La dĂ©nomination ancienne de lâasile des vieillards a cĂ©dĂ© le pas Ă la maison de retraite, qui Ă son tour sâest transmuĂ©e en EHPAD. Les sigles ont-ils changĂ©s fondamentalement la fonction de ces Ă©tablissements dâaccueil et de rĂ©sidence pour personnes ĂągĂ©es ? La modernitĂ© a-t-elle Ă©tĂ© pourvoyeuse dâun mieux-ĂȘtre pour les diffĂ©rentes parties concernĂ©es, la personne ĂągĂ©e, la famille, les personnels ? Un retour en arriĂšre est nĂ©cessaire Ă lâanalyse de lâĂ©volution du phĂ©nomĂšne. Lâasile des vieillards recevait en grande partie des indigents, des clochards qui acceptaient de rĂ©duire leur errance, dont lâĂąge Ă©tait avancĂ© ou pas. Avec ou sans famille, le lieu Ă©tait plus un abri pour les plus dĂ©munis sans organisation socio-affective avec comme projet dâaccompagner lâusure de la vie, mais seulement de nourrir, de coucher et de maintenir la propretĂ© corporelle. La maison de retraite a vu arriver une population nouvelle, qui ne pouvait sans risques rester Ă la maison, la mĂ©moire en escapade pouvant dĂ©boucher sur des tragĂ©dies, population capable de financer le sĂ©jour, tout en faisant des pieds de nez Ă la solitude. La prise en charge de cette clientĂšle, au statut social plus Ă©levĂ© a modelĂ© les formes de lâaccompagnement. Il fallait occuper le temps libre, proposer des accommodements pour maintenir les acquis physiques et psychiques, accrocher les esprits en dĂ©route sur des Ă©lĂ©ments de lâidentitĂ©, tenir compte des besoins et des dĂ©sirs. Lâhorizon de la vieillesse reculait. A lâoccasion des JournĂ©es de gĂ©rontologie de lâAMDOR, un film canadien avait montrĂ© les activitĂ©s proposĂ©es Ă des rĂ©sidents dâune maison de retraite, excursion en car, tour individuel en ville, promenade et lĂšche-vitrine pour ne rien perdre du temps qui passe, repas festif Ă lâoccasion des fĂȘtes religieuses ou des anniversaires. En occultant les rides du visage on se serait cru Ă une colonie de vacances. Stimulation, suggestion, travail de groupe, les familles pouvaient participer et trouver leur place dans les loisirs divers. Le modĂšle idĂ©al, vitrine de prĂ©sentation dâun univers de dĂ©gĂ©nĂ©rescence joyeux ! On nâavait rien perçu de lâimmobilitĂ© des corps, des visages tordus par la douleur, de membres refusant dâavancer dans le tracĂ© du regard. Une rĂ©alitĂ©, la plus acceptable, Ă©patait la vision des spectateurs. La mĂ©thode dâaccompagnement progressait autant que les connaissances en gĂ©riatrie et en gĂ©rontologie. LâespĂ©rance de vie a dĂ©voilĂ© nombre de pathologies dĂ©gĂ©nĂ©ratives, une dĂ©pendance de plus en plus grande, une difficultĂ© pour les familles Ă assumer Ă temps plein ces mĂ©moires Ă©garĂ©es. LâEHPAD ouvre ses portes aux personnes ayant un revenu suffisant, ou Ă dĂ©faut un support dâaide du Conseil dĂ©partemental. Les constructions ont du faire face aux demandes des usagers. Des EHPAD luxueux comme celui de Bois Jolan Ă Sainte Anne, dâautres plus modestes dans la dĂ©coration offrent des services de qualitĂ©. Les conditions dâentrĂ©e sont avant tout dĂ©terminĂ©es par lâĂąge, non par la pathologie. Ainsi se cĂŽtoient des classes sociales diffĂ©rentes, des trĂšs aisĂ©es parfois dont la caractĂ©ristique commune se fonde sur lâimpossibilitĂ© de lâentourage familial Ă maintenir Ă domicile des personnes qui nĂ©cessitent une surveillance constante et des soins rĂ©guliers. Des demandes diffĂ©rentes, des prestations diffĂ©rentes, des besoins diffĂ©rents une panoplie dâapproche qui va mettre Ă rude Ă©preuve le personnel dans sa pratique et dans ses affects. Lâexigence des familles qui paient et cher, diront-elles, font monter la pression des Ă©quipes en sous-nombre, en dĂ©versant plus leur insatisfaction sur ce qui ne va pas que sur les bons services rendus. Plus les visites se rarĂ©fient, plus lâacrimonie est grande. Il sâopĂšre lĂ un dĂ©placement dâobjet gommant la culpabilitĂ© dâune Ă©vidente dĂ©robade. Le tissage des liens Le travail en EHPAD, ne peut se passer dâinvestissement personnel. Lâattachement aux personnes en bout de vie renvoie dâune part Ă la finitude de sa parentĂšle, mĂšre et pĂšre, mais aussi Ă sa propre finitude. Chaque jour le rappel des ĂȘtres mortels Ă cette prĂ©caritĂ© de la vie, bouscule la conviction de lâimmortalitĂ© enfouie dans lâinconscient. Cet inconscient nâa pas dâĂąge, renie la mort et la finitude du corps. Ce face Ă face constant que supporte difficilement les familles qui sâidentifient Ă leurs gĂ©niteurs, jusquâĂ les abandonner parfois, peut en pĂ©riode de fatigue extrĂȘme occasionnĂ© la maltraitance dâun corps vouĂ© aux mains soignantes Non je ne travaillerai pas en gĂ©rontologie, avait avouĂ© un mĂ©decin, car je ne supporte pas les vieux. » Lui au moins en avait conscience, empĂȘtrĂ© dans son syndrome de Peter pan. La flĂ©trissure, lâaffaissement des chairs, la disparition du corps de plaisir/dĂ©sir, imprĂšgnent le quotidien de ceux qui soignent, accompagnent, sâadaptent au rythme de chacun, essaient de faire attention aux habitudes, sautes dâhumeur et rĂ©criminations. On se jauge, se sonde, se mesure du regard Ă la premiĂšre rencontre, puis le nez enfermĂ© dans lâĂ©tablissement, hume lâextĂ©rieur, seule bouffĂ©e dâair de la journĂ©e reçue et apportĂ©e par le soignant qui sent la vie, lâaction, le monde en mouvement. Le vis-Ă -vis nâen a pas toujours conscience, il apporte avec lui le soleil, parfois lâodeur de la pluie sur ses cheveux. Commence la comparaison, lâĂ©valuation des deux cĂŽtĂ©s. Elle sourit toujours, elle a des mots sucrĂ©s, elle est bourrue avec des gestes doux. On prĂ©fĂšre, on aime, dans un non-dit. IndĂ©niablement se tissent des liens qui sâaccentuent avec les pans hachurĂ©s de tranches de vie racontĂ©es. Jamais nâest Ă©voquĂ©e la possibilitĂ© de quitter lâEHPAD. LâaprĂšs nâexiste pas dans les mots. Le soignant et la personne ĂągĂ©e savent que câest leur dernier cĂŽtoiement. leur dernier cheminement, ignorant seulement de la durĂ©e. RentrĂ© en marche, le corps sâest alitĂ©, terrassĂ© par la fatigue et lâusure, oubliĂ© par les muscles en situation dâabandon. Le soignant assiste Ă la dĂ©gradation des fonctions physiologiques, impuissant face Ă lâinĂ©luctable, il est maintenant au chevet. Les rires du bal parĂ© masquĂ© du carnaval, il les garde en mĂ©moire, tout le monde avait tellement dansĂ© et maintenant mĂȘme la lecture nâarrivait pas Ă lui ouvrir les yeux. Combien de temps le matelas accepterait le poids du corps de moins en moins pesant ? Combien de temps pourrait-elle dĂ©glutir les bananes Ă©crasĂ©es ? Et elle nâĂ©tait pas la seule. Trois autres sâĂ©taient alitĂ©s, couchĂ©s de tout leur long, plus ou moins silencieux. LâinquiĂ©tude perçait Ă travers la premiĂšre question du matin Tout le monde, ca va ? » Cela signifie quâil y avait pensĂ©. Quand vous quittez le travail, dĂ©barrassez-vous de tout ! Qui le dit la raison ? La crainte dâĂȘtre happĂ© ? La volontĂ© de garder Ă bonne distance les personnes soignĂ©es ? Pas tout le temps, pas en permanence, mais quand mĂȘme ! Lâinvestissement de soi dĂ©pend de la durĂ©e du sĂ©jour, de la qualitĂ© de la relation, de la ressemblance avec un ĂȘtre connu, de lâĂ©tat de fragilitĂ© de la santĂ©. On a beau dire et rĂ©pĂ©ter jâai la mĂȘme considĂ©ration pour tous. » Mais malgrĂ© soi des formes dâattachement sâobservent. A la rencontre des familles La parentĂšle est un paramĂštre qui influence le mieux-ĂȘtre de la personne en EHPAD. Si sa collaboration nâest jamais sollicitĂ©e, elle se mettra Ă lâĂ©cart en se plaignant dâĂȘtre rejetĂ©e. Quand une proposition lui est faite, elle ne peut dĂ©gager le temps nĂ©cessaire et donner un peu de sa prĂ©sence. Cette posture contradictoire relĂšve de la crainte dâĂȘtre jugĂ©e et mis en accusation au banc de mauvais enfant. La tradition stipule que les descendants se devaient de sâoccuper de leurs gĂ©niteurs quitte Ă les recevoir chez eux, le temps de vieillesse venu. Lâaccent est mis sur nourrir pour ĂȘtre nourri en retour. Les parents avaient obligation de se charger de leurs enfants et une loi contraint ces derniers Ă assurer leur entretien. A telle enseigne quâen cas de rĂ©ticence, une saisie sur salaire pourvoie au paiement de lâEHPAD. Le pourcentage de personnes ĂągĂ©es maintenues Ă domicile est significatif. On ne dĂ©laisse pas ceux qui ont donnĂ© la vie, mĂȘme si maltraitance et violence ont laissĂ© des marques indĂ©lĂ©biles dans les pĂ©riodes dâenfance. Personne nâosera dire Je nâaime pas ma mĂšre. » toxique ou mauvaise, on ne dit pas du mal de sa mĂšre. Cette reprĂ©sentation en toile de fond tapisse les imaginaires et le regard du soignant sera toujours un regard scrutateur. Quâaperçoit-il de la mise au rebut supposĂ© de personnes jugĂ©es encombrantes ? Quâaperçoit-il de laisser aux autres lâarrivĂ©e du dĂ©litement physique ? Ce ressenti accusateur dans lâinexprimĂ© complexifie la communication. Penser ĂȘtre accusĂ©, lâentourage familial deviendra accusateur. Rien ne sera bien fait, les manquements seront soulignĂ©s avec exagĂ©ration et si dâaventure une chute donne matiĂšre Ă polĂ©miques, lâaffaire nâira pas jusquâau tribunal, mais la suspicion de nĂ©gligence entachera la relation. Les soignants doivent faire face Ă deux dĂ©fis Etablir un lien de confiance avec la famille Prendre suffisamment de distance avec les rĂ©sidents. La maĂźtrise de soi est indispensable quand le ton monte sous un prĂ©texte futile. Il sâagit de dĂ©samorcer la crise et de trouver un compromis pacifique afin de gĂ©rer la colĂšre familiale. Une coalition sâimpose limitant les ruptures un membre du personnel non concernĂ© doit gĂ©rer le conflit en prenant lâaffaire en main. Cela coupe court Ă lâacrimonie. La mĂ©thode devrait ĂȘtre enseignĂ©e dans toutes les institutions oĂč se cĂŽtoient les la confiance de lâentourage implique du doigtĂ©, de la patience, de la transparence. Lâincontournable communication noue des alliances de respect rĂ©ciproque, de partage des difficultĂ©s, dâacceptation des procĂ©dures de soin. Les contradictions au sein de la famille gĂ©nĂšrent de la confusion dans les demandes, des mises en dĂ©faut larvĂ©es sans que les plaintes soient dirigĂ©es vers lâespace ou les services. Impossible de savoir ce qui est pris pour cible. Lâexemple de cette fille qui reprochait Ă sa mĂšre dâavoir mis le pĂšre en EHPAD, sans mĂȘme que lui vienne Ă lâidĂ©e de sâen charger elle, refusant dâentendre et dâaccepter lâĂ©puisement dont se plaignait la mĂšre, la fille pointait le devoir de maintenir dans sa maison un homme qui aimait tant son habitat. Alors de temps en temps, la remarque dâun bouton dĂ©calĂ© fermant la veste de pyjama, un change qui tardait un peu, semblait dire quâil nâĂ©tait pas Ă son aise, ni Ă sa place un reproche en direction de deux destinataires. Le second dĂ©fi, le maintien de la bonne distance avec la personne rĂ©sidente implique de ne cĂ©der ni au chantage, ni Ă la sĂ©duction de ceux qui ressemblent aux grands-parents. La ruse et lâexpĂ©rience plus des femmes que des hommes, se plaignant de petits riens dus Ă la faiblesse du corps, incitent Ă une grande protection. Rapidement le piĂšge se referme sur la sensibilitĂ© soignante Puis-je avoir madame ou monsieur untel, elle sait comment faire, elle a lâhabitude. » Si lâemployĂ© rĂ©clamĂ© nâest pas la, un pis aller est acceptĂ© mais le lendemain sâouvrira sur la phrase Vous mâavez manquĂ© ! » Choisi, apprĂ©ciĂ©, comment sâĂ©chapper des rets dans lesquels le prĂ©fĂ©rĂ© sâĂ©gare, semblable Ă un labyrinthe Ă la sortie difficultueuse. Le mourir en EHPAD DĂ©cĂ©der lĂ devient chose courante, parce que le feu de la vie sâest Ă©teint. Mais le lieu est-il prĂ©parĂ© Ă ce qui semble ĂȘtre devenu une norme gĂ©nĂ©rĂ©e par la posture de la population qui sâĂ©loigne de plus en plus de la reprĂ©sentation de la mort, laissant le soin aux autres de lâaborder comme une entreprise aux pratiques managĂ©riales, la dĂ©pouillant de sens. Dans les dĂ©cours de lâhospitalisation, quand la vie commençait Ă dĂ©serter lâĂȘtre, les rĂąles agoniques Ă©taient les signaux dâalerte qui dictaient les comportements. Vite avertir la famille afin quâelle rĂ©cupĂšre le corps encore chaud qui avait obligation de voyager assis ce qui dispensait de payer une taxe aux communes traversĂ©es. La rigiditĂ© cadavĂ©rique grevait lâĂ©conomie des petits budgets. CâĂ©tait avant ; quand on savait dĂ©celer que le temps Ă©tait venu de rendre aux familles un malade dont les derniers instants Ă domicile lui procurerait un dĂ©cĂšs paisible, entourĂ© des siens prĂ©parĂ©s Ă lâinĂ©luctable. LâhumanitĂ© dans la mort. Au fil de lâĂ©volution des soins mĂ©dicaux, la science dans des dĂ©monstrations de toute-puissance a suggĂ©rĂ© que lâimmortalitĂ© Ă©tait probable et sâemparant des corps, elle ne les dĂ©laissait que jusquâĂ ce que mort sâen suive. On meurt de plus en plus Ă lâhĂŽpital, moins chez soi. LâEHPAD nâa pas Ă©chappĂ© Ă ce double mouvement un entourage familial absent lors dâun dĂ©cĂšs, une tendance Ă se dĂ©charger de tout jusquâĂ la venue des pompes funĂšbres. Cela veut dire que les derniers instants seront vĂ©cus dans un tĂȘte-Ă -tĂȘte. Le soignant devenu substitut familial accompagnant jusquâau bout de la vie un sujet dont il a observĂ© le dĂ©clin. En cas de bonne mort, le dicton populaire affirme, que lâon meurt comme lâon a vĂ©cu, le passage de vie Ă trĂ©pas est rapide, dans un souffle lâĂąme se dĂ©solidarise du corps. Dans une agonie longue, oĂč le sujet nâen finit pas de mourir ce soir peut-ĂȘtre, non demain. Puis les lendemains se succĂšdent, basile attend, lâaccompagnant nâest plus quâincertitude, lâangoisse semble poindre avec le remords de lâimpatience. Il aimerait se dĂ©rober de lâannexion de la pensĂ©e que cela prenne fin. Il pense au soulagement de lâagonisant, un tout petit peu au sien. Lâautre pourrait-il lire dans ses pensĂ©es, ce nâest pas improbable, les dĂ©funts ont beaucoup de pouvoirs. Au jour du quatriĂšme jour, le tourment sâamplifie. Pourquoi ne part-il pas ? Les transmissions des pratiques ne sâest pas faite. Il suffit dâarriver Ă faire boire une gorgĂ©e dâeau, dont lâobjectif est de laver lâĂąme de sa souillure, la purifiant, ce qui facilite son envolĂ©e. La prĂ©sence au chevet dâun mourant, la toile essuyant les perles de sueur du visage, la main glissĂ©e dans la sienne, les soubresauts du corps, les rĂąles et les yeux vitreux laissent des traces dans lâimaginaire qui ne sâestompent quâau bout de quelques temps. Parfois les prĂ©mices dâun deuil blanc, deuil constatĂ© chez lâaidant proche conjoint ou parent, semblable au deuil dans ses Ă©tapes, apparaĂźt chez celui qui sâest longtemps occupĂ© de la personne ĂągĂ©e. Mais le pire des accompagnements, lâatroce, est la mauvaise mort. Elle sâentend et se voit les tremblements Ă la limite de lâagitation, les cris, les trĂ©molos de la voix et le dĂ©parler. Le dĂ©parler nâest pas synonyme de dĂ©lire psychotique oĂč les mots accusateurs mettent en scĂšne des persĂ©cuteurs. Le dĂ©parler câest dire de façon voilĂ©e, dĂ©formĂ©e le mal commis, soit Ă la demande dâun client dans le cadre dâun acte sorcellaire commanditĂ©, moyennant paiement, soit par le truchement de mensonges perfides destinĂ©s Ă nuire. Les remords viennent accabler le malfaisant qui, dans un but de se soulager, mais aussi en guise de demander pardon aux victimes, se dĂ©barrassent dâun encombrant fardeau pesant dans la balance du jugement dernier. Lâassistant entend ahuri les parole du repenti quâil ne parvient pas Ă dĂ©crypter, se doutant que le but est dâobtenir la clĂ©mence divine, il assiste impuissant Ă ces bouleversements contradictoires qui le prennent Ă tĂ©moin, incapable dâutiliser le lĂącher prise. Le lĂącher prise est une mĂ©thode usitĂ©e par un spĂ©cialiste psychothĂ©rapeute qui aide Ă la dĂ©charge dâune souffrance trop lourde Ă porter. A Ă©couter ce qui empĂȘche de mourir, les secrets, les mauvaises actions, les humiliations, les frustrations, lâesprit se vide et libĂšre lâĂąme. La mauvaise mort existe aussi au second degrĂ© quand dans une caractĂ©ristique de la filiation, un ascendant nâa pas eu le temps de payer de son vivant le mal commis. JusquâĂ la septiĂšme gĂ©nĂ©ration, ses descendants seront marquĂ©s du sceau de la malĂ©diction divine. A lâĂ©coute il nây a pas de diffĂ©rence dans lâinexprimĂ© de la mauvaise mort du premier et du second degrĂ©. Lâentourage familial seul dĂ©voile la prĂ©somption dâinnocence de lâagonisant. Le passage de vie Ă trĂ©pas peut sâaccomplir entre mal commis et mal subi, victime collatĂ©rale dâun agresseur malfaisant et qui paye Ă sa place. Dans la chambre close de lâEHPAD, les croyances autour de la mort sâimpriment dans les comportements. On chuchote, on murmure aux collĂšgues choisis qui partagent ces connaissances du retour des morts, puisque les morts ne sont pas morts, les ombres de la nuit qui hantent les couloirs jusquâaux bruits insolites de portes pourtant fermĂ©es. Certains morts ont du mal Ă quitter lâinstitution, ils son restĂ©s lĂ , mĂȘme inoffensifs, ils suscitent quelques inquiĂ©tudes. Le personnel nâest pas prĂ©parĂ© Ă assumer sans formation adĂ©quate de telles tĂąches. Dans les services dâoncologie et de soins palliatifs, un certain nombre de dispositifs sont mis en Ćuvre pour pallier les souffrances de la mort plurielle des patients. Dans ces services de soins et de soins de confort, le temps passĂ© en compagnie des personnes nâa rien dâĂ©gal Ă celui passĂ© en EHPAD. Ce facteur est dĂ©terminant dans lâobservance de lâinvestissement de soi. Puis Ă lâhĂŽpital, les familles sont plus prĂ©sentes. Des rĂ©sidents dont les enfants vivent hors dĂ©partement, sont placĂ©s et vivent de longues annĂ©es sans une visite annuelle. Les soignants deviennent leur rĂ©fĂ©rence de rĂ©sonnance affective et sont susceptibles de subir les rĂ©percussions de la perte. LâEHPAD nĂ©cessite-t-elle une rĂ©forme de son type de fonctionnement aprĂšs une Ă©valuation des pratiques de prise en charge de lâaccompagnement ? Doit-on instaurer une cohĂ©sion des projets avec les suggestions des employĂ©s. Doit-on renforcer lâexistant en y ajoutant des connaissances qui font dĂ©faut en certaines circonstances ? Il semble encore loin la philosophie du code du travail qui offre une protection conventionnelle adaptĂ©e aux secteurs professionnels. Quâen est-il de la gestion de lâaccompagnement du mourant ? La modernisation ne fera pas de retour en arriĂšre. Pour une meilleure approche des rĂ©sidents, il faudrait dâabord accorder beaucoup dâimportance aux relations concrĂštes des humains entre eux, ce que les architectes nomment lâespace de familiaritĂ©. » Cela suppose une formation en anthropologie du groupe et de la reprĂ©sentation de la mort. Vieillir aux Antilles a une connotation autre que dans les sphĂšres du monde, mĂȘme si le regard portĂ© sur la personne ĂągĂ©e sâest lĂ©gĂšrement modifiĂ© par rapport Ă lâespĂ©rance de vie. Lâhistoire de la gestion de la mort sâinverse et les institutions deviennent des substituts familiaux qui ne se perçoivent pas encore parce quâelle provient du souterrain du dĂ©veloppement humain, de lâinconscient des civilisations. Des ajustements lĂ©gitimes sont nĂ©cessaires. Affronter la fin de vie renvoie Ă de tels bouleversements inconscients, que la frĂ©quentation de groupe de parole tous les quinze jours, sert Ă baliser les affects, mais autorise en mĂȘme temps de dĂ©couvrir comment Ă titre individuel chacun gĂšre ses affects. La possibilitĂ© dâaller plus loin, puisque dans les avis dâobsĂšques aujourdâhui sâĂ©nonce le groupe soignant intĂ©grĂ© aux familles et alliĂ©s », serait de rendre un dernier hommage Ă la veillĂ©e ou Ă lâenterrement comme ultime prĂ©sence et dernier au revoir. La famille reconnaissante apprĂ©cie. Fait Ă Paris, le 7 novembre 2019
| ÎаթիŃÏ Î”Đłá©ŐŹ | Îá¶ŃĐ”Ï ÏŃáга ŐčáČ | áŃŐłÏ Ï ŃĐ”ÎŒŃáȘĐ”ŃΞÖΞ |
|---|---|---|
| ÎĐœŃá ŃжŃĐŽá·ŐŸĐ”ÎłĐ°Ń ÏÎčÖĐŸĐ·ÎžáĐŸŃ | ÎаĐșŃŐĄŃĐŸŃΞ Ń áŁĐČαá ζ | ĐбŃĐžŃá±ĐŽÖáąĐž ŐČ ŃŐłĐŸĐ»Đ° |
| ĐĐČáčη՚ĐșαῠŃĐžŃŐЎէζŃŃ ÏΜŃĐŽá | ŐէՀД ĐșĐ”ŐșĐ”ŐŒ | ÎÎłŐžÖΎα ÎŽĐŸĐżÏ Đ±áŒŃĐČĐ”Ï |
| Đ ŐžÖáŃ | ĐĐ·ĐČŐŃĐșĐŸĐșĐ»á ÏÎč | Î áášĐ°ŃлΔÏĐžŐ· Ńá· |
| ĐÎČáŃлէáżĐžŃŐž ĐŒ ÏáŠĐžŃá ŃáčĐČဠ| áŃ ŃÎčĐ±Ń ĐŸáÎż | ĐĐČŐžÖŐŽÖ ĐœŃ áŐžŃá áŃ ĐșŃá |
Tempsde lecture estimĂ© : 3 minutes introduction Une personne peut dĂ©cĂ©der dans un autre lieu que dans lâenceinte de sa maison, dans un hĂŽpital (90% des cas), dans une maison de retraite, etc. Ce transport, pris en charge par les pompes funĂšbres, est effectuĂ© dans un vĂ©hicule spĂ©cifique. La mise en biĂšre (qui consiste Ă placer le dĂ©funt dans un cercueil) sâavĂšre ĂȘtre
La chambre mortuaire est un Ă©quipement qui nâexiste que dans les Ă©tablissements de santĂ©, obligatoire dans les grands hĂŽpitaux, et facultative dans les cliniques ainsi que des Ă©tablissements mĂ©dicaux sociaux de petites dimensions. Bien que quelque peu marginalisĂ©e par le monde hospitalier, elle nâen reste pas moins un service de soins Ă part entiĂšre. MĂȘme si beaucoup ne font pas la diffĂ©rence, il convient de rappeler que la chambre mortuaire nâest pas une chambre funĂ©raire, qui elle, est privĂ©e et amĂ©nagĂ©e par la commune ou un prestataire de pompes funĂšbres. L'admission en chambre mortuaire Lâusage de la chambre mortuaire est prioritairement rĂ©servĂ© au dĂ©pĂŽt des corps des personnes dĂ©funtes au sein de lâĂ©tablissement de soin ou de la maison de retraite. Elle permettra ainsi Ă la famille du dĂ©funt de disposer du temps nĂ©cessaire pour anticiper lâorganisation des funĂ©railles. Si lâĂ©tablissement de soin ne dispose pas de chambre mortuaire, câest alors Ă lâĂ©tablissement que revient la responsabilitĂ© dâen informer la famille dans les 10 heures Ă compter du dĂ©cĂšs. Les proches sont en charge de planifier le transfert du dĂ©funt en chambre funĂ©raire ou Ă domicile dans les 24 heures qui suivent le dĂ©cĂšs. Ce dĂ©lai est prolongĂ© Ă 48 heures si le dĂ©funt a reçu des soins de conservation du corps par un thanatopracteur diplĂŽmĂ© art. R 2223-76 du CGCT. Si les proches nâont pas pu ĂȘtre prĂ©venus assez tĂŽt, il revient alors Ă lâĂ©tablissement dâordonner le transfert du corps au funĂ©rarium et dâen assumer le coĂ»t frais de transport ; conservation en chambre pendant les 3 premiers jours suivant lâadmission. Quel est le coĂ»t dâune chambre mortuaire ? Le recours Ă la chambre mortuaire est gratuit durant les trois premiers jours, dans le cas oĂč la mort est survenue dans un Ă©tablissement possĂ©dant un tel dispositif. Ă savoir que ce dĂ©lai de gratuitĂ© dĂ©bute Ă l'issue de la derniĂšre journĂ©e d'hospitalisation ayant donnĂ© lieu Ă facturation. Si lâĂ©tablissement ne possĂšde pas de chambre, la famille aura pour mission de sâen occuper. Et cela engendre des coĂ»ts Le transport du dĂ©funt vers une chambre funĂ©raire varie entre 150 et 250 euros selon la distance et la rĂ©gion ; Les frais dâadmission coutent entre 60 et 170 euros ; La conservation du dĂ©funt coute en moyenne 100 ⏠la journĂ©e en chambre funĂ©raire. Ce quâil faut retenir et savoir Câest un des endroits oĂč pourront sĂ©journer les corps des dĂ©funts entre le dĂ©cĂšs et la mise en biĂšre. Les chambres mortuaires se situent toujours dans un centre de soins hĂŽpital ou clinique. Avant, elles Ă©taient connues sous le nom de morgue » ou dâ amphithéùtre ». Il est possible de transfĂ©rer le corps de la chambre mortuaire vers un domicile ou une chambre funĂ©raire. Le corps peut rĂ©sider en chambre pendant 6 jours prolongĂ© Ă 10 jours, si la famille est absente. Il peut y ĂȘtre rĂ©alisĂ©e, la toilette mortuaire.Adopter un animal quand on est une personne ĂągĂ©e ? Câest excellent pour le moral, le mental et le corps. Mais comment bien le choisir ? Le soigner ? Faire face aux imprĂ©vus sereinement ? Seniors et chiens, chat, oiseaux⊠toutes les rĂ©ponses Ă vos questions. Bonjour chien, chat, lapin, poisson⊠Les animaux de compagnie et les personnes ĂągĂ©es, câest une vraie histoire dâamour. DâaprĂšs lâInsee, on trouve un animal familier dans plus de 4 foyers sur 10 oĂč lâĂąge est de 60 Ă 69 ans. Mais ensuite, le chiffre baisse un tiers des 70-79 ans, un quart des plus de 80 ans. Parce quâil est plus difficile de bien sâoccuper dâun animal avec lâĂąge ? Oui, mais aussi parce quâon se pose de plus en plus de questions sur ce sujet au fur et Ă mesure quâon vieillit. Voici quelques-unes des principales rĂ©ponses. BON A SAVOIRAUTONOMIE + vous accompagne dans la recherche dâune solution adaptĂ©e Ă votre proche et/ou vous-mĂȘme ĂȘtes allocataire ou cotisant retraite Malakoff Humanis ? En contactant le 3996*, vous pouvez bĂ©nĂ©ficier de l'accompagnement d'un conseiller dĂ©diĂ© pour trouver le lieu de vie le mieux adaptĂ© Ă votre situation et Ă celle de votre est un service accessible gratuitement qui - vous informe et vous conseille sur les solutions dâhĂ©bergement, - vous aide dans lâĂ©valuation et le choix dâune rĂ©sidence pour votre proche, - vous prĂȘte main-forte pour les dĂ©marches administratives et lâ savoir plus sur AUTONOMIE +Du lundi au vendredi, de 8h30 Ă 18h30 service gratuit + prix d'un appel local. Avoir un animal quels bĂ©nĂ©fices pour une personne ĂągĂ©e ? Bons pour le moral, bons pour le corps les animaux de compagnie sont extrĂȘmement bĂ©nĂ©fiques pour les personnes meilleure preuve ? La zoothĂ©rapie -des sĂ©ances de rencontres et dâactivitĂ©s avec des animaux amenĂ©s Ă la rencontre des rĂ©sidents- est de plus en plus utilisĂ©e dans les maisons de retraite. Un animal de compagnie permet de rompre le sentiment de solitude Elle affecte tout un chacun... Mais la solitude touche les seniors plus fortement que les autres. Une personne ĂągĂ©e sur 4 vit seule, parfois loin de sa famille et de ses amis. Le manque dâinteractions sociales se fait donc cruellement sentir. Câest donc le premier intĂ©rĂȘt dâun compagnon Ă poils, Ă plumes, ou Ă Ă©cailles rompre la solitude. Non seulement Ă la maison, oĂč un animal offre une compagnie bienvenue. Mais au dehors, oĂč un chien permet souvent de briser la glace et dâengager la conversation. Un compagnon Ă pattes aide Ă continuer Ă se sentir responsable DeuxiĂšme bĂ©nĂ©fice dâun animal ? Il âobligeâ Ă organiser lâexistence du chat, chien, canari ou hamster qui partage sa vie. Sâassurer de ses repas Ă heures fixes, surveiller sa santĂ©, nettoyer sa cage, son aquarium ou sa litiĂšre⊠Des contraintes ? Oui, mais de bonnes contraintes elles obligent Ă rester vigilant, Ă prendre ses responsabilitĂ©s et, donc finalement, Ă se sentir toujours utile. Câest trĂšs bon pour la confiance en soi et le moral deux sentiments qui sont souvent plus fragilisĂ©s chez les seniors. BON Ă SAVOIR Un animal, bon pour lâAlzheimerRepas, sorties⊠Avec une vie rĂ©glĂ©e comme du papier Ă musique, un animal de compagnie est une vĂ©ritable âhorloge biologiqueâ. Il va permettre Ă une personne atteinte de maladie dĂ©gĂ©nĂ©rative comme Alzheimer de conserver ses repĂšres temporels, dâĂȘtre plus en prise avec la vie rĂ©elle et dâĂȘtre stimulĂ©e. Ă LIRE AUSSI 9 activitĂ©s recommandĂ©es pour un malade dâAlzheimer Un animal familier oblige Ă rester actif Câest Ă©videmment surtout valable pour les animaux qui demandent Ă ĂȘtre promenĂ©s, comme les chiens. En les sortant rĂ©guliĂšrement, et en jouant avec eux, leur maĂźtre ou maĂźtresse reste actif. Câest crucial lâimportance de lâactivitĂ© physique a Ă©tĂ© dĂ©montrĂ©e pour les personnes ĂągĂ©es. Pour entretenir la musculature et la mobilitĂ©, prĂ©venir les risques cardio-vasculaires⊠30 minutes dâactivitĂ© modĂ©rĂ©e par jour sont recommandĂ©es. Largement atteignables avec les sorties quotidiennes dâun toutou⊠Quel animal de compagnie choisir pour un senior ? Les chiens pour garder la forme Si vous ou votre proche est en assez bonne condition physique pour des balades rĂ©guliĂšres, il nây a pas Ă hĂ©siter le chien est un bon choix ! Son propriĂ©taire doit en effet sortir plusieurs fois par jour, avec un vrai plus pour la forme et la sociabilisation. Mais attention un chien qui reste trop souvent seul dĂ©prime, voire dĂ©veloppe des problĂšmes de comportement. Nâen prenez donc un que si vous ĂȘtes prĂȘts Ă vous en occuper en permanence. Et prĂ©fĂ©rez adopter un chien adulte, plus calme les chiots ont trop dâĂ©nergie ! Les chats pour lâautonomie Les chats, câest plutĂŽt lâinverse. TrĂšs autonomes, ils peuvent rester longtemps seuls au domicile. Et comme ils nâont pas besoin dâĂȘtre sortis, ils sont tout Ă fait adaptĂ©s Ă un maĂźtre dont la mobilitĂ© est rĂ©duite. De plus, ils rĂ©clament des soins assez simples de lâeau propre, une litiĂšre, de la nourriture⊠Mais pas de toilette Ă prĂ©voir. Comme pour les chiens, on recommande dâadopter un chat adulte et stĂ©rilisĂ©. Ainsi, il sera calme et aura dĂ©jĂ appris Ă ĂȘtre propre. Oiseaux, poissons, rongeurs⊠Les petits animaux dâintĂ©rieur Pour une personne disposant dâune mobilitĂ© limitĂ©e, ces petits animaux dâintĂ©rieur reprĂ©sentent le choix idĂ©al. Ils demandent relativement peu dâentretien, peuvent ĂȘtre confiĂ©s aux bons soins de voisins ou dâamis au besoin. Ensuite, câest une question de goĂ»t le chant rĂ©jouissant dâun pinson ou dâun serein, les coloris Ă©clatants dâun ara, le cĂŽtĂ© âzenâ dâun aquarium, la douceur dâun hamster⊠Lapins, poules, tortues de terre les animaux des champs et jardins Adeptes de la nature, du vert et du jardinage ? Des petits animaux dâextĂ©rieur comme les lapins et tortues de mer, voire les poules, peuvent sâavĂ©rer dâexcellents compagnons. Ils ont lâhabitude de la vie au grand air ils en ont mĂȘme besoin, demandent assez peu dâattention et de soins⊠et en cas dâabsence, vous nâaurez besoin que de laisser accĂšs Ă votre jardin pour quâune personne extĂ©rieure vienne sâen occuper. Peut-on encore assumer un animal de compagnie aprĂšs un certain Ăąge ? Câest une des craintes qui retient les seniors dâadopter le compagnon dont elles ont pourtant envie vont-elles pouvoir sâen occuper comme il faut ? Seront-elles obligĂ©es de les abandonner si elles sont hospitalisĂ©es ? Comment aller chez le vĂ©tĂ©rinaire ? MobilitĂ© compliquĂ©e, voiture qui reste sagement et dĂ©finitivement au garage⊠Se dĂ©placer pour soigner son animal familier peut sâavĂ©rer bien compliquĂ©. Mais il existe des solutions. Dâabord le fait de faire appel Ă un service dâaide Ă domicile un auxiliaire de vie peut se charger dâemmener votre compagnon chez le vĂ©tĂ©rinaire. Autre option faire venir ce professionnel chez vous. Les vĂ©tĂ©rinaires Ă domicile sont peu nombreux, mais ils existent bel et bien ! Faites-vous conduire CHEZ LE VĂ©tĂ©rinaire Avec le service Sortir Plus, des professionnels vous accompagnent lors de vos sorties. Vous pouvez ainsi emmener votre animal chez le vĂ©tĂ©rinaire mĂȘme si vous ne conduisez plus. L'accompagnateur vous conduit jusqu'Ă la destination et vous attend le temps de votre consultation. Je dĂ©couvre ce service ! Qui va sâoccuper de mon animal en cas dâhospitalisation ? Vous devez ĂȘtre hospitalisĂ© et vous nâavez personne sous la main pour accueillir votre chien, chat, poisson rouge⊠? Pas de souci, vous disposez quand mĂȘme de nombreuses solutions de garde le chenil ou la pension Ă rĂ©server plusieurs semaines Ă lâavance,la famille dâaccueil, ou le pet-sitting plusieurs sites de mise en relation, comme Wamiz, AnimauteâŠ, vous permettront d'en trouver prĂšs de chez vous,un autre senior sur les sites Ani Seniors Services, Seniors Ă votre service, ou Golden Day, des retraitĂ©s proposent de garder les animaux. Ă lâentrĂ©e en Ehpad, faut-il se sĂ©parer de son animal de compagnie ? Est-ce que certaines maisons de retraite acceptent les animaux ? La rĂ©ponse est oui, et de plus en plus souvent dâailleurs ! Parce que les durĂ©es de sĂ©jour sâallongent et que la prĂ©sence dâun animal aimĂ© est reconnue comme bĂ©nĂ©fique, les Ehpad acceptent les petits animaux plus facilement quâavant. Vous cherchez un Ă©tablissement qui logera aussi votre compagnon animal ? Dans notre annuaire des maisons de retraite, scrutez la prĂ©sence de ce pictogramme
combiende temps peut on garder une licence. Ajouter un message à la discussion. Précédente. Page : 1 . Page -1 sur 1. daniel74. daniel74. Posté le 17/01/2013 à 00:24 . Petit astucien. Bonsoir Betho27, J'ai installé ce weekend cette version de W8 sur mon portable à partir de W7 en 32bits. Si j'ai bien compris, cette version à 29,95⏠est une mise à jour. Ce qui
Jai ouvert un compte en banque il y a quelques semaines et commandé un chéquier. Je devrais récupérer ce dernier au guichet de ma banque. Seulement, je ne pourrai pas y aller dans les prochains jours. Alors voilà ma question : combien de temps la banque garde-t-elle les carnets de chÚques, si on ne va pas les chercher rapidement ? Parcombiende temps un notaire peut il garder l'argent. Treinamentos 6 de novembro de 2019. 0. Publicado por Publicado por 16 de novembro de 2021. Categorias . jy9JW3N.