Acteurs Sam Karmann Alain Chabat Jean-Christophe Bouvet Réalisateur Alain Berbérian Durée 1h33 min Année 1994 synopsis Odile Deray, attachée de presse, vient au Festival de Cannes pour présenter le film "Red is Dead". Malheureusement, celui-ci est d'une telle faiblesse que personne ne souhaite en faire l'écho. Mais lorsque les projectionnistes du long-métrage en question meurent chacun leur tour dans d'étranges circonstances, "Red is dead" bénéficie d'une incroyable publicité. Serge Karamazov est alors chargé de protéger le nouveau projectionniste du film. époque 2nd moitié du XXÚme VOD à partir de bande-annonce Commentaires
LaCité de la peur, 1 DVD, 95 minutes film de Les Nuls, La Cité de la peur est un joyeux bazar, légÚrement foutraque, dans lequel on retrouve tout ce qui amuse les anciens trublions de Canal dans le cinéma.
Séances News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse Streaming VOD Photos Blu-Ray, DVD Musique Secrets de tournage Récompenses Films similaires Service proposé par Odile Deray, attachée de presse, vient au Festival de Cannes pour présenter le film "Red is Dead". Mais les projectionnistes du long-métrage en question meurent chacun leur tour dans d'étranges circonstances... Spectateurs 4,0 45978 notes dont 828 critiques Pour visionner ce film, louez, achetez ou abonnez-vous à une offre de l'un des services suivants à la location Filmo Louer à 2,99 ⏠- HD VIVA Louer à 2,99 ⏠- HD UniversCiné Louer à 2,99 ⏠- SD Louer à 3,99 ⏠- HD PremiereMax Louer à 2,99 ⏠- HD Orange Louer à 2,99 ⏠- SD Louer à 3,99 ⏠- HD Canal VOD Louer à 2,99 ⏠- SD Louer à 3,99 ⏠- HD à l'achat Filmo Acheter à 7,99 ⏠- HD VIVA Acheter à 9,99 ⏠- HD Orange Acheter à 7,99 ⏠- SD Acheter à 9,99 ⏠- HD UniversCiné Acheter à 7,99 ⏠- SD Acheter à 7,99 ⏠- HD PremiereMax Acheter à 9,99 ⏠- HD Canal VOD Acheter à 7,99 ⏠- SD Acheter à 9,99 ⏠- HD
Lacité de la peur. 7.5 1 h 36 min 1994 X-Ray ALL. Odile Deray est l'attachée de presse de « Red is Dead », film d'horreur de série Z, présenté au marché du film du festival de Cannes. Personne ne vient aux projections.
Notedesutilisateurs Bande-annonce Une comĂ©die familiale. Synopsis Lors du festival de Cannes 1993, Odile Deray, attachĂ©e de presse, a bien du mal Ă faire parler de Red is dead», un film dâhorreur au budget ridicule. Mais un tueur, qui se cache parmi les journalistes, va supprimer des projectionnistes selon le mĂȘme mode opĂ©ratoire que lâassassin de fiction du film. Profitant de cette incroyable publicitĂ©, Odile envoie Simon, principal acteur du film, sur la Croisette⊠Alain BerbĂ©rian Director Chantal Lauby Writer Dominique Farrugia Writer Alain Chabat Writer You need to be logged in to continue. Click here to login or here to sign up. GĂ©nĂ©ral s Mettre le curseur dans la barre de recherche p Ouvrir le menu du profil esc Fermer une fenĂȘtre ouverte ? Ouvrir la fenĂȘtre des raccourcis clavier Sur les pages des mĂ©dias b Retour ou vers le parent si faisable e Afficher la page de modification Sur les pages des saisons des Ă©missions tĂ©lĂ©visĂ©es â Afficher la saison suivante flĂšche droite â Afficher la saison prĂ©cĂ©dente flĂšche gauche Sur les pages des Ă©pisodes des Ă©missions tĂ©lĂ©visĂ©es â Afficher l'Ă©pisode suivant flĂšche droite â Afficher l'Ă©pisode prĂ©cĂ©dent flĂšche gauche Sur toutes les pages des images / photos a Ouvrir la fenĂȘtre d'ajout d'image / photo Sur toutes les pages de modifications t Ouvrir le sĂ©lecteur de traduction ctrl+ s Envoyer le formulaire Sur les pages des discussions n CrĂ©er une nouvelle discussion w Basculer le statut de suivi p Basculer publique / privĂ©e c Basculer fermer / ouvrir a Ouvrir l'activitĂ© r RĂ©pondre Ă la discussion l Afficher la derniĂšre rĂ©ponse ctrl+ enter Envoyer votre message â Page suivante flĂšche droite â Page prĂ©cĂ©dente flĂšche gauche
LaCité de la peur - Extrait "La Carioca" [VF|HD1080p] mator-fr. Suivre. le mois dernier. Un film de Alain Berbérian Avec Chantal Lauby, Alain Chabat, Dominique Farrugia, Gérard Darmon, Sam Karmann, Jean-Christophe Bouvet, Eric Prat, Marc de Jonge, Valérie Lemercier, Patrick Lizana Au cinéma le 09/03/1994 Lors du festival de Cannes 1993, Odile Deray, attachée de presse, a bien
Jean-Pierre Mocky France / 1964 / 90 min d'aprĂšs Jean Ray Simon Triquet le dĂ©bonnaire est bourrĂ© de remords quand il arrĂȘte, sans le vouloir, Mickey le BĂ©nĂ©dictin, dangereux criminel et habile faussaire, condamnĂ© Ă mort. L'exĂ©cution Ă©choue pour des problĂšmes techniques et Mickey profite de l'occasion pour s'Ă©chapper. Triquet se lance Ă sa poursuite Ă Barges, petite citĂ© mĂ©diĂ©vale oĂč la population a peur de voir revenir un monstre lĂ©gendaire. GĂ©nĂ©rique RĂ©alisateur Jean-Pierre Mocky Assistants rĂ©alisateurs Luc Andrieux, Georges SĂ©nĂ©chal ScĂ©naristes Jean-Pierre Mocky, GĂ©rard Klein Auteur de l'oeuvre originale Jean Ray d'aprĂšs le roman "La CitĂ© de l'indicible peur" Dialoguiste Raymond Queneau SociĂ©tĂ©s de production ATICA - Artistes et Techniciens de l'Industrie CinĂ©matographique AssociĂ©s Paris, SNC - SociĂ©tĂ© Nouvelle de CinĂ©matographie, Les Productions Raimbourg Directeur de production Paul Laffargue Distributeur d'origine Castor Films Directeur de la photographie Eugene Schufftan Cadreur Jean-Marie Maillols IngĂ©nieur du son Antoine Petitjean Compositeur de la musique originale GĂ©rard Calvi InterprĂšte des chansons originales RenĂ©-Louis Lafforgue DĂ©corateurs Jacques d'Ovidio, Rino Mondellini Costumier Louis FĂ©raud pour VĂ©ronique Nordey Maquilleur Louis Dor Monteur Marguerite Renoir Script Alice Ziller RĂ©gisseur Jean-Philippe MĂ©rand Photographe de plateau Roger Forster InterprĂštes Bourvil l'inspecteur Simon Triquet, Jean-Louis Barrault Douve, Francis Blanche Franqui, Jacques Dufilho Gosseran, Victor Francen le docteur Clabert , Jean Poiret le brigadier Loupiac, Raymond Rouleau Chabriant, le maire, VĂ©ronique Nordey Livinia, RenĂ©-Louis Lafforgue le boucher, Roger Legris Monsieur Paul, le pharmacien, Marcel PĂ©rĂšs l'inspecteur Virgus, Joe Davray Mickey, le bĂ©nĂ©dictin et la patronne du magasin de mannequins, Alfred Pasquali le chef de la police, Jenny OrlĂ©ans Madame Gosseran, Rudy Lenoir le patron du cafĂ©, Jean-Claude RĂ©moleux le gros homme Ă l'impermĂ©able, Pierre Durou le chef de gare, Virginie Valois DorothĂ©e, Maritin l'ami de DorothĂ©e, LĂ©once Corne le brigadier au cassoulet, Claude Mansard le bourreau, Lisette Lebon une employĂ©e du bordel, Michel Duplaix le contrĂŽleur, Maria-Rosa Rodriguez Gilda, Philippe Castelli le photographe, Max Desrau le journaliste, Simone Duhart la policiĂšre, Dominique Zardi l'infirmier du commissariat, Pierre Raffo un cavalier noir, GĂ©rard Hoffman un cavalier noir, Jo LabarrĂšre un cavalier noir, AndrĂ© Muletin, CĂ©sar Torres
Ăla citĂ©, faire le million, c'Ă©tait ça l'idĂ©e. Mauvais chemin, mauvaises idĂ©es. Regarde comment le ciel s'est grisĂ©, oh, oh. [Couplet 2] Tu voudrais que je soigne tes blessures et tes plaies, que j't'aime comme avant (oh, oh) Mais c'est impossible, compliquĂ©, dans les diĂšses, mon cĆur n'est pas Ă vendre. Les entrailles abĂźmĂ©es et
LacitĂ© de la peur. Disponible sur Prime Video, iTunes. Odile Deray est l'attachĂ©e de presse de "Red is Dead", film d'horreur de sĂ©rie Z, prĂ©sentĂ© auCinĂ©ma 6 minutes Ă lire PubliĂ© le 09/06/19 mis Ă jour le 05/01/22 Partager âLa CitĂ© de la peurâ, dâAlain BerbĂ©rian Copyright Studio Canal Ă lâoccasion de notre opĂ©ration TĂ©lĂ©rama Passion CinĂ©ma, nous republions une sĂ©lection dâarticles et archives de notre rubrique cinĂ©. Aujourdâhui, retour sur un film culte. Alain Chabat, Dominique Farugia et Chantal Lauby⊠Qui aurait pariĂ© sur le succĂšs dâun film Ă©crit par le groupe dâhumoristes Les Nuls ? Le producteur Charles Gassot revient sur la genĂšse mais aussi la rĂ©ception de cette comĂ©die, reprise par Alain Berberian, qui fĂȘte ses 25 ans. FĂȘtĂ© au 72e Festival de Cannes avec une projection mĂ©morable sur la plage, lâanniversaire des 25 ans de La CitĂ© de la peur sâest poursuivi en salles avec la reprise du film de les Nuls rĂ©alisĂ© par Alain Berberian. Devenue culte, cette comĂ©die Ă©crite par Alain Chabat, Dominique Farugia et Chantal Lauby Ă©tait un pari trĂšs original dans le cinĂ©ma français des annĂ©es 1990. Charles Gassot, son producteur, nous en raconte lâhistoire. âș Abonnez-vous au meilleur du cinĂ©ma pendant lâĂ©vĂ©nement TĂ©lĂ©rama Passion CinĂ©ma Claude Berri a abandonnĂ© La CitĂ© de la peur avant que vous repreniez le film. Est-ce parce que vous Ă©tiez un producteur beaucoup moins traditionnel ? Le projet de La CitĂ© de la peur a dâabord Ă©tĂ© lancĂ© par ma sociĂ©tĂ© de production, TĂ©lĂ©ma, puis les Nuls sont en effet partis chez Claude Berri, qui leur faisait des avances. Mais ils sont revenus trĂšs vite car il nâavait rien compris Ă lâesprit de ce film. Moi, jâaimais les projets fous. Les annĂ©es 1980 et 1990 ont Ă©tĂ© formidables de ce point de vue tout bougeait dans le monde de la culture, les gens faisaient de la pub, de la tĂ©lĂ© ou du cinĂ©ma, ils avaient des idĂ©es visuelles, ils inventaient et ils avaient de la folie ! Je me suis toujours senti proche de cette ouverture de la crĂ©ation tous azimuts. Quand je produisais les pubs dâEtienne Chatiliez pour Eram, on sâamusait ! Il y avait des paris nouveaux Ă faire. Jâavais produit le dĂ©filĂ© de Jean-Paul Goude sur les Champs-ElysĂ©es pour le bicentenaire de la RĂ©volution française, le 14 juillet 1989, et les cĂ©rĂ©monies dâouverture et de clĂŽture des jeux Olympiques dâAlbertville, chorĂ©graphiĂ©es par Philippe DecouflĂ©, en 1992. Jâaimais travailler avec de vrais crĂ©ateurs. Alors, bien sĂ»r, La CitĂ© de la peur, câĂ©tait mon truc. Lâesprit du film pouvait quand mĂȘme dĂ©sorienter. Câest une comĂ©die qui part dans tous les sens⊠Les comĂ©dies qui sortent de lâordinaire font toujours peur. Quand jâai produit La Vie est un long fleuve tranquille 1988, personne nây croyait. Et mĂȘme aprĂšs lâĂ©norme succĂšs du film, personne ne voulait de Tatie Danielle 1990. Jâai dĂ» batailler pour quâEtienne Chatiliez puisse faire ses films mais jâaime le risque et jâai toujours dĂ©fendu les auteurs. Câest vrai que La CitĂ© de la peur, câĂ©tait pas mal de choses Ă la fois, et câest justement la force du film. Le mĂ©rite en revient Ă Alain Berberian [mort en 2017, ndlr]. Nâimporte quel autre rĂ©alisateur aurait eu peur et essayĂ© de mettre de lâordre dans tout ça en faisant des coupes au montage. Alain, lui, allait Ă la pĂȘche aux petites perles, il a gardĂ© plein de choses Ă©tonnantes, des dĂ©tails qui ont rendu le film culte. Face Ă Dominique, Chantal et Alain, qui sont presque trois metteurs en scĂšne, Alain a su apporter sa patte, il ne faut pas lâoublier. La CitĂ© de la peur parle aussi de cinĂ©ma, et pas seulement pour rire. Peut-on dire que câest une comĂ©die cinĂ©phile ? Les Nuls ont tout vu. Ils ne le disent pas mais je pense quâils ne sont jamais allĂ©s Ă lâĂ©cole, ils nâont fait que regarder des films depuis tout petits. Si vous lancez Chabat ou Farrugia sur la mise en scĂšne, vous y passez trois nuits. Ces mecs sont des encyclopĂ©dies. La CitĂ© de la peur Ă©tait vraiment un film de cinĂ©philes mais sans se prendre au sĂ©rieux, sans le chic du mot cinĂ©phile ». Câest aussi pourquoi nous Ă©tions sur la mĂȘme longueur dâondes. Moi, je suis un rat de cinĂ©mathĂšque, jâai rĂ©ussi Ă rencontrer Truffaut quand jâavais 14 ans grĂące Ă sa monteuse, Claudine BouchĂ©, mais comme je suis un Ă©lectron libre, on mâa toujours collĂ© lâimage du type qui venait de la pub, et pas celle du cinĂ©phile. Avec La CitĂ© de la peur, on a fait une comĂ©die dĂ©connante mais pointue. Je ne vois quâun seul film pour avoir eu autant dâaudace dans le rire avant nous, câest The Groove Tube 1974, un truc dĂ©lirant, Ă tomber par terre, qui est malheureusement sorti en France sous un titre Ă©pouvantable, Faites-le avec les doigts. La CitĂ© de la peur Ă©tait un film trĂšs attendu, lâavez-vous fait dans la pression ? Il Ă©tait tellement attendu que câĂ©tait devenu un gag Ă la tĂ©lĂ© les Nuls font leur film ! Et ça faisait rire car ce film, les Nuls ne le faisaient jamais. CâĂ©tait lâArlĂ©sienne du cinĂ©ma français. Il y avait des gens un peu Ă©nervĂ©s que ça ne vienne pas. Il fallait que le film se fasse et on a dĂ» fournir des efforts pour se mettre vraiment au travail. Mais une fois quâon sâest lancĂ©s, on ne sâest pas demandĂ© si ça allait marcher. On sâen foutait, câĂ©tait ça notre libertĂ©. Le film a Ă©tĂ© mal accueilli par la presse, comment lâavez-vous vĂ©cu ? On a Ă©tĂ© assassinĂ©s, je crois ? Enfin, câĂ©tait plutĂŽt câest quoi, cette guignolade ? Câest qui ces gamins qui se sont amusĂ©s comme Ă la maternelle ? » Car la plupart des gens nâavaient de toute façon pas envie de taper sur les Nuls. A lâĂ©poque, on avait la carte, il fallait faire partie de notre bande. Quand on a cherchĂ© des guest stars pour le film, tout le monde est venu. Au moment de la sortie, on surfait sur une vague, on ne lisait pas les critiques. De toute façon, le film nous plaisait. Et le public Ă©tait avec nous. Quand on a commencĂ© la tournĂ©e des avant-premiĂšres en province, le distributeur nous avait louĂ© une Mercedes chacun. Il y avait encore des rĂ©flexes de vieux autour de nous ! On a Ă©changĂ© les Mercedes contre un bus avec un bar et quand on est arrivĂ©s Ă Toulouse, câĂ©tait le bain de foule comme pour les Rolling Stones ! Dans la salle, les gens Ă©taient tous Ă poil avec des palmes et des tubas. Et Chabat a dĂ©boulĂ© en balançant des capotes Ă tout le monde. Je nâavais jamais vu ça ! Comment le culte qui entoure le film est-il nĂ© ? Les rediffusions Ă la tĂ©lĂ©vision y ont beaucoup contribuĂ©. Bien sĂ»r, il y a eu lâeffet de certaines rĂ©pliques qui sont tout de suite devenues culte. Mais on pourrait dire la mĂȘme chose de beaucoup de films, alors que La CitĂ© de la peur nâest pas un film comme les autres. Je me suis rĂ©cemment retrouvĂ© assis Ă cĂŽtĂ© dâun jeune producteur pendant un voyage en avion. Je lui ai parlĂ©, sans pontifier, des films que jâai produits, Un air de famille 1996, Beaumarchais 1996, Ceux qui mâaiment prendront le train 1998, la liste est longue ! A la fin, jâajoute Ah, et aussi La CitĂ© de la peur. » Et lĂ , le mec me regarde tout Ă coup vraiment et me dit Respect. » VoilĂ lâeffet que crĂ©e La CitĂ© de la peur ! Câest devenu un film culte parce quâil Ă©tait anti-tout anti-comĂ©die traditionnelle, anti-parents, anti-sociĂ©tĂ©, anti-films des Nuls, mĂȘme. Mais il Ă©tait aussi gĂ©nĂ©reux, familial, anti-rien ! Totalement loufoque donc. Câest un film sans Ă©quivalent. Les Nuls ont inventĂ© une nouvelle case dans la comĂ©die. Quel regard portez-vous sur le cinĂ©ma français aujourdâhui ? Je suis effondrĂ©. On voit tellement de films sans intĂ©rĂȘt et on cherche qui a encore le goĂ»t du risque ! Mais je vis maintenant des choses encore plus fortes que les films en tant que prĂ©sident de lâONG Ecoles du monde. Nous construisons des Ă©coles dans la brousse, Ă Madagascar. On apporte le savoir et aussi la beautĂ© en travaillant avec des architectes talentueux pour construire ces Ă©coles qui sont comme des universitĂ©s pour les petits. Câest une aventure magnifique. Et toutes les aides financiĂšres sont les bienvenues ! ComĂ©die-Française cinĂ©ma français Partager Contribuer