masochistes que les annĂ©es 80, qui n’aiment rien tant que nous rappeler leurs pires dĂ©semmurĂ© » va descendre dans la rue, les troupes itinĂ©rantes se multiplient et jouent sans un sou mais ensemble Pourtant, dans la dĂ©cennie enchantĂ©e, il y eut la rĂ©pression de Pinochet au Chili, le putsch argentin, deux crises Ă©conomiques majeures, Septembre noir en Jordanie, la guerre entre l’Inde et le Pakistan, l’occupation d’une partie de Chypre par les Turcs, la prise du pouvoir par les Khmers rouges et l’assassinat du peuple cambodgien, le dĂ©clenchement d’une guerre civile entre catholiques et musulmans au Liban, la dĂ©vastation du Bangladesh par un cyclone, le scandale du Watergate, la peine de mort, les inondations en Inde, une autre guerre civile en Angola, l’humiliation des immigrĂ©s en France, l’assassinat de onze IsraĂ©liens par un commando palestinien pendant les Jeux olympiques et l’éclosion du terrorisme international des Brigades rouges Ă  l’Ira en passant par la bande Ă  Baader ou Action directe, le conflit du Sahara occidental, le Bloody Sunday en Irlande du Nord, la rĂ©volution thĂ©ocratique en Iran, la fĂ©rocitĂ© de la politique thatchĂ©rienne, des sĂ©ismes historiques en Chine, au PĂ©rou, au Guatemala et en Iran, la furie d’un ouragan contre la Floride, la canicule de l’étĂ© 1976, la sĂ©cheresse et la famine au Sahel, l’embrasement apocalyptique d’un camping en Espagne, l’invasion de l’Afghanistan par les troupes soviĂ©tiques. Eh bien non, malgrĂ© tout cela, ce qui reste est le sourire de Faye Dunaway, le laser de Luke Skywalker, le hiĂ©ratisme de Björn Borg et le triomphe d’Abba. Car s’il est bien quelque chose d’extraordinaire, dans les annĂ©es 70, c’est leur vitalitĂ© elles ne veulent tellement pas mourir, elles sont tellement dĂ©cidĂ©es Ă  imposer leur rythme qu’elles vont in extremis, juste avant de passer le relais aux annĂ©es 80 parvenir Ă  noyer la noirceur punk sous les beats » du disco. Les annĂ©es 70, aprĂšs tous ces abus, ne pouvaient s’achever que dans la fiĂšvre ; ce sera celle du samedi soir Saturday Night Fever ». Le phĂ©nomĂšne Travolta sera le dernier avatar de la pĂ©riode, qui arrive Ă  quai Ă  bout de a demandĂ© en 2005 Ă  Diana Ross si elle avait des regrets. RĂ©ponse oui. Celui d’avoir coupĂ© mes cheveux trop court
 Mais c’était la fin des annĂ©es 70, l’époque des faux pas pour tout le monde. » Fin des seventies tout le monde s’égare, hĂ©bĂ©tĂ©, vidĂ©, essorĂ© ; il est temps de redescendre, de se mettre Ă  l’eau plate, d’éteindre sa cigarette et de faire son footing tous les matins. Comme l’annonce Ă  l’aurore, et non sans un pincement au cƓur, Michel Jonasz en 1979 Les annĂ©es 80 commencent. » Amen. TFXen direct : 🔮 Retrouvez gratuitement et en direct tous les programmes, Ă©missions et sĂ©ries de TFX sur MYTF1. Re Episode 02 Dites-le avec des fleurs par kanada Mer 20 Nov 2013, 1146 pmSalut Ă  tous ,En complĂ©ment Ă  l'excellent travail de Sylvain, trois nouveaux sites trouvĂ©s ce soir La station service oĂč les ravisseurs ont donnĂ© rendez-vous Ă  Jarvis 8610 S Sepulveda Blvd, Los Angeles, CA 90045L'immeuble oĂč habite Gloria West 865 Comstock Avenue, Los Angeles, CA 90024La Marina oĂč Columbo retrouve Cathy Goodland et Ken Nichols Marina del Rey, CA 90292 Sujets similairesPermission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forum Regarderen plein Ă©cran. il y a 5 mois. Columbo - Des sourires et des armes - 11/02/17
Film Complet Français1974 FilmDites-le avec des fleurs0Classements de films 0/100 VotesDate de sortie 1974-09-04Production Office de Radiodiffusion TĂ©lĂ©vision Française / Hamster Productions / Avenir Films / SociĂ©tĂ© du Film / Page Wiki avec des fleursGenre DrameThrillerDites-le avec des fleurs Streaming en FrancaisTitre original Dites-le avec des fleursPopularitĂ© 100 MinutesSlogan Dites-le avec des fleurs Streaming en Francais. Dites-le avec des fleurs streaming francais. Dites-le avec des fleurs regarder Dites-le avec des fleurs online gratuit Regardez un film en ligne Ă  travers les meilleures vidĂ©os HD 1080p gratuites sur ordinateur de bureau, ordinateur portable, ordinateur portable, tablette, iPhone, iPad, Mac Pro et plus avec des fleurs – Acteurs et actriceDites-le avec des fleurs – Bande annonce Streaming en FrancaisFilm CompletDans une catĂ©gorie similaire
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Les termes de cookie » ou traceur » recouvrent par exemple les cookies HTTP, les cookies flash », le rĂ©sultat du calcul d’une empreinte unique du terminal dans le cas du fingerprinting » calcul d'un identifiant unique du terminal basĂ©e sur des Ă©lĂ©ments de sa configuration Ă  des fins de traçage, les pixels invisibles ou web bugs », tout autre identifiant gĂ©nĂ©rĂ© par un logiciel ou un systĂšme d'exploitation numĂ©ro de sĂ©rie, adresse MAC, identifiant unique de terminal IDFV, ou tout ensemble de donnĂ©es qui servent Ă  calculer une empreinte unique du terminal par exemple via une mĂ©thode de fingerprinting ». Ils peuvent ĂȘtre dĂ©posĂ©s et/ou lus, par exemple lors de la consultation d'un site web, d’une application mobile, ou encore de l'installation ou de l'utilisation d'un logiciel et ce, quel que soit le type de terminal utilisĂ© ordinateur, smartphone, tablette numĂ©rique ou console de jeux vidĂ©o connectĂ©e Ă  internet. Quel est le cadre juridique applicable ? L'article 53 de la directive 2002/58/CE modifiĂ©e en 2009 pose le principe d'un consentement prĂ©alable de l'utilisateur avant le stockage d'informations sur son terminal ou l'accĂšs Ă  des informations dĂ©jĂ  stockĂ©es sur celui-ci ; sauf si ces actions sont strictement nĂ©cessaires Ă  la fourniture d'un service de communication en ligne expressĂ©ment demandĂ© par l'utilisateur ou ont pour finalitĂ© exclusive de permettre ou faciliter une communication par voie Ă©lectronique. L’article 82 de la loi Informatique et LibertĂ©s transpose ces dispositions en droit français. La CNIL rappelle que le consentement prĂ©vu par ces dispositions renvoie Ă  la dĂ©finition et aux conditions prĂ©vues aux articles 411 et 7 du RGPD. Il doit donc ĂȘtre libre, spĂ©cifique, Ă©clairĂ©, univoque et l’utilisateur doit ĂȘtre en mesure de le retirer, Ă  tout moment, avec la mĂȘme simplicitĂ© qu’il l’a accordĂ©. Afin de rappeler et d’expliciter le droit applicable au dĂ©pĂŽt et Ă  la lecture de traceurs dans le terminal de l’utilisateur, la CNIL a adoptĂ© le 17 septembre 2020 des lignes directrices, complĂ©tĂ©es par une recommandation visant notamment Ă  proposer des exemples de modalitĂ©s pratiques de recueil du consentement. A qui s'impose cette obligation ? Elle s’impose aux responsables du ou des traitements qui dĂ©posent des traceurs soumis au consentement en application de l’article 82 de la loi Informatique et LibertĂ©s par exemple lorsque les Ă©diteurs autorisent le dĂ©pĂŽt de cookies qui sont ensuite lus par des rĂ©gies publicitaires. Ces derniers sont rĂ©putĂ©s ĂȘtre responsables conjoints du traitement dans la mesure oĂč ils dĂ©terminent conjointement les finalitĂ©s et les moyens des opĂ©rations de lecture et Ă©criture sur l’équipement terminal des utilisateurs. 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Comment recueillir valablement le consentement ? Le consentement doit se manifester par une action positive de la personne prĂ©alablement informĂ©e, notamment, des consĂ©quences de son choix et disposant des moyens d’accepter, de refuser et de retirer son consentement. Des systĂšmes adaptĂ©s doivent donc ĂȘtre mis en place pour recueillir le consentement selon des modalitĂ©s pratiques qui permettent aux internautes de bĂ©nĂ©ficier de solutions simples d’usage. L'acceptation de conditions gĂ©nĂ©rales d'utilisation ne peut ĂȘtre une modalitĂ© valable de recueil du consentement. Le consentement doit ĂȘtre prĂ©alable au dĂ©pĂŽt et/ou Ă  la lecture de cookies. Tant que la personne n'a pas donnĂ© son consentement, les cookies ne peuvent pas ĂȘtre dĂ©posĂ©s ou lus sur son terminal. Il doit ĂȘtre requis Ă  chaque fois qu'une nouvelle finalitĂ© nĂ©cessitant le consentement vient s'ajouter aux finalitĂ©s initialement prĂ©vues. Le consentement est une manifestation de volontĂ©, libre, spĂ©cifique, univoque et Ă©clairĂ©e. La validitĂ© du consentement est donc notamment liĂ©e Ă  la qualitĂ© de l'information reçue. Elle doit ĂȘtre visible, mise en Ă©vidence et complĂšte. Elle doit ĂȘtre rĂ©digĂ©e en des termes simples et comprĂ©hensibles par tout utilisateur. Elle doit permettre aux internautes d'ĂȘtre parfaitement informĂ©s notamment s’agissant des diffĂ©rentes finalitĂ©s des cookies et de l’identitĂ© des responsables du ou des traitements. Afin de concilier concision et prĂ©cision de l’information, il est possible d’avoir deux niveaux d’information par exemple, un premier niveau peut briĂšvement dĂ©crire chaque finalitĂ© de traitement, tandis qu’un second niveau viendrait fournir plus de dĂ©tails sur ces finalitĂ©s et sur la liste des responsables du ou des traitements. Le consentement n'est valide que si la personne exerce un choix rĂ©el. L'utilisateur doit pouvoir accepter ou refuser le dĂ©pĂŽt et/ou la lecture des cookies avec le mĂȘme degrĂ© de simplicitĂ©. Aux termes du considĂ©rant 42 du RGPD, qui Ă©claire l’exigence de libertĂ© du consentement posĂ©e par son article 4, le consentement ne devrait pas ĂȘtre considĂ©rĂ© comme ayant Ă©tĂ© donnĂ© librement si la personne concernĂ©e ne dispose pas d'une vĂ©ritable libertĂ© de choix ou n'est pas en mesure de refuser ou de retirer son consentement sans subir de prĂ©judice ». Par ailleurs, la CNIL recommande que ce choix soit effectuĂ© sur chacun des sites ou applications concernĂ©s par le suivi de navigation. Le consentement doit pouvoir ĂȘtre retirĂ© simplement et Ă  tout moment par l'utilisateur. Il doit ĂȘtre aussi simple de retirer son consentement que de le donner. Des solutions permettant aux utilisateurs de retirer leur consentement doivent ĂȘtre mises Ă  la disposition de l’utilisateur. Elles doivent ĂȘtre accessibles Ă  tout moment. Comment prouver que l’on a bien recueilli le consentement ? Chaque acteur se prĂ©valant du consentement doit ĂȘtre en mesure d’en apporter la preuve. Il peut pour cela utiliser les modalitĂ©s suivantes, non exclusives Une mise sous sĂ©questre auprĂšs d’un tiers du code informatique utilisĂ© par l’organisme recueillant le consentement, pour les diffĂ©rentes versions de son site ou de son application mobile, voire simplement par la publication horodatĂ©e sur une plate-forme publique d’un condensat ou hash » de ce code pour pouvoir prouver son authenticitĂ© a posteriori ; Une capture d’écran du rendu visuel affichĂ© sur un terminal mobile ou fixe peut ĂȘtre conservĂ©e, de façon horodatĂ©e, pour chaque version du site ou de l’application ; Des audits rĂ©guliers des mĂ©canismes de recueil du consentement mis en Ɠuvre par les sites ou applications depuis lesquels il est recueilli peuvent ĂȘtre mis en Ɠuvre par des tiers mandatĂ©s Ă  cette fin ; Les informations relatives aux outils mis en Ɠuvre et Ă  leurs configurations successives tels que les solutions de recueil du consentement, Ă©galement connues sous l’appellation CMP Consent Management Platform » peuvent ĂȘtre conservĂ©es, de façon horodatĂ©e, par les tiers Ă©ditant ces solutions Texte referencePour approfondir Document referenceDocuments Ceci peut Ă©galement vous intĂ©resser ... Bienavant que Thomas Tuchel prenne le contrĂŽle du PSG, Franz Beckenbauer fut le premier Allemand Ă  entraĂźner une grosse Ă©curie française : l’OM de Bernard Tapie. Ceux qui ont connu cette Tout le monde est mort, sauf Johnny. La rĂ©alitĂ© est encore plus cruelle que dans "les Diaboliques", ce film qui marqua d'un trait macabre l'histoire du cinĂ©ma français au mitan des annĂ©es 1950. Paul Meurisse, interprĂšte de ce salopard de Michel Delassalle, vrai-faux noyĂ© par sa femme et sa maĂźtresse ? EmportĂ© en 1979 par une crise cardiaque. Simone Signoret l'amante, succombera six ans aprĂšs d'un cancer du pancrĂ©as. Quant Ă  son Ă©pouse de fiction et directrice d'Ă©cole VĂ©ra Clouzot, tout Ă  la fois meurtriĂšre et victime, elle n'a survĂ©cu que cinq ans Ă  ce succĂšs planĂ©taire une crise cardiaque comme dans le film ! la terrasse en 1960 – Henri-Georges, son cinĂ©aste de mari, frappĂ© du mĂȘme mal, casse littĂ©ralement sa pipe en 1977. Tout le monde est mort, on vous dit. MĂȘme l'acteur campant Moinet, le gamin mythomane haut comme trois pommes qui jure, Ă  la fin du film, avoir vu "Madame la directrice bien vivante" contrairement au spectateur dix secondes plus tĂŽt n'est plus de ce monde. Yves-Marie Maurin frĂšre de Patrick Dewaere, mort lui aussi nous a quittĂ©s en 2009, Ă  65 suite aprĂšs la publicitĂ© Johnny H enfin Jean-Philippe Smet, 11 ans, derriĂšre Simone Signoret dans "les Diaboliques" 1955 On le rĂ©pĂšte seul Johnny tient toujours Ă  la verticale. En 1954, il a 11 ans, possĂšde dĂ©jĂ  un rudiment de mĂ©tier pour avoir suivi des cours de comĂ©die au théùtre du Grand-Guignol. Assez pro en tout cas pour ĂȘtre choisi parmi 300 candidats en culotte courte, et garnir ainsi les classes du Cours privĂ© Dellassalle oĂč se dĂ©roule l'intrigue des "Diaboliques". On le distingue derriĂšre Simone Signoret lors de la sĂ©quence de la photo collĂ©giale. "Le mois de tournage au chĂąteau de L'Etang-la-Ville ressemble Ă  des vacances dorĂ©es et turbulentes" raconte-t-il dans son autobiographie "Destroy". Nous Ă©tions dorlotĂ©s et chouchoutĂ©s par VĂ©ra Clouzot. Mais le plus fascinant, pour des gamins, c'Ă©tait de se retrouver avec les grandes stars des annĂ©es 1950 Simone Signoret, Charles Vanel, Paul Meurisse
 De figurant, je fus mĂȘme Ă©levĂ© au rang d'acteur. On me confia une rĂ©plique. Pour moi tout seul. La scĂšne fut coupĂ©e au montage
"A Samuel Blumenfeld, journaliste au "Monde", intervenant en bonus de la nouvelle Ă©dition DVD du film, Johnny balance par ailleurs le mĂȘme souvenir qu'Ă  peu prĂšs toute l'Ă©quipe des "Diaboliques" "Henri-Georges Clouzot n'Ă©tait pas trĂšs sympa." Avec les enfants du film, comme avec le reste du monde. VĂ©ra et Henri-Georges, l'amour-Ă©mulation Avec sa femme VĂ©ra, c'est une autre histoire, plus complexe. Le cinĂ©aste s'est entichĂ© de cette BrĂ©silienne au visage d'Ă©ternelle Lolita dopĂ©e au Guronsan alors qu'elle Ă©tait mariĂ©e au secrĂ©taire particulier de Louis Jouvet, son acteur de "Quai des OrfĂšvres" 1947. Ils entretiennent une relation passionnĂ©e basĂ©e sur une Ă©mulation de tous les instants. Au dĂ©but des annĂ©es 1950, la rĂ©putation tyrannique de Clouzot n'est dĂ©jĂ  plus Ă  faire. Sur "Quai des OrfĂšvres", il a giflĂ© Bernard Blier quelques secondes avant une prise, et sans le prĂ©venir, de maniĂšre Ă  obtenir le degrĂ© nĂ©cessaire de surprise et de panique dans les yeux de l' suite aprĂšs la publicitĂ© VĂ©ra passe elle aussi pour une femme de caractĂšre. Tous deux ont les nerfs sensibles, se savent cardiaques, et, pour tirer le meilleur d'eux-mĂȘmes, se plaisent Ă  installer une atmosphĂšre Ă©lectrique. VĂ©ra n'est pas vraiment actrice, pas du tout mĂȘme. Sauf pour Clouzot, qui s'entiche d'en faire une star. Ce dĂ©fi amoureux n'en demeure pas moins sacrĂ©ment Ă©gotiste car le cinĂ©aste se targue d'ĂȘtre capable de transcender le Marlon Brando qui sommeille en chacun de nous. AprĂšs lui avoir confiĂ© le petit rĂŽle de Maria dans "le Salaire de la peur" personnage qu'au passage, il chĂ©rit autant qu'il brutalise, Clouzot veut lui Ă©crire une partition majeure. DĂšs lors, sa quĂȘte d'un nouveau sujet est articulĂ©e Ă  ce dĂ©sir fiĂ©vreux. Il a pensĂ© tourner un film sur la tauromachie. Echec. Puis un autre sur la guerre d'Indochine, toujours en cours Ă  l'Ă©poque. Mais l'armĂ©e se mĂ©fie trop de ce cinĂ©aste pessimiste qui carbure au mauvais esprit. Le projet fait pssshiit. Pierre Boileau et Thomas Narcejac en 1983 UNIVERSAL PHOTO/SIPA Le couple dĂ©vore des livres, guettant une bonne adaptation. Puis, une nuit d'insomnie commune, VĂ©ra pousse Henri-Georges du coude, lui tend le volume de "Celle qui n'Ă©tait plus", un roman signĂ© par Pierre-Louis Boileau et Thomas Narcejac, leur premier Ă©crit Ă  deux. "ll y a un truc lĂ -dedans !" s'Ă©crit-elle. Le cinĂ©aste croyant avoir devinĂ© Ă  mi-parcours l'issue de l'intrigue, propose d'Ă©teindre la lumiĂšre. VĂ©ra insiste "Continue." Clouzot reprend sa lecture. L'insomnie se prolonge jusqu'au matin. A 9h30, il appelle l'Ă©diteur DenoĂ«l et achĂšte les droits du suite aprĂšs la publicitĂ© Hitchcock tournicote autour du script Boileau-Narcejac croient rĂȘver. C'est la premiĂšre fois qu'un cinĂ©aste, qui plus est de renom, ambitionne d'adapter un de leurs livres. Le premier contact avec le rĂ©alisateur, aurĂ©olĂ©e du frais succĂšs mondial du "Salaire de la peur" 1952, est certes positif, mais prend les atours d'un entretien branchĂ© sur volts. Dans leur livre ,"Tandem, ou 35 ans de suspense", Boileau se souvient "Il aimait se tenir perchĂ©, sur le bras d'un fauteuil, sur le coin d'une table, balançant une jambe, toujours plus ou moins en mouvement, maĂźtrisant mal une certaine trĂ©pidation intĂ©rieure."Narcejac parle, lui, "d'une salle des machines toujours sous pression", phosphorant derriĂšre les sourcils en brosse de ce type brillant, inquisiteur, fĂ©lin, prĂȘt Ă  vous piquer au moindre coup de faiblesse "Il vous guettait et on se sentait un peu idiots." AprĂšs la tension, le monde du silence. Pendant des mois, les deux auteurs s'inquiĂštent quant Ă  l'enthousiasme rĂ©el de Clouzot, dont ils ne reçoivent plus la moindre nouvelle. D'autant plus contrariant qu'entre-temps, Alfred Hitchcock manifeste son intĂ©rĂȘt pour le roman. Boileau et Narcejac ont bien appris que Clouzot lançait des auditions pour caster des enfants, mais il doit s'agir d'un autre film dans "Celle qui n'Ă©tait plus", il n'y a pas d'enfant. C'est qu'entre-temps, leur roman est devenu la trame ultraremaniĂ©e du script des "Diaboliques" Mireille, l'Ă©pouse acariĂątre endormie puis noyĂ©e dans une baignoire est devenue Michel ; et Fernand, son mari, se prĂ©nomme dĂ©sormais Christina, une jeune femme d'origine vĂ©nĂ©zuĂ©lienne, tout proche du BrĂ©sil natal de VĂ©ra. L'action se passait entre Enghien et Nantes ? Clouzot la dĂ©place dans une banlieue parisienne et dans une rue de Niort oĂč se dĂ©roule le crime, la ville dont il est suite aprĂšs la publicitĂ© Mais le cinĂ©aste peine Ă  s'approprier le film. Il a toutes les peines du monde Ă  se dĂ©barrasser d'une des intrigues du roman qui ne l'intĂ©resse guĂšre l'arnaque Ă  l'assurance, puis tente de transposer le rĂ©cit dans une clinique. En vain. L'idĂ©e de l'Ă©cole privĂ©e surgit et ranime enfin son enthousiasme en berne "Elle me donnerait Ă  la fois une atmosphĂšre sinistre et, grĂące aux enfants, un univers un peu fĂ©erique. Et la piscine..." confie le cinĂ©aste au "Figaro littĂ©raire" lors de la sortie du film. Coaching intensif Clouzot Ă©crit les dialogues avec son frĂšre Jean, Ă  qui il demande, comme pour "le Salaire de la peur", de signer sous pseudo JĂ©rĂŽme GĂ©ronimi – il ne doit y avoir qu'un seul Clouzot au gĂ©nĂ©rique. Son Ă©quipe technique est prĂȘte la mĂȘme que sur "le Salaire
", Armand Thirard directeur de la photo, William Robert Sivel son, Madeleine Gug montage et Michel Romanoff assistant. Ce dernier est chargĂ© de trouver l'internat. AprĂšs avoir sillonnĂ© le dĂ©partement des Yvelines appelĂ© Ă  l'Ă©poque Seine et Oise, il flashe sur le chĂąteau de l'Etang-la-Ville, et ses intĂ©rieurs dĂ©catis. DĂ©cor validĂ©. Reste le casting. Clouzot voulant sĂ©curiser son apprentie comĂ©dienne de femme, il souhaite l'associer Ă  une professionnelle chevronnĂ©e, qui plus est une amie. Ce sera Simone Signoret sa cote est au plus haut depuis qu'elle vient d'enchaĂźner les rĂŽles-titres de "Casque d'or" Jacques Becker, 1951 et de "ThĂ©rĂšse Raquin" Marcel CarnĂ© 1953. Mieux, elle connaĂźt bien les Clouzot depuis le "Salaire de la peur". Henri-Georges a relancĂ© la carriĂšre d'acteur autant que le moral de son compagnon, Yves Montand, en le soumettant Ă  un coaching intensif composĂ© d'exercices de prononciation et d'apprentissage de textes classiques en vue d'incarner Mario, le camionneur. Par ailleurs, durant la prĂ©production de la future palme d'or, les deux couples cohabitaient Ă  la mythique auberge de la Colombe d'or, de Saint-Paul-de-Vence. Arrogance folle et amitiĂ© toxique Parler d'amitiĂ© entre eux demeure un tantinet rĂ©ducteur. Dans son autobiographie parue en 1975, "La nostalgie n'est plus ce qu'elle Ă©tait", Signoret Ă©voque tout Ă  la fois son admiration pour le "grand metteur en scĂšne", son arrogance folle le cinĂ©aste lui avoue considĂ©rer "Casque d'or" comme un "non-film" et ose lui prĂ©fĂ©rer Martine Carol, leurs asticotages perpĂ©tuels auxquels participe aussi VĂ©ra qui "arbitrait ou mettait de l'huile sur le feu, ça dĂ©pendait de son humeur". Plus largement dit-elle, "ces relations ambiguĂ«s et agressives, [
] dans le fond, nous amusaient beaucoup."La suite aprĂšs la publicitĂ© Outre les deux actrices, le cinĂ©aste s'entoure de tĂȘtes connues et aimĂ©es. Charles Vanel, qui prĂȘte ses traits burinĂ©s au commissaire de police Ă  la retraite une sorte de prototype de Columbo, est un intime de Clouzot. Depuis que les deux hommes ont aplani leurs diffĂ©rends lors d'une bonne engueulade sur "le Salaire de la peur " leur relation s'avĂšre sereine. Retenu pour le rĂŽle de Michel, le mari odieux, Paul Meurisse est une lointaine connaissance au tout dĂ©but des annĂ©es 1940, pas encore cinĂ©aste, le jeune Clouzot Ă©crivait des chansons et tentait de les vendre Ă  Edith Piaf, ex-compagne de l'acteur. NoĂ«l Roquevert, en voisin niortais pipelette et les dĂ©butants Jean Lefebvre en troufion bourrĂ© et Michel Serrault en pion pince-sans-rire complĂštent la distribution. Pierre Larquey et Michel Serrault 26 ans, employĂ©s du sinistre internat Delassalle capture d'Ă©cran AgĂ© de 26 ans, la future star de "la Cage aux folles" vit quasiment lĂ  son baptĂȘme du feu au cinĂ©ma. De Clouzot, il garde le souvenir d'un supĂ©rieur lointain, peu prĂ©occupĂ© par ses propositions de jeu, du fait de la trop grande modestie de son rĂŽle. Mais la petite main qu'il est dĂ©tecte aisĂ©ment ce qui se trame au premier plan. Dans son autobiographie "Vous avez dit Serrault ?" 2007, il dĂ©crit une ambiance "pas Ă  la rigolade". "Il y avait un cĂŽtĂ© ciel plombĂ© qui alimentait mon trac plus qu'il n'aurait fallu. On avait l'impression que tout Ă©tait d'une gravitĂ© extrĂȘme, qu'on engageait son existence par le moindre geste, mais on craignait par-dessus tout de dĂ©clencher les foudres du maĂźtre-d'Ɠuvre."NoĂ«l Roquevert ne dit pas autre chose. Il raconte dans son livre "l'Eternel rouspĂ©teur" une anecdote surrĂ©aliste. Lors d'une scĂšne, il doit aider Simone Signoret Ă  porter, dans un escalier en colimaçon, une malle supposĂ©e contenir le cadavre de Paul Meurisse. Par souci de rĂ©alisme, un cascadeur est rĂ©quisitionnĂ© pour donner son poids au bagage. Les prises se multiplient, et sans broncher, Signoret et Roquevert montent et descendent "cette putain de malle quatre ou cinq fois."La suite aprĂšs la publicitĂ© "Quand Monsieur Clouzot a jugĂ© la descente de l'escalier Ă  son goĂ»t, nous avons poussĂ© un soupir de soulagement. Et au mĂȘme instant, venant de l'intĂ©rieur de la malle, nous avons entendu un rĂąle [
] On avait oubliĂ© le pauvre gars. Il se trouvait lĂ  depuis une demi-heure, et il ne disait rien."Signoret craque C'est clair, la maniaquerie du cinĂ©aste, son perfectionnisme du moindre dĂ©tail, sa propension Ă  pousser les acteurs dans leurs retranchements en multipliant les prises, le dispute Ă  son penchant pervers pour lui alimenter la tension sur le plateau est un mal nĂ©cessaire. Simone Signoret peine Ă  s'Ă©panouir dans cet enfer. Se sentant dĂ©laissĂ©e au profit de VĂ©ra, mal-aimĂ©e par son cinĂ©aste, dĂ©semparĂ©e par la faiblesse de sa partenaire, elle n'adresse bientĂŽt plus la parole Ă  l'un comme Ă  l'autre. De son cĂŽtĂ©, Clouzot craint sans cesse que son autoritĂ© soit possiblement sapĂ©e sur le plateau par sa relation d'amitiĂ© avec l'actrice "Dans le fond, on se connaissait trop. Les gens devraient se dĂ©couvrir dans le travail", regrettait-elle. Henri-Georges Clouzot en doublure cascade de circonstance sur le tournage des "Diaboliques" capture d'Ă©cran L'actrice date un point de non-retour sur le plateau le "jour oĂč Clouzot me dit trĂšs mĂ©chamment "je n'aurais jamais dĂ» vous laisser lire la fin du scĂ©nario." Il avait dit lĂ  une chose formidablement intelligente et c'est moi qui ne l'ai pas comprise. J'ai assez dit Ă  quel point le tournage avait Ă©tĂ© pĂ©nible pour assumer complĂštement le blĂąme Ă  ce moment-lĂ . La femme que je jouais Ă©tait une coupable, une tueuse, et la complice de son amant, que jouait Paul Meurisse. Elle prĂ©tendait ĂȘtre l'alliĂ©e du personnage que jouait VĂ©ra. J'avais malgrĂ© moi tendance Ă  la jouer en coupable, alors que tout le suspense tenait au fait que le public devait la croire innocente jusqu'aux derniĂšres minutes du film. Quand il m'a dit ça, je l'ai mal pris. J'ai eu tort."La torture se prolonge Ă  cause des retards dus Ă  la mĂ©ticulositĂ© obsessionnelle de son rĂ©alisateur, son temps de prĂ©sence sur le tournage, prĂ©vu au dĂ©part pour huit semaines est finalement doublĂ©. FrustrĂ©e que ses heures supplĂ©mentaires ne soient pas rĂ©munĂ©rĂ©es, Simone Signoret doit Ă©galement jongler avec deux rĂŽles celui de Nicole, la maĂźtresse-tueuse-complice des "Diaboliques" qu'elle tient dans la journĂ©e, et celui qu'elle interprĂšte dans "les SorciĂšres de Salem", le soir au suite aprĂšs la publicitĂ© Avec Paul Meurisse, durant la sĂ©quence mythique de la noyade capture d'Ă©cran Pendant que Jean Renoir, rĂ©putĂ© bon vivant, tourne "French Cancan" sur le plateau d'Ă  cĂŽtĂ© "c'Ă©tait la rĂ©crĂ©, eux s'amusaient bien" racontait Signoret, chacun assiste, impuissant, Ă  l'incomprĂ©hension qui gangrĂšne le trio. Selon l'assistant Michel Romanoff, "VĂ©ra avait du mal Ă  pĂ©nĂ©trer son rĂŽle. L'Ă©quipe le ressentait mais selon l'usage 'fermait sa gueule'". Serrault note que Clouzot "aiguillonnait" ses deux partenaires, estimant que "pareille situation ne pouvait que servir l'histoire et le film". Paul Meurisse, qui entend dĂ©zinguer la lĂ©gende d'un Clouzot tortionnaire pour finalement l'enduire de fiel Ă  la moindre occasion, prend faits et cause pour Signoret. Dans son autobiographie "les Eperons de la libertĂ©", publiĂ©e la veille de sa mort, il dit "Sa femme VĂ©ra [
] Ă©tait comĂ©dienne comme moi je suis nĂšgre sic. [
] Que d'Ă©clairages savants, Ă©laborĂ©s pendants des heures, pour donner Ă  ce visage un soupçon d'expression ! Que de grincements de dents et de rĂ©voltes rentrĂ©es de la part de Simone Signoret, qui voyait son talent servir de support au vide absolu de sa partenaire. SuprĂȘme astuce, on "tramait" la lumiĂšre pour que sa beautĂ© ne puisse Ă©craser davantage l'insignifiance du visage de VĂ©ra."Paul Meurisse et ses prothĂšses oculaires dans le final flippant. Capture d'Ă©cranLa suite aprĂšs la publicitĂ© Dans son livre, Meurisse foule au pied un autre mythe le tournage de la noyade dans la baignoire, atroce Ă  mettre en boĂźte d'aprĂšs la rumeur, fut au contraire une partie de plaisir. ImmergĂ© dans une eau tempĂ©rĂ©e que la lĂ©gende disait glaciale, les oreilles bouchĂ©es par des boules Quies, l'acteur communique avec Clouzot par le biais d'une ficelle fixĂ©e Ă  sa cheville. Et Ă  chaque fois qu'il sort de l'eau, la production lui sert un grog au whisky. La sĂ©quence est pourtant l'occasion de son seul accrochage personnel avec Clouzot. Ce dernier exige qu'il ait les pupilles rĂ©vulsĂ©es. Il l'a dĂ©jĂ  demandĂ© Ă  CĂ©cile Aubry dans "Manon", et elle s'Ă©tait exĂ©cutĂ©e. Oui, mais voilĂ , Meurisse a beau essayer, il n'y arrive pas. AprĂšs "4 secondes de suspense [
] l'Ă©quipe technique attendait, dos courbĂ©, le tonnerre de Zeus." Mais le cinĂ©aste, pour une fois s'incline, et lui commande des lentilles de contact. Le trucage renforcera mĂȘme l'horreur de la scĂšne de "rĂ©surrection", lorsque le personnage de Meurisse retire lentement ses prothĂšses avec ses doigts. Sorti le 19 janvier 1955, "les Diaboliques" fait mieux que conforter la gloire internationale de Clouzot, acquise trois ans plus tĂŽt avec "le Salaire de la peur" il s'impose comme son plus grand triomphe public et critique, au point d'ĂȘtre dĂ©sormais perçu comme le nouvel Hitchcock. Clouzot va mĂȘme inventer un coup marketing en or dont le maĂźtre anglais saura se souvenir lorsqu'il sortira "Psychose" en 1962. Outre un carton au dĂ©but du gĂ©nĂ©rique, suppliant le public de ne pas rĂ©vĂ©ler la teneur du twist final, le cinĂ©aste ordonne aux exploitants d'interdire les spectateurs retardataires dans les salles quelques secondes aprĂšs le dĂ©but de chaque suite aprĂšs la publicitĂ© Le carton anti-spoilers des "Diaboliques" capture d'Ă©cran La comparaison avec Hitchcock ne durera pas en dehors du "MystĂšre Picasso" 1956, fascinant documentaire enregistrant en temps rĂ©el le gĂ©nie du peintre, la suite de la carriĂšre de Clouzot baisse d'un ton. VĂ©ra rejouera dans "les Espions", autre film de son mari. Mais elle ne tournera jamais avec un autre rĂ©alisateur. Sa brouille dĂ©finitive avec Signoret inspirera Ă  celle-ci un authentique regret "Sur VĂ©ra Clouzot, on pourrait Ă©crire trois volumes. Elle Ă©tait drĂŽle, insupportable, gĂ©nĂ©reuse, folle, malheureuse et capable de rendre les gens malheureux elle Ă©tait trĂšs malade aussi ; je l'ai adorĂ©e et dĂ©testĂ©e et, curieusement, elle me manque.""Les Diaboliques" vient de ressortir en Edition Digibook DVD-Blu-ray, dans la collection "HĂ©ritage" chez TF1 VidĂ©o. 202 - Dites-le avec des fleurs The Greenhouse Jungle Pour reconquĂ©rir sa femme qui lui est infidĂšle, Tony Goodland simule son enlĂšvement avec l'aide de son oncle Jarvis Goodland, un collectionneur de plantes rares et exotiques. L'oncle espĂšre pouvoir ainsi toucher l'argent de la rançon, qui serait dĂ©bloquĂ© des fonds de placement oĂč il
Les temps changent. C’est Mc Solaar qui le disait Ă  l’époque oĂč il Ă©tait cool. Eh oui on se fait vieux mes p’tits potes et Ă  force de voir le temps qui passe, on est bien obligĂ© de constater qu’il y a un paquet de trucs qui nous semblaient trop cheum, trop ridicules, et globalement trop nuls auparavant et qui claquent du string aujourd’hui l’avantage avec l’expression claquer du string » c’est qu’elle n’existe pas et qu’on n’a donc aucune raison de la trouver ringarde un jour, ainsi ce top pourra s’inscrire dans la postĂ©ritĂ©. 1. La banane MĂȘme Renaud le dit toujours la banane ». Bah ouais, c’est trop pratique une banane. On peut y mettre tout ce qu’on veut, mĂȘme un K-way. Si on m’avait dit en 2005 qu’on reporterait des bananes en 2020/2021, j’aurais ri. Tout simplement. 2. Les pulls de NoĂ«l Dans Bridget Jones 2001, Colin Firth porte un pull de NoĂ«l moche, maniĂšre de signifier au spectateur que c’est un gros tocardo Ă  sa mĂŽman. J’ai vu une interview rĂ©cemment d’un leader d’un groupe trop hipster qui portait un pull de NoĂ«l. La terre est ronde, les enfants. 3. Les sonneries de tĂ©lĂ©phone pourries Toutoulouloulou loulouloulou
 On n’en pouvait plus de ces sonneries insupportables en deux bits. On n’en pouvait tout simplement plus. Aujourd’hui, elle nous manquent. Nostalgie de l’enfance et des petits bilibibips. 4. Le Minitel Objet infini de moqueries avec l’avĂšnement d’Internet, le Minitel est redevenu cool Ă  partir du moment oĂč il avait perdu dĂ©finitivement la bataille. Avoir un minitel qui ne marche pas chez soi, c’est la hype, tout simplement. La preuve il y a mĂȘme une sĂ©rie qui vient de sortir sur l’avĂšnement de cet outil de gĂ©nie 3615 Monique. 5. Les grosses lunettes En 2001, une personne qui portait des lunettes immenses Ă  monture zĂ©brĂ©e Ă©tait soit un Allemand, soit Michel Fourniret, soit un vieux. En 2021, une personne qui ne porte pas des lunettes immenses Ă  monture zĂ©brĂ©e est un naze. CrĂ©dits photo Topito 6. Les sites de rencontre Dans les annĂ©es 2000, l’idĂ©e mĂȘme de s’inscrire sur Meetic ou Ă©tait un aveu d’échec social et la porte ouverte Ă  toutes les moqueries possibles. Depuis l’explosion du marchĂ© et sa normalisation avec Tinder, le premier rĂ©flexe quand des gens se sĂ©parent est de demander Pourquoi tu t’inscris pas sur Tinder ? » Si tu dis parce que ça me fait chier », tu passes pour un coinços. 7. Les poils pour les mecs Aux derniers feux des Boys Band, le visage Ă©tait glabre et les corps Ă©pilĂ©s. DĂ©sormais, 100 % des 20-30 ans portent la barbe et avoir des poils sur les Ă©paules n’est plus un motif d’exclusion sociale. 8. Avoir un chat 2001 T’as un chat ? T’es une vieille fille triste. » 2021 Tas un chat ? Trop cool, t’as trop de chance, tu devrais le filmer et en faire une star d’Internet » CrĂ©dits photo Topito 9. La musique des annĂ©es 1980 En 15 ans, Ă©couter Niagara a pris 15000 points de coolitude. Soit mille par an. 10. Aimer la BD Aimer la BD Ă©tait autrefois une habitude de nerd triste, habituĂ© Ă  se palucher sur des planches de Manara en vivant des aventures spatiales par la pensĂ©e Ă  dĂ©faut de les vivres pour de vrai. On te considĂ©rait comme un dĂ©bile trop con pour lire des vrais livres. Ta collection faisait rire et tes sĂ©rigraphies pleurer. DĂ©sormais, tu es le pourvoyeur de conseils avant chaque cadeau d’anniversaire et les gens se pressent pour passer l’aprĂšs-midi chez toi Ă  lire toutes tes BD. 11. Les sĂ©ries tĂ©lĂ© Columbo ? Ringard. Chapeau melon et bottes de cuir ? IncomprĂ©hensible. Amicalement vĂŽtre ? ManiĂ©rĂ©. Sous le soleil ? De la merde. La petite maison dans la prairie ? Un enfer. MacGyver ? Tocardos. Dallas ? Ne me fais pas rire. La tĂ©lĂ©, c’était de la crotte et les sĂ©ries l’apanage des incultes qui la regardaient. Aujourd’hui, si t’as pas vu Breaking bad t’es un OVNI. CrĂ©dits photo Topito 12. La taille haute Est-il besoin de rappeler le regard que l’on posait sur une personne portant un jean taille haute en 2000 ? 13. Nagui En 2000, Nagui Ă©tait au milieu du dĂ©sert. Maintenant, c’est l’animateur-producteur le mieux payĂ© de toute la tĂ©lĂ©vision et il a 371 000 abonnĂ©s sur Instagram. La vie, hein. 14. Matthew McConaughey Quelqu’un devra un jour rĂ©vĂ©ler le processus ayant conduit l’acteur trentenaire le plus tocard des annĂ©es 2000, habituĂ© des comĂ©dies romantiques nulles et des films Ă  muscles sous-produits, Ă  devenir le quarantenaire avec la meilleure filmographie des annĂ©es 2010. Un jour, nous obtiendrons des rĂ©ponses. GĂ©nĂ©ration rĂ©gressive.
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