Test– Quel personnage d’Harry Potter serait ton/ta meilleur (e) ami (e) ? PubliĂ© par bettyramez - Le 04 Nov 2020 Ă  13:30. Tu adores les personnages de la saga de J.K Rowling ? DĂ©couvre tout de suite qui serait ton/ta meilleur (e) ami (e) dans Harry Potter !
À propos de ce questionnaire Le monde du manga est depuis la fin des annĂ©es 80, un univers que les jeunes et depuis, les moins jeunes connaissent sur le bout des doigts. L’épopĂ©e du Club DorothĂ©e a marquĂ© l’esprit de plus d’une gĂ©nĂ©ration avec des titres comme Sailor Moon, Nicky Larson, Olive et Tom, et une plĂ©thore d’autres. La popularitĂ© des mangas est quelque peu entachĂ©e par les vives polĂ©miques qui se font entendre sur la violence de certaines sĂ©ries d’animation programmĂ©es Les Chevaliers du Zodiaque, Ken le Survivant et Dragon Ball Z, dont certains passages sont Hero Academia reprĂ©sente le nouveau phĂ©nomĂšne Manga du Shonen Jump ! SignĂ©e Kohei Horikoshi, cette sĂ©rie est un vĂ©ritable hommage aux superhĂ©ros amĂ©ricains dont l’auteur raffole. MĂȘlant habilement les codes du manga Ă  ceux du comics made in USA, Kohei Horikoshi nous propose une Ɠuvre d’une grande fraĂźcheur, centrĂ©e sur une galerie de personnages extrĂȘmement un monde oĂč 80 % de la population mondiale possĂšde des super-pouvoirs, n’importe qui peut devenir un hĂ©ros ou, s’il le souhaite, un criminel. Avez-vous ce qu’il faut pour intĂ©grer l’UA ? La rĂ©ponse avec notre quiz !
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Quelpersonnage de One Piece es tu. Si on sen prend Ă  tes amis que fais-tu. Luffy par exemple est considĂ©rĂ© comme gentil pourtant cest un pirate dangereux pour le gouvernement dont la tĂȘte est mise Ă  prix Ă  plusieurs millions de berrys. Quel Personnages One Piece Es-Tu Question 1 out of 5. Serieously te propose de choisir ton signe astro pour dĂ©couvrir quel

Sur quel perso de One Piece tomberas tu ?Luffy ; Zoro ; Nami ; Usopp ; Sanji ; Chopper ; Robin ; Franky ; Brook . rĂ©ponse obligatoireQuestion 1Merci d'entrer ici votre pseudonymerĂ©ponse obligatoireQuestion 2Quel place occuperais-tu dans un Ă©quipage ?SecondNavigateurCharpentierMusicienCapitaineMĂ©decinCuisinierArchĂ©ologue CanonierrĂ©ponse obligatoireQuestion 3Comment es-tu ?Impulsifve et BagarreureuseFroide et distant ePerverse et GentilleSerieuxseNaifve et GentilleAutre rĂ©ponserĂ©ponse obligatoireQuestion 4Un nouveau membre arrive dans l'Ă©quipage , comment rĂ©agis-tu ?Je l'accueille Ă  bras ouvertsJe reste mĂ©fianteTant que c'est une fille !rĂ©ponse obligatoireQuestion 5Quelle est ta couleur prĂ©fĂ©rĂ© ?VertBleuOrangeMarronVioletNoirRouge rĂ©ponse obligatoireQuestion 6Pour rĂ©aliser ton rĂȘve , tu serais capable de Faire des sacrificesMourir Y passez ta vierien , tu n'as pas de rĂȘveAutre rĂ©ponseQuestion 7Comment te battrais tu contre tes ennemis ?Avec des SabresArmes a feuxAvec ton corpAvec un "baton"Avec un lance pierresQuestion 8Sur quel personnage aimerais tu ĂȘtre Ă  la fin de ce test ?Luffy ZoroNami UsoppSanjiChopperRobinFrankyBrookrĂ©ponse obligatoireQuestion 9A combien de Berrys serait ta prime ?Entre 100 millions et 500 millionsEntre 50 millions et 100 millionsEntre 1 million et 50 millionsentre 1 et 1 millionVous aussi, crĂ©ez votre questionnaire en ligne !C'est facile et gratuit. C'est parti !

Noubliez pas de lire le rĂšglement L'Équipage du Chapeau de Paille; L'Équipage du Heart; L'Équipage aux Cent BĂȘtes Le deal Ă  ne pas rater Cartes PokĂ©mon Japon le display PokĂ©mon Go de retour en stock sur ... Voir le deal MAD WORLD LA VILLE Baker Street Avenue ResidencesPartagez Aller Ă  la page 1, 2, 3 AuteurMessage Alexander Hamilton âŠč Ton univers Hamilton An American MusicalâŠč Date de naissance 11/01/1980âŠč Age 42âŠč MĂ©tier Ecrivain, chercheur en sciences politiques, polĂ©miste, travaille pour un maire qu'il n'a jamais vu...âŠč Quartier Raccoon SquareâŠč CĂŽtĂ© cƓur I don't pretend to know the challenges we're facing. But I'm not afraid. Just let me stay here by your side. That would be enough.âŠč Dons/capacitĂ©s/pouvoirs Aucun pouvoir.âŠč Pseudo LiouneâŠč Avatar Lin-Manuel MirandaâŠč Copyright Sweetie & Tumblr & KoalaVolantâŠč DisponibilitĂ©s rp Toujours disponible.âŠč Autres comptes Team Willou.âŠč Messages 563âŠč Points 166âŠč Date d'inscription 27/07/2021âŠč Notes RPS En cours Sabrina Jaime Lyra Mary Elizabeth [2] Eloise RPS TerminĂ©s Phillip Jo Orpheus Marisa Walburga David Elizabeth Elizabeth & Alexander Elizabeth Elizabeth [2] Don't be shocked when your history book mentions me I will lay down my life if it sets us free Eventually you'll see my ascendancySujet Re TerminĂ© Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre âŠč Alexander. Ven 4 Mar - 1832 Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre feat. ElizabethS’il a remarquĂ© la capacitĂ© de cette ville Ă  leur envoyer des Ă©preuves et Ă  les mettre dans des situations improbables ? Oh que oui, et Alexander en avait largement fait les frais
 Jamais de sa vie passĂ©e il n’aurait cru pouvoir prĂ©tendre s’ĂȘtre tirĂ© indemne d’une confrontation avec des morts-vivants, ou encore avoir affaire Ă  de la sorcellerie pure et dure. Toutes ses croyances avaient dĂ» ĂȘtre remises en question Ă  partir du moment oĂč il s’était retrouvĂ© dans cette ville Ă©trange, Ă  affronter une vie aprĂšs la mort qui n’avait absolument rien Ă  voir avec les images de paradis ou d’enfer qu’on avait eu l’habitude de lui vendre dans son monde. Il hoche la tĂȘte, il n’estime pas nĂ©cessaire de donner des exemples oui, en effet, il a bel et bien remarquĂ© cela, et de mĂȘme, il se sent particuliĂšrement dĂ©sorientĂ© quant au constat que cet endroit a l’air de parfois nous connaĂźtre mieux que nous-mĂȘmes, savoir appuyer sur nos points faibles notamment. Si ces Ă©vĂ©nements ne doivent pas ĂȘtre perçus comme des phĂ©nomĂšnes alĂ©atoires mais comme des situations ciblĂ©es, destinĂ©es Ă  les mettre personnellement Ă  l’épreuve, alors que faut-il en conclure ? Rien de bien rĂ©jouissant, selon toute vraisemblance. Cela nous fait deux nouvelles hypothĂšses », observe Alexander, qui fait au mieux pour considĂ©rer avec le plus grand pragmatisme une situation qui pourtant, Ă  l’évidence, Ă©chappe Ă  toute logique. Si nous admettons que nous nous retrouvons ici par la volontĂ©s d’instance supĂ©rieures, peu importe leur nature, soit nous faisons l’objet de leur divertissement, et nous placer dans des situations incongrues est seulement une maniĂšre de s’amuser de nos comportements sociaux – comme dans ces Ă©tranges Ă©missions de tĂ©lĂ©vision, ils appellent ça la tĂ©lĂ©rĂ©alitĂ©, je crois ? j’avoue que je n’ai pas vraiment compris
 » DĂ©jĂ  qu’il lui a fallu une Ă©ternitĂ© pour savoir se servir d’une tĂ©lĂ©vision, vous imaginez bien la chose. Soit il est bel et bien question de mener une Ă©tude de cas spĂ©cifique Ă  notre sujet, et dans ce cas, il nous faudrait commencer Ă  douter de la moindre de nos actions, y compris de celles que nous estimons issues de dĂ©cisions spontanĂ©es
 Qui sait si notre conversation elle-mĂȘme n’a pas Ă©tĂ© orchestrĂ©e de toutes piĂšces ? »C’est un constat particuliĂšrement dĂ©sagrĂ©able pour Alexander, qui a toujours eu Ă  cƓur de prendre en mains sa propre vie. Parti de rien, il a luttĂ© toute son existence dans l’espoir d’obtenir davantage, il n’a jamais cĂ©dĂ©, n’a jamais renoncĂ©, ne s’est jamais dĂ©tournĂ©. Il avait eu Ă  cƓur de justement prouver qu’il ne se lasserait jamais influencer par les alĂ©as d’une existence dont il voulait dĂ©cider du moindre aspect
 Et Ă  prĂ©sent ? Comment se targuer de reconquĂ©rir sa libertĂ© quand l’on n’est mĂȘme plus Ă  mĂȘme de dĂ©terminer les limites, les contours de cette mĂȘme libertĂ© ? Celle pensĂ©e qu’il espĂšre erronĂ©e mais ne manque malheureusement pas de logique lui retournerait presque le se sent nĂ©anmoins rassĂ©rĂ©nĂ© aux propos d’Elizabeth, quand cette derniĂšre suggĂšre d’ĂȘtre plus intelligent et plus efficace, de s’arranger pour que ce poste revienne Ă  quelqu’un qui saura s’en montrer digne et ne saura abuser de ce pouvoir. Vous avez raison, nous n’avons pas le choix. Heureusement, j’ai mon expĂ©rience en politique
 » Il marque une pause. A vrai dire, briguer si frontalement le pouvoir ne fait pas forcĂ©ment de moi le candidat idĂ©al, n’est-ce pas ? » Parce qu’il a une foi inĂ©branlable en lui-mĂȘme, Alexander est convaincu qu’il est le maire qu’il faudrait Ă  cette ville, mais sa conviction pourrait ĂȘtre un argument en sa dĂ©faveur. Je ne voudrais pas m’avancer
 mais j’ai l’intuition que vous avez votre propre expĂ©rience en matiĂšre de politique, n’est-ce pas ? »Code by LaxyHistory has its eyes on youKoalaVolantSpoiler Elizabeth Tudor âŠč Ton univers Reign.âŠč Date de naissance 07/09/1988âŠč Age 33âŠč MĂ©tier psychologue, plutĂŽt mauvaise d'ailleurs.âŠč Quartier Baker Street Avenue.âŠč CĂŽtĂ© cƓur cĂ©libataire, veuve officieusement.âŠč Dons/capacitĂ©s/pouvoirs Aucun pouvoir.âŠč Pseudo halay.âŠč Avatar Rachel SkarstenâŠč Copyright ? avatar ; semper eadem gifâŠč DisponibilitĂ©s rp disponible. Clarice âŠč Camille NoĂ«l âŠč Edmund âŠč Lara âŠč Mary intrigue âŠč Alexander âŠč ...âŠč Autres comptes Sophie de RĂ©an, Amy Pond, Clarke Griffin, Anna d'Arendelle, Jodie Holmes, Hermione Weasley, Jasmine d'Agrabah & Ambrose Spellman.âŠč Messages 689âŠč Points 1846âŠč Date d'inscription 11/03/2019âŠč Notes Sujet Re TerminĂ© Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre âŠč Alexander. Mer 23 Mar - 406 Le nombre d'hypothĂšses pouvant expliquer les raisons de leur prĂ©sence ici ne cessait d'augmenter. Chacun leur tour, ils donnaient leurs arguments et laissaient l'autre avancer ses hypothĂšses, modifier celles de son interlocuteur ou les prĂ©ciser. Le vĂ©ritable problĂšme Ă©tait simple il Ă©tait impossible de savoir s'ils s'approchaient ou non de la vĂ©ritĂ©, ils pouvaient donc continuer ce petit jeu pendant des annĂ©es. Cette ville avait la particularitĂ© de ne laisser aucun indice - il semblerait, du moins. Comment savoir si leur hypothĂšse Ă©tait juste alors ? Cette ville avait forcĂ©ment des failles. Il devait ĂȘtre possible de trouver des rĂ©ponses Ă  leurs questions - difficiles, presque impossible, mais pas complĂštement impossible. Il y avait forcĂ©ment des traces, des failles quelque part. Je ne regarde pas la tĂ©lĂ©vision donc je n'ai pas la moindre idĂ©e de ce dont vous me parlez. » PrĂ©cisa la psy, sourire amusĂ© aux lĂšvres. Vraiment, il ne pouvait pas compter sur elle dĂšs qu'il s'agissait de tĂ©lĂ© ou de rĂ©seaux. Elle n'y connaissait rien du tout. Bref, ce n'Ă©tait pas le point le plus important de son discours, mais elle avait tenu Ă  prĂ©ciser qu'elle ne comprenait pas la comparaison. Heureusement, ne pas connaĂźtre les Ă©missions dont il parlait n'empĂȘchait pas Elizabeth de comprendre le fond de sa pensĂ©e. En des termes simplifiĂ©s, soit ils n'Ă©taient qu'un jeu amusant Ă  observer, soit ils Ă©taient les sujets d'une Ă©tude. Elizabeth ne se rĂ©jouissait, Ă©videmment, d'aucune des deux thĂ©ories. Comprendre qu'elle ne contrĂŽlait potentiellement aucune de ses dĂ©cisions Ă©taient particuliĂšrement effrayants - et elle ne pouvait s'empĂȘcher de se demander si cette pensĂ©e Ă©tait la sienne ou si elle lui Ă©tait imposĂ©e. J'ignore quelle hypothĂšse je prĂ©fĂšre. » Soupira-t-elle en secouant la tĂȘte. Etre un jouet, pour une entitĂ© dont ils ne savaient rien, n'avait rien de rĂ©jouissant. Je ne pourrais plus jamais arrĂȘter de penser que chaque mot, chaque action n'est pas vraiment de moi. » S'autorisait-elle Ă  ajouter, essayant de tourner ses mots comme une plaisanterie pour ne pas rendre cette menace invisible plus rĂ©elle qu'elle ne pouvait dĂ©jĂ  l' le moment, Elizabeth prĂ©fĂ©rait se concentrer sur autre chose. Si elle n'Ă©tait pas maĂźtresse de ses pensĂ©es et de ses actions, elle n'y pouvait rien de toute façon. Alors elle se concentrait sur la politique de cette ville. Trouver le maire ou prendre sa place Ă©tait une bonne chose. En revanche, ils devaient se montrer particuliĂšrement prudents pour Ă©viter Ă  une personne mal intentionnĂ©e de prendre le pouvoir. Qui sait quelle guerre pourrait avoir lieu pour rĂ©cupĂ©rer cette place ? Elizabeth avait dĂ©jĂ  vĂ©cu des guerres de pouvoirs et ça n'avait rien d'agrĂ©able, de facile ou d'amusant. Ces guerres l'avaient conduite Ă  tuer sa propre cousine. Alors non, ils devaient Ă©viter une guerre Ă  tout prix, il n'en ressortirait rien de bon. Pour cela, ils devaient se montrer plus intelligents pour faire les choses bien, sans laisser la moindre faille dĂ©truire leurs plans. Il confirmait les propos d'Elizabeth, prĂ©cisant qu'il avait, heureusement, une expĂ©rience en politique. C'Ă©tait un avantage non-nĂ©gligeable, en effet. Vous ĂȘtes certainement un bien meilleur candidat que la majoritĂ© de ceux qui aimeraient rĂ©cupĂ©rer cette place. » Avoua Elizabeth. Ce n'Ă©tait qu'une supposition bien sĂ»r, mais il avait Ă  coeur de bien faire, elle le sentait. Puis, je suppose qu'il n'y a pas vraiment de candidat idĂ©al. » Ajouta-t-elle dans un haussement d'Ă©paules. Il faudrait davantage s'intĂ©resser Ă  ce que chacun souhaite pour cette ville, et non pour lui-mĂȘme. RĂ©cupĂ©rer la place de maire, c'est rĂ©cupĂ©rer la responsabilitĂ© d'une ville immense au fonctionnement plus que singulier, avec des habitants trĂšs diffĂ©rents les uns des autres. Autant dire que ça limite encore plus le choix du candidat idĂ©al. » Parce que beaucoup ne penseront pas Ă  tout ça, beaucoup ne verraient que ce pouvoir immense qu'ils pourraient possĂ©der et le contrĂŽle qu'ils pourraient avoir sur cette s'Ă©tait figĂ©e Ă  la suite des propos d'Alexander. Si elle s'Ă©tait dĂ©tendue lĂ©gĂšrement jusqu'Ă  prĂ©sent, elle sentit tout son corps se tendre et son visage perdre toute trace de sourire. Qu'elle Ă©tait stupide ! Elle s'Ă©tait beaucoup trop dĂ©voilĂ©e, mise en danger, emportĂ©e par une conversation intĂ©ressante et passionnante comme elle n'en avait pas eu depuis une Ă©ternitĂ©. Et cette rĂ©action qu'elle avait actuellement Ă©tait plus stupide encore. Vous vous trompez ! » Lança-t-elle un peu trop froidement, sur la dĂ©fensive. Je n'y connais absolument rien. Rien de plus que ce que j'ai pu apprendre dans les livres. » Mentit-elle, essayant de retrouver un sourire de façade, malgrĂ© l'angoisse qui l'envahissait soudainement. Vous semblez si passionnĂ© que c'en est inspirant, c'est peut-ĂȘtre aussi ce qui donne cette impression. » Ajouta-t-elle, ayant dĂ©jĂ  compris que la flatterie fonctionnait plutĂŽt bien avec lui, alors autant s'en servir pour changer de conversation, de nouveau. Racontez-moi ce que vous imaginez pour le gouvernement de cette ville ! Je suis certaine que vous y avez dĂ©jĂ  pensĂ©. » Reprit-elle en tentant de retrouver une attitude plus dĂ©tendue et en changeant de conversation pour qu'il oublie de s'intĂ©resser Ă  elle, une fois encore. Alexander Hamilton âŠč Ton univers Hamilton An American MusicalâŠč Date de naissance 11/01/1980âŠč Age 42âŠč MĂ©tier Ecrivain, chercheur en sciences politiques, polĂ©miste, travaille pour un maire qu'il n'a jamais vu...âŠč Quartier Raccoon SquareâŠč CĂŽtĂ© cƓur I don't pretend to know the challenges we're facing. But I'm not afraid. Just let me stay here by your side. That would be enough.âŠč Dons/capacitĂ©s/pouvoirs Aucun pouvoir.âŠč Pseudo LiouneâŠč Avatar Lin-Manuel MirandaâŠč Copyright Sweetie & Tumblr & KoalaVolantâŠč DisponibilitĂ©s rp Toujours disponible.âŠč Autres comptes Team Willou.âŠč Messages 563âŠč Points 166âŠč Date d'inscription 27/07/2021âŠč Notes RPS En cours Sabrina Jaime Lyra Mary Elizabeth [2] Eloise RPS TerminĂ©s Phillip Jo Orpheus Marisa Walburga David Elizabeth Elizabeth & Alexander Elizabeth Elizabeth [2] Don't be shocked when your history book mentions me I will lay down my life if it sets us free Eventually you'll see my ascendancySujet Re TerminĂ© Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre âŠč Alexander. Ven 25 Mar - 2018 Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre feat. ElizabethAlexander affiche un sourire en coin quand son interlocutrice lui apprend ne jamais regarder la tĂ©lĂ©vision. Plus il lui parle, et quand bien mĂȘme elle s’arrange toujours pour lui en dire le moins possible de son passĂ©, plus il est convaincu qu’ils ne viennent pas d’époques trĂšs diffĂ©rentes, tous les deux, et ils ont sans doute eu les mĂȘmes difficultĂ©s Ă  s’adapter Ă  une technologie qui leur avait Ă©tĂ© complĂštement Ă©trangĂšre dans leur monde d’origine. Pour certaines d’entre elles, Alexander continue d’ĂȘtre relativement dĂ©passĂ©, en ce qui concerne la tĂ©lĂ©vision, il reconnaĂźt qu’il s’est plus facilement pris au jeu, mĂȘme si bien des subtilitĂ©s lui Ă©chappent encore. Il s’est cependant surpris plus d’une fois Ă  regarder les informations et Ă  s’en mĂ©fier par la mĂȘme occasion, curieux de ce nouveau mĂ©dia qui semblait avoir largement dĂ©passĂ© la presse traditionnelles, ou Ă  apprĂ©cier de regarder un bon film qu’il soit bon ou mauvais, en rĂ©alité  il en a trop peu vu pour se prĂ©tendre cinĂ©phile, et pour commencer, il a Ă©tĂ© fascinĂ© indistinctement par ces images mouvantes sur son Ă©cran. Qu’ils y soient rĂ©fractaires ou non, cependant, il est Ă©vident qu’ils ne peuvent chercher Ă  comprendre ce monde et sa politique sans essayer, ne serait-ce qu’un peu, de s’intĂ©resser Ă  ces mĂ©diums qu’ils ne maĂźtrisent pas le moins du en revenir Ă  toutes les hypothĂšses qu’ils ont formulĂ©es jusqu’ici, Alexander non plus ne saurait rĂ©ellement dire laquelle aurait sa prĂ©fĂ©rence, il serait bien incapable de dire laquelle saurait avoir sa prĂ©fĂ©rence, car elles lui paraissent, tout autant qu’elles sont, absolument terribles et dĂ©plorables, et il n’a envie d’accorder de crĂ©dit Ă  aucune d’entre elles. Il aimerait ĂȘtre trĂšs loin de la rĂ©alitĂ©, il aimerait mĂȘme, parfois, rĂ©aliser qu’il est seulement mort, vraiment assassinĂ© au cours de ce duel contre Burr. Tout ce qui fait partie de son quotidien, ne seraient que les vues d’un esprit parti sur un autre plan de la rĂ©alitĂ©, et rien n’existerait vraiment autour de lui. Rien ni personne. Au fond
 qu’est-ce qui lui garantit que son interlocutrice elle-mĂȘme existe vĂ©ritablement ? Non, cette pensĂ©e lui est trop difficile Ă  intĂ©grer, il prĂ©fĂšre largement la balayer d’un revers de la main. Il prĂ©fĂšre ne pas rebondir sur les propos d’Elizabeth quand elle constate ce qu’il y a de dĂ©routant autant que de dĂ©plaisant Ă  l’idĂ©e que leurs actions et leurs dĂ©cisions ne leur appartiennent pas vraiment
 Lui-mĂȘme est Ă©galement bien trop attachĂ© Ă  son libre arbitre pour rĂ©ellement supporter cette pensĂ©e. Quand on y pense, et c’est pour ça qu’y penser, entre autres, Ă©tait si terrible, cette conversation elle-mĂȘme n’avait pas le moindre sens si c’était d’autres qui leur dictaient naturellement de se faire des nƓuds au cerveau sans pour autant jamais vouloir leur apporter une rĂ©ponse satisfaisante. Quel goĂ»t de la torture devait-on avoir dĂ©veloppĂ© pour en arriver Ă  un tel stade ?Il affiche un humble sourire humble mais tout de mĂȘme convaincu, car Alexander Hamilton a clairement une haute estime de lui-mĂȘme, qu’il ne cherche pas vraiment Ă  nier au demeurant – c’est important d’avoir conscience de ce que l’on vaut quand Elizabeth observe qu’il est sans doute un bien meilleur candidat quand la grande majoritĂ© de ce qui souhaiteraient briguer ce poste. Il veut le croire, ou en tout cas, s’il n’est pas le meilleur, qu’il est du moins lĂ©gitime Ă  ce poste. Il a les conviction, il a la volontĂ©, il a l’expĂ©rience, et dans un monde qui a l’air de se dĂ©sintĂ©resser, quelque part, de lui-mĂȘme, dont il a le sentiment que certains ont tout simplement oubliĂ© de s’interroger pour simplement vivre leurs vies comme si de rien n’était, il estime que son rĂŽle va de soi. Il ne peut cependant qu’ĂȘtre d’accord avec le fait que le candidat idĂ©al n’existe pas, il est certain en revanche que tous ne se valent pas. Un Jefferson, pis encore un John Adams n’est rien en comparaison d’un George Washington. La politique devrait toujours ĂȘtre affaire d’idĂ©aux et non d’ego, malheureusement, c’est une chose que l’on oublie bien trop souvent. » Et s’il est douĂ© pour respecter de belles maximes, Alexander n’est pas blanc comme neige non plus. Lui-mĂȘme ne manque pas d’avoir un ego sans doute trop dime nsionnĂ© pour son propre bien. Cependant, et malgrĂ© son intention de marquer l’histoire, il a toujours fait passer les intĂ©rĂȘts de sa nation avant les siens – rien n’expliquerait autrement le pamphlet Reynolds, qui avait Ă©tĂ© un clou qu’il avait plantĂ© de son propre chef dans son cercueil politique – pas de quoi en ĂȘtre fier, vraiment. Et il est certain que parvenir Ă  concilier tant d’histoires, de cultures, d’habitudes, n’est pas une mince affaire
 mais en laissant entendre la voix de chacun, on aboutirait dĂ©jĂ  Ă  un systĂšme plus juste et plus cohĂ©rent pour chacun. J’ai foi dans la dĂ©mocratie, et je saurais me satisfaire de n’en ĂȘtre que le porte-Ă©tendard si je pouvais avoir l’assurance qu’elle soit instaurĂ©e et respectĂ©e ici. »Alexander est presque déçu quand Elizabeth, une fois de plus, semble se fermer lĂ©gĂšrement au moment pour lui de suggĂ©rer qu’elle avait plus de connaissance en politique qu’on ne le soupçonnerait de prime abord. Ce n’est peut-ĂȘtre qu’une impression, mais le pĂšre fondateur la qualifierait davantage de conviction. Il est assez certain de lui et de ce qu’il pense, en l’occurrence. Il ne cherche cependant pas Ă  remettre sa parole en question quand elle affirme qu’elle n’y connaĂźt rien et qu’il se fait des idĂ©es. Il a le sentiment d’avoir appris plus d’elle qu’il ne l’aurait jamais cru possible en quelques minutes seulement de conversation, il saura se montrer patient, et il accepte de grapiller les parts d’elle qu’elle lui laisse surprendre au vol, quand bien mĂȘme elles sont bien souvent fugaces, cela ne la rendrait presque que plus fascinante, quelque part. Un mystĂšre qui ne se dĂ©voile jamais complĂštement, et qui vous donne d’autant plus envie de creuser davantage. Peut-ĂȘtre », rĂ©pond-il en faisant seulement mine d’ĂȘtre convaincu quand elle remarque qu’il semble si passionnĂ© que c’est inspirant pour ceux qui l’entourent. Tout le monde n’est pas d’avis. Beaucoup se lassent de l’entendre dĂ©blatĂ©rer au sujet de la politique et ne demandent qu’à l’entendre se taire, mais Alexander ne se tait jamais, il en serait bien incapable. Cependant, c’est vrai qu’il est passionnĂ©, au point de toujours trop en faire quand on en vient Ă  ce qui est son sujet de prĂ©dilection le plus absolu. J’ai quelques pistes, en effet », reprend Alexander, qui reconnaĂźt que son interlocutrice est tout Ă  fait douĂ©e pour ce qui est de savoir confortablement dĂ©tourner la conversation. Quand on l’interroge sur un Ă©ventuel programme politique, bien sĂ»r qu’il ne peut que vouloir dĂ©velopper le sujet. Pour commencer, la prioritĂ© sera d’imposer un cadre politique efficace et transparent, oĂč tout citoyen pourra se reconnaĂźtre instaurer un droit de vote, ne plus centraliser toutes les responsabilitĂ©s, mais les distribuer entre diffĂ©rents reprĂ©sentants politiques. Ce que je veux, c’est une politique de la transparence. Donner Ă  chacun l’opportunitĂ© de parler, mais surtout celle de s’exprimer. Je dĂ©ploierai aussi les moyens nĂ©cessaires afin d’obtenir des rĂ©ponses plus efficaces aux si nombreuses questions que nous nous posons. » Il marque une pause. Dans de telles circonstances, c’est presque Ă  un travail de dissection qu’il nous faudra procĂ©der, tout dĂ©manteler pour tout reconstruire. Les fondations ne sont pour le moment pas assez solide pour qu’aucun gouvernement digne de ce nom ne puisse convenablement se dĂ©ployer. » Code by LaxyHistory has its eyes on youKoalaVolantSpoiler Elizabeth Tudor âŠč Ton univers Reign.âŠč Date de naissance 07/09/1988âŠč Age 33âŠč MĂ©tier psychologue, plutĂŽt mauvaise d'ailleurs.âŠč Quartier Baker Street Avenue.âŠč CĂŽtĂ© cƓur cĂ©libataire, veuve officieusement.âŠč Dons/capacitĂ©s/pouvoirs Aucun pouvoir.âŠč Pseudo halay.âŠč Avatar Rachel SkarstenâŠč Copyright ? avatar ; semper eadem gifâŠč DisponibilitĂ©s rp disponible. Clarice âŠč Camille NoĂ«l âŠč Edmund âŠč Lara âŠč Mary intrigue âŠč Alexander âŠč ...âŠč Autres comptes Sophie de RĂ©an, Amy Pond, Clarke Griffin, Anna d'Arendelle, Jodie Holmes, Hermione Weasley, Jasmine d'Agrabah & Ambrose Spellman.âŠč Messages 689âŠč Points 1846âŠč Date d'inscription 11/03/2019âŠč Notes Sujet Re TerminĂ© Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre âŠč Alexander. Mer 30 Mar - 217 Plus qu'apporter des rĂ©ponses, leur conversation faisait naĂźtre davantage de questions et de doutes. Les hypothĂšses formulĂ©es Ă©taient terrifiantes. L'idĂ©e qu'ils puissent n'ĂȘtre que des pantins Ă  la merci d'entitĂ©s inconnues Ă©tait effrayante. Si leurs dĂ©cisions n'Ă©taient pas rĂ©ellement les leurs ? Si leurs mots ne leur appartenaient pas ? Etaient-ils seulement maĂźtres de leur conscience ? Pouvaient-ils penser librement ? Ceux qui les contrĂŽlaient, pouvaient-ils s'amuser Ă  leur donner cette vĂ©ritĂ© parce qu'ils savaient qu'ils ne pouvaient rien en faire ? Leur avaient-ils donnĂ© une conscience pour les torturer ? Elizabeth se battait depuis trois ans pour cacher qui elle Ă©tait, pour se protĂ©ger de sa cousine... Et si, du jour au lendemain, ceux qui dirigeaient cet endroit dĂ©cidaient qu'il Ă©tait temps qu'elle paie ses erreurs ? Si, malgrĂ© tous les efforts qu'elle croyait faire, ils pouvaient la briser en offrant Ă  Mary la possibilitĂ© de la dĂ©truire ? S'ils n'Ă©taient lĂ  que pour subir et offrir un spectacle Ă  une sorte d'ĂȘtres supĂ©rieurs ? Cette pensĂ©e fit frissonner Elizabeth qui se trouvait rassurĂ©e de voir qu'Alexander ne prĂ©fĂ©rait pas continuer cette conversation, lui non plus. S'ils n'Ă©taient pas maĂźtres d'eux-mĂȘmes, ils ne pourraient rien faire, alors il Ă©tait sans doute prĂ©fĂ©rable de ne plus y penser - s'ils Ă©taient capables de le dĂ©cider, tout du moins, et s'il ne s'agissait pas de quelqu'un les Ă  la politique de cet endroit, Elizabeth affirma qu'il Ă©tait sans aucun doute un bien meilleur candidat que beaucoup d'autres. Elle ne le connaissait pas tellement - enfin si, les sĂ©ances lui avaient permis d'apprendre Ă  le connaĂźtre un minimum - mais elle voyait ses convictions et son envie de faire de cet endroit un endroit oĂč chacun aurait vĂ©ritablement sa place. Le candidat parfait n'existait pas. Chacun avait ses qualitĂ©s et ses dĂ©fauts. Il fallait alors choisir le meilleur candidat, celui capable de reconnaĂźtre ses dĂ©fauts, celui capable d'Ă©couter ses conseillers, celui capable de voir ses erreurs pour les corriger. Beaucoup de potentiels candidats n'aurait qu'une idĂ©e en tĂȘte prendre le pouvoir et le contrĂŽle absolu sur la ville. Tout diriger, tout contrĂŽler, tout commander. Rien d'autre. Ces candidats ne se prĂ©occuperaient ni du bien-ĂȘtre des habitants, ni de rĂ©pondre aux questions que certains se posaient sur cet endroit. Certains se serviraient de ce pouvoir et de cette place pour contraindre les habitants Ă  faire ce qu'ils voulaient. Elizabeth avait elle-mĂȘme possĂ©dĂ© un grand pouvoir, un grand pouvoir qui l'avait poussĂ©e Ă  prendre des dĂ©cisions qu'elle regrettait aujourd'hui, un grand pouvoir qui ne permettait pas Ă  chacun d'exprimer son opinion. Si Alexander connaissait rĂ©ellement Elizabeth, il la dĂ©testerait sans le moindre doute. A ses yeux, elle reprĂ©senterait tout ce qu'il dĂ©testait. Alexander souhaitait de belles choses pour cet endroit, mais Elizabeth craignait que tout ne reste qu'un rĂȘve. Ils venaient d'Ă©poques diffĂ©rentes, de mondes diffĂ©rents, leurs moeurs Ă©taient diffĂ©rentes, leurs systĂšmes aussi, leurs visions du bien et du mal... Chaque personne ici avait ses propres habitudes, ses propres principes, ses propres façons de voir les choses, ses propres valeurs. Juste en sĂ©ance, Elizabeth voyait toutes ces diffĂ©rences. Des diffĂ©rences difficiles Ă  concilier, selon elle. C'est un bien bel objectif... » Souffla la jeune femme, reprenant aussitĂŽt Si chacun Ă©tait prĂȘt Ă  donner son avis sans vouloir l'imposer, peut-ĂȘtre que ça pourrait fonctionner. NĂ©anmoins, beaucoup tenteront d'imposer cet avis, au dĂ©triment de celui de l'autre. Mais vous avez sans doute raison... Ce serait toujours plus juste que le systĂšme actuel. Chacun aurait la parole, Ă  ceux qui dirigent d'empĂȘcher, ensuite, les dĂ©bordements. » Conclut-elle dans un haussement d'Ă©paules. Il avait raison, ce systĂšme serait sans doute toujours mieux que l'actuel. Il suffisait simplement de trouver le bon dosage entre Ă©couter chaque voix et prendre les meilleures dĂ©cisions, mĂȘme si elles contrariaient ces voix. Il Ă©tait impossible de satisfaire tout le monde, alors certains devraient accepter des dĂ©cisions contraires Ă  leurs idĂ©es. Si Elizabeth Ă©tait davantage habituĂ©e Ă  un systĂšme monarchique, elle comprenait les avantages que prĂ©sentait un systĂšme dĂ©mocratique tel qu'Alexander lui prĂ©sentait. Elizabeth s'Ă©tait, sans aucun doute, laissĂ© trop aller. PassionnĂ©e par sa discussion, elle s'Ă©tait trop dĂ©voilĂ©e. Son goĂ»t pour la politique Ă©tait Ă©vident. L'ancienne reine se mettait bĂȘtement en danger. Il lui fallait retrouver sa mĂ©fiance habituelle. Elle ne devait plus rien laisser paraĂźtre. A peine avait-il posĂ© sa question, qu'Elizabeth s'Ă©tait tendue et avait perdu tout sourire. Elle se maudissait d'ĂȘtre si faible. Elle se maudissait de prendre plaisir Ă  discuter. Alors, elle niait. Elle niait avec conviction, mais morte de peur. Elle mentait, comme toujours, assurant qu'elle ne connaissait rien Ă  la politique. Rien de plus que ce qu'elle avait appris dans les livres. Rien de plus que ce qu'il lui inspirait en parlant avec tant de passion. Alexander avait une certaine estime de lui-mĂȘme, alors elle supposait que le complimenter de la sorte suffirait Ă  le ne pas prendre davantage de risque, la psy devait changer de conversation. Pour cela, rien de mieux qu'inciter Alexander Ă  parler de lui et de ce qu'il imaginait pour cet endroit, dĂ©veloppant ainsi le sujet qu'ils avaient commencĂ© juste avant les interrogations de l'homme. A chacune de ses idĂ©es, Elizabeth se contentait de hocher la tĂȘte ou de hausser les Ă©paules. Une nouvelle fois, la jeune femme se prenait au jeu et se trouvait particuliĂšrement intĂ©ressĂ©e par ce qu'il imaginait pour cet endroit. A vous entendre parler, on pourrait croire que vous y rĂ©flĂ©chissez depuis le premier jour. » S'amusa-t-elle, devant des idĂ©es si dĂ©taillĂ©es et un systĂšme si prĂ©cis. Alors nous dĂ©truirons tout, pour tout reconstruire. » Souffla la jeune femme, pleine de conviction et de motivation. Elle s'Ă©tait jurĂ©e de ne plus s'intĂ©resser Ă  la politique. Elle s'Ă©tait jurĂ©e de ne pas se mĂȘler Ă  cette ville et ses histoires, mais face Ă  tant de volontĂ© et d'implication, il Ă©tait difficile de rĂ©sister Ă  cette envie d'agir qui naissait en elle. Dans ce genre de systĂšme, oĂč plusieurs possĂšdent une certaine forme de pouvoir, n'y-a-t-il aucun risque de voir l'un d'eux dĂ©truire tous les efforts des autres ? Aucun risque de voir l'un d'eux essayer de prendre le dessus sur tous les autres ? Avec un tel systĂšme, il faut avoir une confiance absolue en chacun des dĂ©tenteurs du pouvoir, une faille et tout peut s'effondrer, non ? » Elizabeth s'interrogeait sĂ©rieusement, ne se rendant pas compte que ses questions poussaient Ă  croire qu'elle n'Ă©tait pas familiĂšre de ce type de systĂšme. Elle n'y pensait pas parce qu'elle se concentrait davantage sur ce qu'il disait et sur les questions que ces idĂ©es faisaient naĂźtre en elle. Alexander Hamilton âŠč Ton univers Hamilton An American MusicalâŠč Date de naissance 11/01/1980âŠč Age 42âŠč MĂ©tier Ecrivain, chercheur en sciences politiques, polĂ©miste, travaille pour un maire qu'il n'a jamais vu...âŠč Quartier Raccoon SquareâŠč CĂŽtĂ© cƓur I don't pretend to know the challenges we're facing. But I'm not afraid. Just let me stay here by your side. That would be enough.âŠč Dons/capacitĂ©s/pouvoirs Aucun pouvoir.âŠč Pseudo LiouneâŠč Avatar Lin-Manuel MirandaâŠč Copyright Sweetie & Tumblr & KoalaVolantâŠč DisponibilitĂ©s rp Toujours disponible.âŠč Autres comptes Team Willou.âŠč Messages 563âŠč Points 166âŠč Date d'inscription 27/07/2021âŠč Notes RPS En cours Sabrina Jaime Lyra Mary Elizabeth [2] Eloise RPS TerminĂ©s Phillip Jo Orpheus Marisa Walburga David Elizabeth Elizabeth & Alexander Elizabeth Elizabeth [2] Don't be shocked when your history book mentions me I will lay down my life if it sets us free Eventually you'll see my ascendancySujet Re TerminĂ© Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre âŠč Alexander. Jeu 31 Mar - 1903 Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre feat. ElizabethLe souci de toute politique dĂ©mocratique est qu’il faut espĂ©rer aprĂšs l’opinion commune, et que quand on laisse un droit d’expression Ă  un individu, il peut ĂȘtre tentĂ© d’en abuser. Alexander le comprend trĂšs bien car il est loin de faire exception Ă  la rĂšgle. La preuve, pour peu qu’on lui donne droit Ă  la parole, il aura presque malgrĂ© lui tendance Ă  la monopoliser, comme s’il n’était tout bonnement pas capable de s’en empĂȘcher. Et c’est un peu le cas. Alexander Hamilton trouve son mot Ă  dire sur absolument tout sans exception. Il trouvera toujours Ă  donner son opinion sur absolument tout et n’importe quoi, mais avec force conviction et la dĂ©termination qu’elle serve le bien commun. Seulement, quand on ne peut pas satisfaire tout le monde, il faut se rĂ©signer Ă  satisfaire une majoritĂ©, qui parfois se rĂ©vĂšle par trop silencieuse. Donner son avis sans l’imposer est un tour de force, presque une impossibilitĂ© rhĂ©torique, mais certains systĂšmes dĂ©mocratiques qui commençaient alors seulement Ă  pointer le bout de leur nez, Ă  l’exemple de la France, en pleine rĂ©volution Ă  l’époque oĂč Alexander dĂ©fendait les intĂ©rĂȘts de sa propre patrie mais il sait ce que son ami Lafayette a accompli lĂ -bas, qui avait posĂ© les bases d’un systĂšme qui, pour la premiĂšre fois semblait dĂ©fendre les intĂ©rĂȘts du peuple plutĂŽt que les seuls intĂ©rĂȘts des plus nantis en leur octroyant plus de privilĂšges qu’ils n’en avaient dĂ©jĂ , comme s’ils avaient vraiment besoin d’en gagner davantage. Faute d’un systĂšme idĂ©al, c’est je crois celui qui s’en rapprocherait le plus », confirme Alexander quand Elizabeth lui fait part de ses quelques rĂ©ticences tout en admettant malgrĂ© tout que ce serait dĂ©jĂ  plus juste que le systĂšme oĂč ils se trouvent actuellement. Nous ne pourrons faire l’impasse sur les manigances et la corruption de certains, mais nous pourrons peut-ĂȘtre nous assurer que ces injustices soit plus facilement balayĂ©es et punies. »A cela servait cet effort de transparence qui devait aux yeux d’Alexander ĂȘtre la clĂ© de voute de leur nouvelle politique, quelque chose qui changerait nettement de ce qui Ă©tait pour l’instant. Une politique si opaque qu’au final on ne saurait mĂȘme dire quel rĂ©gime prĂ©sumĂ© elle Ă©tait supposĂ©e servir pour commencer. Depuis le premier jour peut-ĂȘtre pas », fait Alexander avec un fin sourire amusĂ© quand Elizabeh observe, Ă  juste titre, qu’il semble avoir rĂ©flĂ©chi Ă  cette situation dĂšs les premiers instants. C’est loin d’ĂȘtre totalement faux, en effet, et difficilement discutable, c’est premier jour certes non, parce qu’il voulait dĂ©jĂ  comprendre ce qui lui Ă©tait arrivĂ© et oĂč il Ă©tait. Revenu d’entre les morts, il avait Ă©tĂ© convaincu qu’il Ă©tait dans une sorte d’au-delĂ  avant de comprendre que les histoires de ses pairs ne cautionnaient pas cette hypothĂšse. En comprenant qu’il pourrait retrouver son Ă©pouse et ses enfants, et peut-ĂȘtre aussi ses amis, de mĂȘme qu’Angelica, il avait aussi cherchĂ©, dĂ©sespĂ©rĂ©ment, Ă  les retrouver. Il n’a toujours pas renoncĂ©, mais ses intĂ©rĂȘts se sont rapidement portĂ©s sur ce qu’il maĂźtrise le mieux, et que maĂźtrise-t-il mieux que la politique ? Rien, certainement. Pour donner du sens Ă  cet endroit, comprendre sa structure d’un point de vue politique faisait sens Ă  ses yeux, alors il s’est obstinĂ©, autant que possible. Et depuis, oui, il avait largement eu le temps de rĂ©flĂ©chir, Ă  plus forte raison que son cerveau, qui carburait Ă  cent Ă  l’heure, ne s’arrĂȘtait jamais complĂštement toujours de nouvelles ambitions, toujours de nouvelles idĂ©es. Burr lui demandait souvent pourquoi il agissait comme si le temps lui Ă©tait comptĂ© c’était bien simple. Une seule vie ne saurait suffire Ă  accomplir tout ce que notre Ă©ternel insatisfait voudrait rĂ©ussir. Et il espĂšre que cette seconde vie l’y aidera dĂ©truire pour tout reconstruire, dit ainsi, la perspective est grisante, mais presque angoissante, aussi, cependant, Alexander sent ses propres convictions ĂȘtre renforcĂ©es par la dĂ©termination qu’il dĂ©couvre chez son interlocutrice. Il y a de la conviction dans ses paroles. Ils entretiennent leurs flammes respectives, et Ă  la voir ainsi, Alexander songe qu’il devrait toujours l’avoir avec lui quand lui vient le besoin d’imposer ses idĂ©es avec plus de verve. Il a rarement eu conversation plus stimulante que celle-ci. En effet, il y a toujours un risque de guerre de pouvoirs, c’est pourquoi on aura toujours tendance Ă  mettre quelqu’un Ă  la tĂȘte d’une nation, peu importe qu’il soit roi ou prĂ©sident. La diffĂ©rence est que le roi possĂšde tous les droits, le prĂ©sident doit en rĂ©fĂ©rer Ă  autrui
 et aussi et surtout, il est choisi par le peuple. Ce n’est pas une situation idĂ©ale, encore moins dans un contexte comme le nĂŽtre oĂč il faut sans doute s’attendre Ă  ce que certains cherchent Ă  imposer leur opinion par la force, mais d’autres nations avant celle-ci sont parvenues Ă  approcher au plus prĂšs de l’idĂ©al dĂ©mocratique, alors pourquoi pas nous ? » Il marque une pause. Vous ĂȘtes une excellente psy, Elizabeth, mais vous devriez dĂ©finitivement vous reconvertir dans la politique
 rares sont les occasions pour moi d’avoir des conversations si passionnantes. »Code by LaxyHistory has its eyes on youKoalaVolantSpoiler Elizabeth Tudor âŠč Ton univers Reign.âŠč Date de naissance 07/09/1988âŠč Age 33âŠč MĂ©tier psychologue, plutĂŽt mauvaise d'ailleurs.âŠč Quartier Baker Street Avenue.âŠč CĂŽtĂ© cƓur cĂ©libataire, veuve officieusement.âŠč Dons/capacitĂ©s/pouvoirs Aucun pouvoir.âŠč Pseudo halay.âŠč Avatar Rachel SkarstenâŠč Copyright ? avatar ; semper eadem gifâŠč DisponibilitĂ©s rp disponible. Clarice âŠč Camille NoĂ«l âŠč Edmund âŠč Lara âŠč Mary intrigue âŠč Alexander âŠč ...âŠč Autres comptes Sophie de RĂ©an, Amy Pond, Clarke Griffin, Anna d'Arendelle, Jodie Holmes, Hermione Weasley, Jasmine d'Agrabah & Ambrose Spellman.âŠč Messages 689âŠč Points 1846âŠč Date d'inscription 11/03/2019âŠč Notes Sujet Re TerminĂ© Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre âŠč Alexander. Dim 3 Avr - 355 La dĂ©mocratie. C'Ă©tait un concept relativement nouveau pour Elizabeth, dans le sens oĂč elle ne l'avait jamais connue qu'Ă  travers les livres, autrefois avec les grandes dĂ©mocraties comme celle qui existait Ă  AthĂšnes, aujourd'hui grĂące aux livres qui retraçaient les dĂ©mocraties installĂ©es un peu partout dans le monde. C'Ă©tait un systĂšme intĂ©ressant, mĂȘme pour celle qui avait l'habitude de possĂ©der - en principe - tous les pouvoirs. Un systĂšme oĂč chacun avait son mot Ă  dire. Un systĂšme oĂč une seule personne ne portait pas le poids de tout un royaume sur le dos. Un systĂšme oĂč tout le poids de la succession ne reposait pas sur une reine qui n'Ă©tait bonne qu'Ă  mettre au monde un hĂ©ritier. Mais Elizabeth y voyait Ă©galement un bon nombre de dĂ©fauts se pouvait-il que les gens acceptent l'avis des autres sans imposer le leur ? Cette dĂ©mocratie serait-elle suffisamment forte pour supporter les tentatives de coup d'Ă©tat d'Ă©ventuels dictateurs ? Il s'agissait nĂ©anmoins du systĂšme le plus juste dans leur situation actuelle, en quelques mots Alexander avait rĂ©ussi Ă  l'en convaincre. Le systĂšme actuel Ă©tait pire qu'une monarchie, aux yeux de l'ancienne reine, puisqu'il n'avait mĂȘme pas de visage. Personne n'avait son mot Ă  dire et personne ne pouvait rien faire. La ville ne pouvait pas fonctionner - et surtout, les habitants ne pouvaient pas accepter ça - ainsi indĂ©finiment. Je suppose qu'aucun systĂšme n'est parfait. Le plus important est d'avoir un systĂšme fort, oĂč la majoritĂ© des habitants se reconnaĂźtra, luttant ainsi contre toutes les dĂ©rives possibles aux cĂŽtĂ©s du gouvernement. » Affirma-t-elle dans un haussement d'Ă©paules, s'Ă©tonnant elle-mĂȘme d'envisager un systĂšme politique si diffĂ©rent de ce qu'elle avait toujours connu et Ă©tait. Alexander semblait avoir rĂ©flĂ©chi Ă  tout - ou presque. Il avait une rĂ©ponse ou une idĂ©e Ă  chaque question qu'Elizabeth posait. La psy ne put alors s'empĂȘcher de lui en faire la rĂ©flexion. Il paraissait s'intĂ©resser Ă  cette ville, ses mystĂšres et sa politique depuis le premier jour. S'il affirmait qu'il n'y rĂ©flĂ©chissait pas depuis le premier jour, amusĂ©, Elizabeth Ă©tait persuadĂ©e que son cerveau s'Ă©tait mis en marche dĂšs les premiers instants. Il Ă©tait Ă©vident que ses mots n'Ă©taient pas de simples paroles en l'air. Tout Ă©tait travaillĂ©, rĂ©flĂ©chi et raisonnĂ©. DerriĂšre toutes ces informations se cachaient un vĂ©ritable travail, Elizabeth le sentait. Un systĂšme si bien dĂ©fini qu'il fallait, selon lui, tout reconstruire. EmportĂ©e par l'idĂ©e, Elizabeth confirma qu'ils dĂ©truiraient tout pour tout reconstruire s'il le fallait. Elle avait envie de l'aider, de lui donner raison, d'ĂȘtre un soutien pour lui alors mĂȘme qu'elle s'Ă©tait jurĂ©e de ne plus jamais avoir de liens avec la politique. Dans l'ombre, peut-ĂȘtre pouvait-elle se le permettre ? DĂ©sormais, aprĂšs avoir partagĂ© avec tant de passions ses idĂ©es, la jeune femme ne se voyait plus renoncer Ă  ce qui n'avait peut-ĂȘtre Ă©tĂ© que des idĂ©es jetĂ©es dans le vent pour discuter, mais qui Ă©tait comme une renaissance pour elle. L'homme Ă©veillait en Elizabeth des questions qu'elle ne s'Ă©tait jamais posĂ©e. Elle dĂ©couvrait de nouvelles possibilitĂ©s pour cette ville et elle oubliait sa crainte de voir sa vie se terminer Ă  tout instant. Elle oubliait ses peurs, emportĂ©e par leur conversation et leurs idĂ©es. C'Ă©tait si rare qu'elle se sente ainsi, bien et soulagĂ©e de sa peur. A vrai dire, seuls les quelques mots d'Alexander l'avaient rappelĂ©e Ă  la rĂ©alitĂ© elle n'Ă©tait pas libre d'ĂȘtre elle-mĂȘme. Jamais. Elle devait toujours se mĂ©fier, mentir et ne rien rĂ©vĂ©ler. Elle s'Ă©tait mise suffisamment en danger et pourtant, avait-elle rĂ©ellement envie de reculer ? Ne pas rĂ©pondre Ă  ses questions trop personnelles, n'Ă©tait-ce pas suffisant pour s'Ă©viter un danger ? Avait-elle rĂ©ellement envie d'Ă©viter le danger, cette fois-ci ?Elle avait dĂ©jĂ  oubliĂ© de faire attention, posant de nouvelles questions sur les limites que rencontrait un tel gouvernement. Lorsqu'une seule personne gouvernait, les dĂ©saccords n'existaient pas et personne n'essayait de dĂ©passer personne. Lorsque plusieurs dirigeants co-existĂ©s, n'y avait-il aucun risque de lutte de pouvoirs ? De dirigeant qui travaillait Ă  nuire Ă  l'autre. Les rĂ©ponses d'Alexander la laissĂšrent songeuse un instant, alors qu'elle n'avait que hochĂ© la tĂȘte pour toute rĂ©ponse. Sa comparaison entre un prĂ©sident et un roi la poussa Ă  rĂ©flĂ©chir davantage Ă  quel type de reine elle avait Ă©tĂ© pour son peuple et Ă  quel type de prĂ©sident elle aimerait avoir dans cette ville. Elle avait dirigĂ©, aujourd'hui, elle Ă©tait dirigĂ©e. NĂ©anmoins, Elizabeth n'avait possĂ©dĂ© tous les pouvoirs qu'en apparence. Combien de fois avait-elle Ă©tĂ© limitĂ©e, entravĂ©e par son Conseil ? L'idĂ©e que les rois possĂ©daient tout et contrĂŽlaient tout n'Ă©taient pas tout Ă  fait vrai. Bien sĂ»r, certains rois - suffisamment protĂ©gĂ©s et entourĂ©s, puissants aussi - pouvaient se le permettre. Elizabeth avait cumulĂ© bien trop de dĂ©fauts aux yeux des siens pour se permettre trop de dĂ©bordements une femme au pouvoir, une bĂątarde, une reine qui refusait de se marier pour donner un hĂ©ritier... Ses choix et sa naissance avaient fait d'elle une reine qui n'Ă©tait pas libre de diriger comme elle l'entendait. Tous la prenaient dĂ©jĂ  pour un ĂȘtre faible simplement Ă  cause de son sexe. Alors, elle avait Ă©tĂ© obligĂ©e de faire des choix qu'elle regrettait pour se montrer forte et impitoyable. Songeuse, elle s'apprĂȘtait enfin Ă  sortir de ses pensĂ©es pour rĂ©pondre, mais elle n'en eut pas le temps puisqu'Alexander avait repris aussitĂŽt aprĂšs une courte affirmait dĂ©sormais qu'Elizabeth devrait se reconvertir en politique. Sa remarque sur le fait qu'elle se trouvait ĂȘtre une excellente psy lui arracha un sourire - parce qu'elle n'y croyait pas le moins du monde. En revanche, son sourire fut davantage sincĂšre et reconnaissant lorsqu'il lui assura ne pas avoir beaucoup d'occasions de tenir de conversations si passionnantes. Rares Ă©taient les fois oĂč on l'Ă©coutait avec tant de sĂ©rieux, aurait-elle aimĂ© lui rĂ©pondre, mais elle n'Ă©tait pas censĂ©e y connaĂźtre grand chose en politique, alors elle se tut. Je ne sais quoi rĂ©pondre. Je n'ai pas beaucoup d'occasions, moi non plus, d'avoir de telles conversations. Je ne regrette pas de vous avoir invitĂ© ce soir. » Lança-t-elle alors, sincĂšre. Si elle avait apprĂ©hendĂ© et regrettĂ© cette invitation, dĂ©sormais, elle se trouvait ravie de l'avoir invitĂ© et de ne pas avoir ratĂ© une telle occasion. Mais, croyez-moi, parler politique et faire de la politique sont deux choses bien diffĂ©rentes. Je parle mieux que je n'agirais. » Et elle savait de quoi elle parlait. De belles idĂ©es, elle en avait toujours eu. IdĂ©es qu'elle avait souvent abandonnĂ©es au dĂ©triment de ce qu'elle croyait devoir ce dans quoi elle s'embarquait peut-ĂȘtre, elle souffla un bon coup pour se donner du courage et chercher ses mots. Elle devait lui demander quelque chose. J'ai un service Ă  vous demander... Et j'ai besoin que vous me promettiez une chose Ă©galement. » Demanda la rousse, gĂȘnĂ©e, ne sachant comment tourner cette demande sans qu'elle ne paraisse suspecte. Si nos projets venaient Ă  se concrĂ©tiser, si nous ne faisions mĂȘme que partir Ă  la recherche d'alliĂ©s pour rĂ©pondre aux mystĂšres de cette ville... » Elizabeth fuyait son regard, posant le sien sur son verre de vin dĂ©sespĂ©rĂ©ment vide Ă  cet instant, tout en reprenant J'ai besoin que vous taisiez mon nom. Ne parlez jamais de moi, ne m'Ă©voquez jamais comme une potentielle alliĂ©e. » Elle osait relever les yeux, sans pour autant affronter son regard, de craintes d'y lire des questions et de l'Ă©tonnement face Ă  cette demande. Et promettez-moi de ne pas me poser de questions sur le pourquoi je vous demande ça. » Elizabeth ne pouvait pas se risquer Ă  ĂȘtre dĂ©couverte par Mary. Si cette derniĂšre avait vent de cette information, si elle apprenait qu'Elizabeth s'intĂ©ressait Ă  la politique de la ville, elle se mettrait en tĂȘte que l'ancienne reine tentait de rĂ©cupĂ©rer une couronne et un trĂŽne. C'Ă©tait aussi prendre le risque que cette derniĂšre ne comprenne l'attrait d'Elizabeth pour la politique, preuve supplĂ©mentaire de sa vĂ©ritable identitĂ© pour quiconque la connaissait. Sans la connaĂźtre, Alexander avait bien soupçonnĂ© quelque chose, alors elle devait se montrer particuliĂšrement prudente. Alexander Hamilton âŠč Ton univers Hamilton An American MusicalâŠč Date de naissance 11/01/1980âŠč Age 42âŠč MĂ©tier Ecrivain, chercheur en sciences politiques, polĂ©miste, travaille pour un maire qu'il n'a jamais vu...âŠč Quartier Raccoon SquareâŠč CĂŽtĂ© cƓur I don't pretend to know the challenges we're facing. But I'm not afraid. Just let me stay here by your side. That would be enough.âŠč Dons/capacitĂ©s/pouvoirs Aucun pouvoir.âŠč Pseudo LiouneâŠč Avatar Lin-Manuel MirandaâŠč Copyright Sweetie & Tumblr & KoalaVolantâŠč DisponibilitĂ©s rp Toujours disponible.âŠč Autres comptes Team Willou.âŠč Messages 563âŠč Points 166âŠč Date d'inscription 27/07/2021âŠč Notes RPS En cours Sabrina Jaime Lyra Mary Elizabeth [2] Eloise RPS TerminĂ©s Phillip Jo Orpheus Marisa Walburga David Elizabeth Elizabeth & Alexander Elizabeth Elizabeth [2] Don't be shocked when your history book mentions me I will lay down my life if it sets us free Eventually you'll see my ascendancySujet Re TerminĂ© Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre âŠč Alexander. Lun 4 Avr - 2012 Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre feat. ElizabethAlexander hoche la tĂȘte, ravi d’avoir su trouver les bons arguments pour ranger Elizabeth Ă  son opinion, une opinion qui, Ă  mesure que la conversation progresse, devient de plus en plus importante Ă  ses yeux. Elle ne se contente pas d’acquiescer Ă  tout ce qu’il dit ou de prĂ©tendre s’intĂ©resser en attendant qu’il passe Ă  autre chose comme d’autres ont souvent tendance Ă  le faire avec lui, elle s’intĂ©resse vraiment, elle a un avis, des rĂ©serves, et elle les exprime toujours avec une acuitĂ© qui, tout naturellement, force le respect. Qu’elle soit d’avis, tout comme lui, que le systĂšme qu’il veut s’efforcer de mettre en place soit le plus juste dans ces circonstances bien particuliĂšres, c’est une preuve de plus, Ă  ses yeux, qu’il s’engage bel et bien sur la bonne voie. Certes, ce ne sera pas simple du tout – mais aprĂšs tout, rien ne l’est jamais, en politique encore moins que dans n’importe quel autre domaine, mais avec force conviction et une volontĂ© de fer, rien n’est impossible – dixit celui qui avait de lui-mĂȘme sabordĂ© son image public en dĂ©voilant sa liaison au grand jour quand personne ne lui demandait quoi que ce soit mais il y a des choses que son interlocutrice n’a pas forcĂ©ment la nĂ©cessitĂ© de savoir.Il n’est pas si courant de voir un sourire se dĂ©poser sur les lĂšvres d’Elizabeth, et Alexander en prend tout Ă  fait conscience au moment d’en voir un s’esquisser sur les lĂšvres de son interlocutrice au moment de lui assurer qu’il n’a que rarement si ce n’est jamais l’occasion d’avoir des conversations Ă  ce point exaltantes. Ce sourire lui va bien. Si cette rĂ©flexion n’était pas profondĂ©ment dĂ©placĂ©e, il le lui ferait sans doute remarquer, Ă  la place, il se contente de ne rien dire fait assez rare, chez lui et d’écouter sa rĂ©ponse. Et c’est Ă  son tour d’afficher un sourire sincĂšre quand elle confirme qu’elle aussi a rarement d’interactions aussi passionnĂ©es – ou en tout cas pas de cette nature. A l’évidence, elle a bien fait de l’inviter ce soir, d’autant plus qu’il a vraiment le sentiment d’avoir progressĂ© dans des rĂ©flexions qui restaient latentes, mais qui avaient manquĂ© jusqu’ici de dĂ©veloppement efficace. Si cette conversation doit bien lui prouver une chose, c’est qu’il lui sera difficile de progresser de lui-mĂȘme sans que cela ne lui cause quelque difficultĂ© tĂŽt ou tard. La clĂ© de sa rĂ©ussite est aussi un environnement solide. Il doit savoir s’entourer de personnes dignes de confiance, brillantes et intelligentes comme l’est Elizabeth. Vous ne pouvez le savoir qu’en essayant », suggĂšre Alexander pour la convaincre quand Elizabeth affirme qu’elle est meilleure pour parler de politique que pour en faire. Et beaucoup de mes confrĂšres remarqueront qu’en politique, on parle bien souvent plus qu’on agit. Pour ma part, j’ai tendance Ă  faire les deux en mĂȘme temps, c’est un gain de temps considĂ©rable », fait-il en guise de boutade, mais toujours dans l’espoir de la voir mettre ses rĂ©ticences de cĂŽtĂ© afin de se joindre Ă  ses Elizabeth reprend la parole pour lui demander un service, il l’observe avec attention. Il est tentĂ© de rĂ©pondre par un Tout ce que vous voudrez » d’usage, mais il attend de savoir ce qu’elle peut bien avoir Ă  dire. De mĂȘme, il retient un QUAND nos projets se concrĂ©tiseront » quand la jeune femme emploie le conditionnel. Il tente de soutenir son regard, mais il constate bien qu’elle refuse de soutenir le sien. Il fronce les sourcils, dĂ©semparĂ©, dans l’incomprĂ©hension totale quant Ă  sa requĂȘte quand elle lui demande de ne pas ne serait-ce qu’évoquer son nom. Vous ne pouvez pas formuler une telle requĂȘte et vous attendre Ă  ce que je ne vous interroge pas Ă  ce sujet », fait-il aprĂšs qu’elle lui ait demandĂ© de ne pas poser de pour lui d’entendre de telles paroles et d’étouffer sa curiositĂ© qui, dĂ©jĂ  en temps normal, a tendance Ă  prendre le pas sur absolument tout le reste. Vous avez peur, je me trompe ? » Il laisse passer un temps de pause. Je ne veux pas vous mettre inutilement en danger, si vous me demandez de ne pas vous nommer, je n’en ferais rien, mais j’ai besoin de comprendre. »Code by LaxyHistory has its eyes on youKoalaVolantSpoiler Elizabeth Tudor âŠč Ton univers Reign.âŠč Date de naissance 07/09/1988âŠč Age 33âŠč MĂ©tier psychologue, plutĂŽt mauvaise d'ailleurs.âŠč Quartier Baker Street Avenue.âŠč CĂŽtĂ© cƓur cĂ©libataire, veuve officieusement.âŠč Dons/capacitĂ©s/pouvoirs Aucun pouvoir.âŠč Pseudo halay.âŠč Avatar Rachel SkarstenâŠč Copyright ? avatar ; semper eadem gifâŠč DisponibilitĂ©s rp disponible. Clarice âŠč Camille NoĂ«l âŠč Edmund âŠč Lara âŠč Mary intrigue âŠč Alexander âŠč ...âŠč Autres comptes Sophie de RĂ©an, Amy Pond, Clarke Griffin, Anna d'Arendelle, Jodie Holmes, Hermione Weasley, Jasmine d'Agrabah & Ambrose Spellman.âŠč Messages 689âŠč Points 1846âŠč Date d'inscription 11/03/2019âŠč Notes Sujet Re TerminĂ© Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre âŠč Alexander. Dim 17 Avr - 1503 Elizabeth avait rarement l'occasion de discuter - en dehors des sĂ©ances oĂč elle Ă©coutait ses patients plus qu'autre chose. Il Ă©tait plaisant d'avoir cette sensation de vivre presque normalement, de discuter avec passion, de passer un moment agrĂ©able avec quelqu'un. RythmĂ©e par la peur et la mĂ©fiance, la vie d'Elizabeth ne ressemblait jamais Ă  cela. Il Ă©tait la premiĂšre personne Ă  entrer dans cette maison, en trois ans. Il Ă©tait la premiĂšre personne avec qui elle se dĂ©voilait autant - elle s'Ă©tait dĂ©voilĂ©e Ă  Nicolas, mais diffĂ©remment et pas autant. Lorsqu'elle avait choisi d'inviter Alexander pour se donner l'illusion qu'elle pouvait avoir une vie normale, elle ne savait pas Ă  quel point encore, elle avait eu raison de le choisir, lui. MĂȘme s'il l'ignorait, ils Ă©taient diffĂ©rents sur bien des points. NĂ©anmoins, ces divergences d'opinions n'Ă©taient pas un obstacle Ă  leur conversation. D'abord parce qu'Elizabeth ne pouvait pas mettre en avant ses traditions royalistes, ensuite parce qu'Elizabeth se retrouvait finalement dans les dires et les propositions de l'homme - malgrĂ© des rĂ©serves et des questions qu'elle s'empressait de lui soumettre. Alors, si elle pouvait avouer une chose avec sincĂ©ritĂ©, c'Ă©tait ça cette conversation faisait partie des plus intĂ©ressantes tenues jusqu'ici, pour elle. Avis qu'il lui avait Ă©galement partagĂ©, ce qui l'avait Ă©videmment touchĂ©e. Autrefois reine, son statut de femme avait poussĂ© bon nombre d'hommes Ă  ne pas l'Ă©couter et Ă  ne pas prĂȘter attention Ă  ses questions, ses doutes ou ses avis. Il Ă©tait si agrĂ©able d'ĂȘtre Ă©coutĂ©e et conversation les mena Ă  parler d'Elizabeth et de la politique. Il l'imaginait parfaitement dans ce milieu - sans se douter qu'elle avait dĂ©jĂ  une expĂ©rience plus que significative dans ce domaine. Evidemment, la jeune femme prĂ©textait que parler et faire Ă©taient deux choses bien diffĂ©rentes et qu'elle ne croyait pas avoir sa place dans ce monde. A sa rĂ©flexion totalement justifiĂ©e, Elizabeth ne sut pas quoi rĂ©pondre. Certainement. » Souffla-t-elle alors simplement. Il fallait essayer pour savoir, il avait raison. Mais elle avait dĂ©jĂ  essayĂ©, chose qu'elle ne pouvait pas lui avouer, malheureusement. Vous ne vous arrĂȘtez jamais ? » Plaisanta Elizabeth lorsqu'il tenta lui-mĂȘme de plaisanter, expliquant qu'il agissait tout en parlant, alors que ses confrĂšres avaient tendance Ă  parler plus qu'ils n'agissaient. Elizabeth partageait cet avis. En politique, beaucoup parlaient, peu agissaient. Les belles promesses et les beaux mots avaient une place essentielle, voire centrale. Les actions et le passage Ă  l'acte semblaient souvent secondaires. Faire espĂ©rer, sans faire, n'Ă©tait-ce pas un merveilleux moyen de garder les gens sous son emprise - un temps, du moins ? Elizabeth voulait bien croire Alexander sur parole, nĂ©anmoins. Il lui semblait ĂȘtre le genre d'homme Ă  agir et Ă  ne pas se cacher derriĂšre de beaux discours, plein de sens, mais vide de rĂ©alitĂ©. Il tenait de beaux discours et tentait d'agir, contrairement Ă  beaucoup. Il Ă©tait ce genre d'hommes qu'elle aurait aimĂ© avoir comme conseiller autrefois, lorsqu'elle dirigeait un ces discussions - aussi passionnantes soient-elles - menaient Elizabeth sur un chemin dangereux. Mary avait des connaissances partout. Mary Ă©tait partout. Mary savait tout. Si le nom d'Elizabeth sortait au dĂ©tour d'une conversation, tout pouvait s'Ă©crouler. Mary s'imaginerait aussitĂŽt qu'Elizabeth cherchait Ă  obtenir une place importante dans cette ville et surtout, elle douterait de l'amnĂ©sie de sa cousine - plus encore qu'actuellement. Non. MĂȘme si cette conversation Ă©tait passionnante, mĂȘme si ce qu'Alexander proposait lui donnait terriblement envie, mĂȘme si elle trouvait une nouvelle raison de s'investir avec ce projet et de sortir de cette routine imposĂ©e depuis trois ans... Elle ne pouvait pas se le permettre. L'imaginer avait Ă©tĂ© une belle chose, mais comme elle l'avait dit elle-mĂȘme entre parler et agir, il y avait une diffĂ©rence. A son Ă©chelle, si elle le pouvait, elle aiderait Alexander, nĂ©anmoins, jamais il ne devrait parler d'elle si leurs projets venaient Ă  se concrĂ©tiser. Elle resterait dans l'ombre, agirait en secret. Pour se protĂ©ger, donc, elle devait demander Ă  Alexander de ne rien dire et devait lui faire promettre de ne pas poser de questions puisqu'elle serait bien incapable de lui rĂ©vĂ©ler les raisons d'une telle demande. Le regard fuyant, la jeune femme attendait anxieusement la rĂ©ponse de l'homme. Elle priait pour entendre qu'il Ă©tait d'accord, mais se doutait que ce ne serait pas si avait raison. Il se sentait incapable de ne pas s'interroger aprĂšs une telle demande. Évidemment. Elizabeth, elle-mĂȘme, serait curieuse face Ă  une telle demande. A ces mots, l'ancienne reine ne rĂ©pondit rien, fuyant simplement son regard. Cette fois-ci, elle ne changeait pas de sujet de conversation parce qu'elle savait que ça ne fonctionnerait pas. Alors elle attendait la suite de sa rĂ©action, sentant que ce n'Ă©tait pas terminĂ©. A sa question, elle tentait de ne pas rĂ©agir, mais il avait compris - peut-ĂȘtre Ă©tait-ce Ă©vident, d'ailleurs ? Avant qu'elle ne puisse lui rĂ©pondre, il ajouta qu'il ne dirait rien si c'Ă©tait son choix, mais qu'il lui fallait comprendre. Elizabeth hocha lentement la tĂȘte. RĂ©pondant Ă  la fois Ă  sa question et au fait qu'il ne dirait rien Ă  son sujet. Oui, j'ai peur. » Souffla-t-elle simplement. Je n'ai pas que des amis ici. » Comme tout le monde, certainement ? Puis, pour ĂȘtre exacte, Elizabeth n'avait pas rĂ©ellement d'amis, simplement une ennemie suffisamment puissante pour la couper de toute vie sociale. Quelqu'un cherche des raisons pour me nuire... » Souffla-t-elle, son regard Ă©vitant toujours le sien, ignorant pourquoi ces confessions tout Ă  coup. Si elle apprenait que je m'intĂ©resse Ă  la politique de cette ville, elle y verrait une attaque. » Termina-t-elle, ajoutant presque aussitĂŽt Je ne peux pas vous en dire plus. Inutile de poser d'autres questions. Je suis dĂ©solĂ©e. » Enfin, elle osait relever les yeux, jaugeant sa rĂ©action. Elle avait conscience de la particularitĂ© de sa demande, mais elle n'avait pas le choix de lui demander de ne rien dire sans pouvoir lui expliquer rĂ©ellement pourquoi. Alexander Hamilton âŠč Ton univers Hamilton An American MusicalâŠč Date de naissance 11/01/1980âŠč Age 42âŠč MĂ©tier Ecrivain, chercheur en sciences politiques, polĂ©miste, travaille pour un maire qu'il n'a jamais vu...âŠč Quartier Raccoon SquareâŠč CĂŽtĂ© cƓur I don't pretend to know the challenges we're facing. But I'm not afraid. Just let me stay here by your side. That would be enough.âŠč Dons/capacitĂ©s/pouvoirs Aucun pouvoir.âŠč Pseudo LiouneâŠč Avatar Lin-Manuel MirandaâŠč Copyright Sweetie & Tumblr & KoalaVolantâŠč DisponibilitĂ©s rp Toujours disponible.âŠč Autres comptes Team Willou.âŠč Messages 563âŠč Points 166âŠč Date d'inscription 27/07/2021âŠč Notes RPS En cours Sabrina Jaime Lyra Mary Elizabeth [2] Eloise RPS TerminĂ©s Phillip Jo Orpheus Marisa Walburga David Elizabeth Elizabeth & Alexander Elizabeth Elizabeth [2] Don't be shocked when your history book mentions me I will lay down my life if it sets us free Eventually you'll see my ascendancySujet Re TerminĂ© Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre âŠč Alexander. Jeu 21 Avr - 1850 Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre feat. ElizabethVous ne vous arrĂȘtez jamais ? demande-t-elle, et cette question fait sourire. Combien de fois l’a-t-il entendue, cette question. De la part de ses proches, bien sĂ»r, Eliza en tĂȘte, qui s’inquiĂ©taient de ne jamais le voir lever le pied, mais pas seulement. Pourquoi Ă©crire comme si le temps lui Ă©tait comptĂ©, pourquoi se battre comme si le temps lui Ă©tait comptĂ© ? Il en a le rĂ©flexe, peut-ĂȘtre parce que la lutte pour lui a commencĂ© au moment presque de naĂźtre, peut-ĂȘtre parce qu’il est toujours si soucieux de laisser son empreinte dans l’histoire qu’il ne se voit pas perdre la moindre seconde. Son esprit fourmille de mille idĂ©es Ă  la seconde, et oui, il est incapable de s’arrĂȘter. Non, il ne s’arrĂȘte pas, et si souvent, c’est une observation qu’on lui adresse comme un reproche, il y voit une qualitĂ©. Et il ne se voit pas faire autrement. Quand bien mĂȘme il le voudrait, d’ailleurs, il en serait sans doute bien incapable. Il est constamment sur le qui-vive. Si elles avaient existĂ© en son temps, on aurait sans doute dit de lui qu’il Ă©tait une pile Ă©lectrique. Jamais », confirme-t-il donc presque avec fiertĂ©. Non, il ne s’arrĂȘte jamais, et l’inarrĂȘtable et inĂ©narrable Alexander Hamilton est encore moins dĂ©cidĂ© Ă  s’arrĂȘter Ă  prĂ©sent qu’il a trouvĂ© interlocutrice Ă  qui parler, alors que le nombre de ses idĂ©es et de ses convictions augmente au grĂ© des rĂ©flexions d’Elizabeth, et Ă  mesure que progresse leur conversation. Trop Ă  faire, trop Ă  penser, trop Ă  dire. Impossible de s’interrompre en si bon chemin. Son intention de faire une diffĂ©rence et de remodeler le paysage politique de ce nouveau monde est vivace, et depuis toujours, et les circonstances ne font qu’intensifier cet Ă©tat de fait. Seulement, celle qui pourrait ĂȘtre, peut-ĂȘtre, reprĂ©senter la meilleure alliĂ©e qu’il sache trouver ici a, Ă  l’évidence, son lot de secrets, des secrets dont Alexander, pour l’heure, n’est pas capable de prendre la pleine et entiĂšre mesure, mais qu’il a bien l’intention, malgrĂ© tout, de percer Ă  jour. Le politicien aurait sans doute fait peu de cas des mystĂšres entourant la vie de sa psychiatre s’ils n’avaient pas, prĂ©alablement, eu une conversation aussi exaltante et animĂ©e que celles qu’ils ont Ă©changĂ©e. Mais en l’occurrence, il se sent concernĂ© par ce qui la concerne, et il a besoin d’en savoir plus. Pas seulement de crainte de perdre une alliĂ©e potentielle, mais aussi parce qu’il commence Ă  se soucier, doucement mais sĂ»rement, du sort de cette femme aussi secrĂšte que ne se dĂ©voile qu’à demi au moment de lui apprendre ne pas avoir que des amis ici. Eh bien ils sont deux. Alexander sait de source sĂ»re qu’il est loin d’ĂȘtre apprĂ©ciĂ© de tous ici, ce n’est pas du goĂ»t de tous d’avoir la langue Ă  ce point bien pendue. Jefferson, et Burr surtout
 il en avait eus, des ennemis, par le passĂ©, et le dernier d’entre eux a mĂȘme eu raison de lui
 ici, il a restaurĂ© cette tradition trĂšs rapidement. Il peut comprendre
 Mais il reste
 circonspect. Moins elle en dit, plus il veut en savoir. Et il ne peut que vouloir insister. Elizabeth l’a dit elle-mĂȘme. Il ne s’arrĂȘte jamais. Ça ne risque pas d’évoluer en cet instant, bien au contraire. Je ne peux pas me contenter d’une telle rĂ©ponse », fait-il alors, refusant autant ses excuses que niant sa volontĂ© la plus lĂ©gitime de ne pas vouloir lui en dire plus. Il n’est pas en droit d’exiger quoi que ce soit de sa part aprĂšs tout, il ne lui doit rien, absolument rien. Si quelqu’un veut vous nuire, si quelqu’un vous veut du mal, je peux vous en protĂ©ger », lui assure-t-il, en outrepassant sans doute une fois de plus les rĂ©serves affectives de son interlocutrice. Je peux vous offrir plus que la garantie de votre anonymat. »Code by LaxyHistory has its eyes on youKoalaVolantSpoiler Elizabeth Tudor âŠč Ton univers Reign.âŠč Date de naissance 07/09/1988âŠč Age 33âŠč MĂ©tier psychologue, plutĂŽt mauvaise d'ailleurs.âŠč Quartier Baker Street Avenue.âŠč CĂŽtĂ© cƓur cĂ©libataire, veuve officieusement.âŠč Dons/capacitĂ©s/pouvoirs Aucun pouvoir.âŠč Pseudo halay.âŠč Avatar Rachel SkarstenâŠč Copyright ? avatar ; semper eadem gifâŠč DisponibilitĂ©s rp disponible. Clarice âŠč Camille NoĂ«l âŠč Edmund âŠč Lara âŠč Mary intrigue âŠč Alexander âŠč ...âŠč Autres comptes Sophie de RĂ©an, Amy Pond, Clarke Griffin, Anna d'Arendelle, Jodie Holmes, Hermione Weasley, Jasmine d'Agrabah & Ambrose Spellman.âŠč Messages 689âŠč Points 1846âŠč Date d'inscription 11/03/2019âŠč Notes Sujet Re TerminĂ© Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre âŠč Alexander. Jeu 28 Avr - 1710 Alexander avait ce don aussi agaçant que fascinant de ne jamais abandonner. Lorsqu'Elizabeth le voyait parler de politique avec tant de passion et avec ce dĂ©sir de rĂ©aliser ses projets en allant jusqu'au bout, elle trouvait ça fascinant. Lorsqu'Elizabeth le voyait insister pour qu'elle rĂ©vĂšle des secrets qu'elle n'avait rĂ©vĂ©lĂ©s Ă  personne jusqu'Ă  prĂ©sent, elle trouvait ça agaçant. Mais elle le comprenait. C'Ă©tait une demande si peu banale qui mĂ©ritait sans doute quelques explications. Malheureusement pour lui, la jeune femme ne pouvait pas assouvir sa curiositĂ© et lui fournissant les explications attendues. Elle ne pouvait que lui donner quelques dĂ©tails imprĂ©cis choisis avec soin pour se protĂ©ger. Évidemment, ces dĂ©tails ne lui suffisaient guĂšre. Il ne souhaitait pas s'en contenter. L'ancienne reine laissa alors Ă©chapper un soupir discret, comprenant qu'elle s'Ă©tait potentiellement mise en danger s'il venait Ă  se montrer trop insistant et Ă  fouiner. Puis, sans lui laisser le temps de l'interrompre, il reprit la parole. Il voulait la protĂ©ger de cette personne qui lui voulait du mal. Ils ne se connaissaient mĂȘme pas. Ou plutĂŽt Elizabeth le connaissait sans que lui ne la connaisse. Un simple patient qu'elle avait invitĂ© pour donner tort Ă  un autre de ses patients - ou plutĂŽt pour lui prouver qu'elle pouvait Ă©couter ses conseils, mĂȘme si ça ne changerait rien Ă  sa vie. Elizabeth n'Ă©tait pas libre de mener la vie qu'elle voulait. Elle ne pouvait pas se contenter de laisser ses problĂšmes derriĂšre elle parce qu'elle n'Ă©tait pas la seule Ă  dĂ©cider. Alors pourquoi cet homme pour qui elle n'Ă©tait qu'une inconnue la protĂ©gerait d'un danger dont il ignorait tout ? L'idĂ©e d'avoir quelqu'un sur qui compter, l'idĂ©e d'avoir quelqu'un qui veille sur elle Ă©tait sĂ©duisante et rassurante, mais elle n'avait pas le droit de mĂȘler quelqu'un Ă  toutes ses histoires. Me protĂ©ger ? » Dit-elle, un sourire discret au coin des lĂšvres, en secouant la tĂȘte. Il n'imaginait pas dans quelles histoires il se lancerait s'il venait Ă  se mĂȘler du problĂšme d'Elizabeth. Rien qu'ĂȘtre en sa prĂ©sence aujourd'hui le mettait en danger - chose qu'il ignorait totalement. Mary pouvait dĂ©jĂ  y voir le parfait moyen de pression Ă  utiliser contre Elizabeth, alors jamais elle ne permettrait qu'il se retrouve davantage en danger par sa faute. Elizabeth avait suffisamment sacrifiĂ© de gens autour d'elle, dans son autre vie, elle ne voulait plus continuer ici. Chaque jour, elle travaillait Ă  devenir une personne meilleure - ou, au moins, Ă  ne pas ĂȘtre pire qu'autrefois. On ne peut rien contre cette personne. » Commença Elizabeth, choisissant ses mots avec soin pour ne pas dire de bĂȘtises qui Ă©veilleraient les soupçons d'Alexander. Elle est entourĂ©e, protĂ©gĂ©e et prĂ©parĂ©e. » Rarement seule, toujours protĂ©gĂ©e par des gardes comme autrefois, elle allait jusqu'Ă  faire suivre et surveiller Elizabeth. Alors comment pensait-il la protĂ©ger d'une histoire dont il ne connaissait rien ? S'il rĂ©ussissait Ă  lui offrir l'anonymat, l'ancienne reine y verrait dĂ©jĂ  une victoire. Vous n'imaginez pas les risques que vous prendriez Ă  vous en mĂȘler... » Souffla-t-elle en fuyant son regard, parce que le risque existait dĂ©jĂ  pour lui, rien qu'en Ă©tant ici - ce qu'elle n'arrivait pas Ă  lui avouer, de peur de le voir prendre la fuite, alors qu'elle trouvait ce moment particuliĂšrement agrĂ©able. Finalement, elle n'avait peut-ĂȘtre pas tant changĂ©, elle restait Ă©goĂŻste en mettant la vie de quelqu'un en danger pour son seul plaisir. Et, croyez-moi, je ne mĂ©rite pas que quelqu'un prenne ces risques pour moi. » Si elle ne voulait rien dĂ©voiler d'elle, elle pouvait bien lui faire comprendre qu'elle n'Ă©tait pas quelqu'un de bien, quelqu'un que l'on devait dĂ©fendre ou quelqu'un pour qui l'on devait se battre... Bien au contraire ! Mary avait ses raisons pour faire tout ceci. Aucune n'Ă©tait innocente. Alexander, je... » Elle hĂ©sitait parce qu'elle ne voulait pas gĂącher ce genre de moment dont elle s'Ă©tait privĂ©e bien trop longtemps, mais elle n'avait pourtant pas le choix. Si vous essayez de vous mĂȘler de cette histoire d'une façon ou d'une autre, pour votre bien, nous ne nous verrons plus et vous ne pourrez plus compter sur moi. » Peut-ĂȘtre s'en moquait-il, peut-ĂȘtre n'Ă©tait-ce pas l'argument du siĂšcle, mais elle le tentait parce qu'elle n'en avait pas d'autres. S'il voulait la garder comme un soutien pour ses plans, il devait cesser de chercher Ă  comprendre. Et si vous insistez en me posant des questions trop indiscrĂštes, je me verrai contrainte de mettre fin Ă  ce rendez-vous en vous demandant de quitter cette maison. » Si son ton n'Ă©tait en rien agressif ou froid, son regard disait clairement qu'elle Ă©tait sĂ©rieuse et qu'elle mettrait ses menaces Ă  exĂ©cution. Elle comprenait sa curiositĂ©, mais elle ne pouvait pas assouvir son besoin de comprendre. Alors, soit il s'en contentait, soit il partait. Et je n'ai pas envie de vous demander de partir. » Assura-t-elle pour l'inciter Ă  ne pas continuer, Ă  accepter sa demande, dĂ©voilant ainsi qu'elle se sentait bien Ă  discuter lĂ , avec lui. Alexander Hamilton âŠč Ton univers Hamilton An American MusicalâŠč Date de naissance 11/01/1980âŠč Age 42âŠč MĂ©tier Ecrivain, chercheur en sciences politiques, polĂ©miste, travaille pour un maire qu'il n'a jamais vu...âŠč Quartier Raccoon SquareâŠč CĂŽtĂ© cƓur I don't pretend to know the challenges we're facing. But I'm not afraid. Just let me stay here by your side. That would be enough.âŠč Dons/capacitĂ©s/pouvoirs Aucun pouvoir.âŠč Pseudo LiouneâŠč Avatar Lin-Manuel MirandaâŠč Copyright Sweetie & Tumblr & KoalaVolantâŠč DisponibilitĂ©s rp Toujours disponible.âŠč Autres comptes Team Willou.âŠč Messages 563âŠč Points 166âŠč Date d'inscription 27/07/2021âŠč Notes RPS En cours Sabrina Jaime Lyra Mary Elizabeth [2] Eloise RPS TerminĂ©s Phillip Jo Orpheus Marisa Walburga David Elizabeth Elizabeth & Alexander Elizabeth Elizabeth [2] Don't be shocked when your history book mentions me I will lay down my life if it sets us free Eventually you'll see my ascendancySujet Re TerminĂ© Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre âŠč Alexander. Ven 29 Avr - 1747 Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre feat. ElizabethMoins Elizabeth conscient Ă  lui donner d’informations sur cet individu qui semble-t-il la menace, plus Alexander se sent inquiet, d’autant plus qu’il a le sentiment que son amie est rĂ©signĂ©e, dĂ©cidĂ©e Ă  accepter les choses comme elles sont sans envisager d’y changer quoi que ce soit, un comportement quelque part dĂ©faitiste aux antipodes des valeurs et des habitudes d’Alexander qui, pour sa part, avait plutĂŽt tendance Ă  insister quand personne ne lui demandait quoi que ce soit et Ă  ne surtout jamais baisser les bras mĂȘme quand ça devrait ĂȘtre la chose la plus prudente et la plus naturelle Ă  faire. Sans doute aurait-il vĂ©cu plus longtemps si, Ă  l’instar d’Elizabeth, il s’était protĂ©gĂ© de ses ennemis plutĂŽt que de les confronter, mais dans le cas qui la concerne, le danger, celui-lĂ  mĂȘme qu’il n'envisageait pas plus tĂŽt, paraĂźt tel qu’il lui semble Ă©vident qu’il lui faut agir, et ce peu importe de quelle maniĂšre. On » ne peut rien contre cette personne, peut-ĂȘtre, mais on » n’est pas Alexander Hamilton, et Alexander Hamilton estime qu’il n’y a rien au monde qu’il soit incapable de faire pour peu qu’il dĂ©cide justement de le faire. Et de la volontĂ©, de la rĂ©signation, de l’acharnement, il en a Ă  revendre, au-delĂ  du concevable, et certainement aussi au-delĂ  de ce qui devrait ĂȘtre acceptable, notamment en cet instant, alors qu’il semble si motivĂ© Ă  dĂ©fendre l’honneur de cette femme dont il devrait pourtant admettre une bonne fois pour toutes qu’il ne sait absolument parce qu’il s’est beaucoup confiĂ© Ă  elle dans son cabinet psychiatrique ce qui devrait dĂ©jĂ  l’alarmer quant Ă  la balance fragile de leur relation ? Ou bien parce qu’il venait d’avoir avec elle la conversation la plus exaltante qu’il ait pu avoir depuis bien longtemps ? Il ne prend pas le temps d’y rĂ©flĂ©chir. Comme bien souvent, il ne prend le temps de rien, comme pris au piĂšge fatal d’une Ă©ternelle course contre la montre qui ne lui accorderait aucune forme de rĂ©pit. Il se focalise sur son souhait sincĂšre de l’aider, il n’en observe ni les raisons, ni les consĂ©quences. En ce cas, il nous faut vous entourer, vous protĂ©ger et vous prĂ©parer », dĂ©crĂšte-t-il d’office comme si c’était la chose la plus simple au monde alors que son interlocutrice remarque que l’ennemie, cette Elle » menaçante, avait tous les moyens de pression quand Elizabeth n’en possĂ©dait aucun. Mais d’oĂč pourrait bien lui venir une haine Ă  ce point viscĂ©rale ? Et il n’est aucune dĂ©cision d’importance que l’on puisse prendre sans encourir un minimum de risques, pensez bien que je ne vous ai pas attendue pour en en rencontrer plus d’un. »Dans sa volontĂ© impĂ©rieuse de faire une diffĂ©rence, Alexander peut en effet ĂȘtre une vĂ©ritable tĂȘte brĂ»lĂ©e. Les dangers Ă©ventuels ne l’inquiĂštent pas. Quant au fait qu’Elizabeth mĂ©rite ou non qu’il fasse cela pour elle ?... La vĂ©ritĂ©, c’est qu’il ne peut rien en savoir. Et une part de lui ne veut rien en savoir. Sans rien connaĂźtre d’elle ou de son passĂ©, il pense pourtant savoir quel genre de femme elle est. Et c’est ironique au fond de constater combien facilement il se sentirait capable de la dĂ©fendre corps et Ăąme quand on sait qu’elle fut reine d’Angleterre, et que son combat contre les armĂ©es du roi George III fut certainement parmi les plus constants de son existence. Peut-ĂȘtre devrait-il prendre de la distance avec ses convictions, admettre aussi que s’il ne trouvait pas Elizabeth si charmante, si fascinante, il ne s’obstinerait pas autant Ă  vouloir la protĂ©ger. Mais ce n’est certainement pas lĂ  un Ă©tat de fait qu’il se sent en mesure pour l’heure de propos suivants d’Elizabeth sonnent pourtant comme un couperet, et au moment oĂč elle les formule, il ne peut que constater Ă  quel point il ne veut pas que cela se produise. Elle semble si catĂ©gorique, si convaincue qu’aucune alternative n’est possible s’il ne consent pas Ă  taire sa curiositĂ©, alors il peut autant prendre la porte
 En prononçant ces mots, il ne l’incite que davantage, contradictoirement, Ă  en comprendre davantage sur elle. Mais il sait aussi admettre que son insistance lĂ©gendaire, quand bien mĂȘme elle l’a si souvent servi, ne suffira pas Ă  lui faire entendre raison. Il affiche une fine esquisse de sourire quand elle prĂ©cise tout de mĂȘme qu’elle n’a pas envie de lui demander de partir. Tant mieux, dans ce cas », confirme-t-il simplement. Je n’avais pas spĂ©cialement envie de m’en aller », confirme-t-il simplement. Il se sent bien, en sa compagnie, comme il l’a rarement Ă©tĂ© avec quiconque depuis bien longtemps. Il n’a aucune envie de gĂącher ça. Au point mĂȘme d’accepter de faire quelques concessions. Temporaires, bien sĂ»r. Je n’insisterai plus puisque c’est votre souhait, mais sachez que sans explication aucune, si tĂŽt ou tard vous avez besoin d’aide, je vous accorderai la mienne sans rien vous demander. »Code by LaxyHistory has its eyes on youKoalaVolantSpoiler Elizabeth Tudor âŠč Ton univers Reign.âŠč Date de naissance 07/09/1988âŠč Age 33âŠč MĂ©tier psychologue, plutĂŽt mauvaise d'ailleurs.âŠč Quartier Baker Street Avenue.âŠč CĂŽtĂ© cƓur cĂ©libataire, veuve officieusement.âŠč Dons/capacitĂ©s/pouvoirs Aucun pouvoir.âŠč Pseudo halay.âŠč Avatar Rachel SkarstenâŠč Copyright ? avatar ; semper eadem gifâŠč DisponibilitĂ©s rp disponible. Clarice âŠč Camille NoĂ«l âŠč Edmund âŠč Lara âŠč Mary intrigue âŠč Alexander âŠč ...âŠč Autres comptes Sophie de RĂ©an, Amy Pond, Clarke Griffin, Anna d'Arendelle, Jodie Holmes, Hermione Weasley, Jasmine d'Agrabah & Ambrose Spellman.âŠč Messages 689âŠč Points 1846âŠč Date d'inscription 11/03/2019âŠč Notes Sujet Re TerminĂ© Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre âŠč Alexander. Lun 2 Mai - 1712 Alexander semblait croire qu'il existait une solution, une possibilitĂ© pour la sortir de ses problĂšmes. C'Ă©tait logique quelque part, il ne pouvait pas imaginer l'histoire qui liait Elizabeth et Mary. Il ne pouvait pas imaginer la guerre qu'elles se menaient aujourd'hui - ou la guerre que Mary menait contre Elizabeth pour s'assurer qu'elle ne lui ferait plus aucun mal. Il ne pouvait pas s'imaginer la femme qu'il avait rĂ©ellement face Ă  lui. Elle n'Ă©tait plus tout Ă  fait la femme qu'elle avait dĂ» devenir autrefois pour diriger un royaume et faire face aux menaces qui se dressaient contre elle, mais elle restait une femme qu'il Ă©tait prĂ©fĂ©rable de ne pas frĂ©quenter pour rester en vie. Sa seule dĂ©cision de l'inviter Ă  venir passer la soirĂ©e ici montrait tout l'Ă©goĂŻsme dont elle Ă©tait capable. Pour combler une solitude bien trop difficile Ă  supporter aprĂšs trois ans Ă  se couper totalement du monde - Ă  de trĂšs rares exceptions - elle avait soigneusement choisi la personne qu'elle mettrait potentiellement en danger en l'invitant. Parmi ses patients, elle en avait dĂ©duit qu'Alexander Ă©tait celui avec qui elle s'entendrait le mieux et, surtout, celui qui lui semblait le plus capable de se dĂ©fendre contre Mary, s'il venait Ă  l'esprit de cette derniĂšre de s'en prendre Ă  lui. Elle en faisait une potentielle victime, inconsciente de l'ĂȘtre. Parce qu'il ignorait tout ça, il dĂ©sirait vivement l'aider. Parce qu'elle savait tout ça, elle souhaitait l'Ă©loigner autant que possible. Elizabeth conservait, malgrĂ© tout ses mauvais cĂŽtĂ©s, l'envie de ne pas mettre inutilement les gens en danger - sinon pourquoi se serait-elle privĂ©e de tout contact pendant trois ans ? Si elle n'Ă©tait que mauvaise, jamais elle ne s'en serait souciĂ©e. Mais comme elle s'en souciait et qu'elle jugeait l'avoir mis suffisamment en danger, elle ne pouvait lui en demander plus. A vous entendre, tout paraĂźt si facile. » Souffla Elizabeth, en soupirant. Elle n'avait pas Ă©tĂ© intelligente. Se dĂ©couvrant une nouvelle chance d'ĂȘtre la femme qu'elle voulait, se pensant dĂ©barrassĂ©e de sa cousine, elle n'avait pas jugĂ© bon de s'entourer Ă  son arrivĂ©e dans ce monde. Elle voulait vivre normalement. Puis Mary Ă©tait entrĂ©e dans sa vie pour lui faire vivre un enfer et lui faire payer de lui avoir pris sa tĂȘte. DĂšs cet instant, Elizabeth n'avait plus fait confiance Ă  personne. Alors comment s'entourer ? La psy voyait en chaque visage un potentiel ennemi, un alliĂ© de Mary. MĂȘme Alexander Ă©tait suspect aux yeux d'Elizabeth. Moins, dĂ©sormais. NĂ©anmoins, il restait toujours cette petite possibilitĂ© qu'il ait Ă©tĂ© envoyĂ© par sa cousine pour la piĂ©ger. La mĂ©fiance de Mary l'avait poussĂ©e Ă  s'entourer dĂšs ses premiers instants dans cette ville. Elle avait donc un avantage considĂ©rable sur elle. Je ne me battrai pas contre elle. » RĂ©torqua Elizabeth avec assurance. Parfois, l'envie de mettre dĂ©finitivement fin Ă  ce petit jeu Ă©tait prĂ©sente et elle s'imaginait alors rĂ©duire sa cousine au silence comme elle l'avait dĂ©jĂ  fait une premiĂšre fois. Pourtant, elle ne souhaitait plus mener ce combat parce que l'une perdrait forcĂ©ment. Elizabeth avait gagnĂ© une premiĂšre fois, rien ne lui assurait qu'elle gagnerait une seconde fois. Elizabeth ne voulait pas perdre. Elle prĂ©fĂ©rait se contenter de survivre sans se battre que se battre et mourir. L'ancienne reine Ă©tait persuadĂ©e d'une chose, Mary ne la tuerait pas. Pas tout de suite. Pas avant qu'elle n'ait obtenu des aveux. Elizabeth assurait donc sa sĂ©curitĂ©, d'une certaine façon, en menant une vie coupĂ©e du monde oĂč elle ne risquait pas de dĂ©voiler quoi que ce soit permettant Ă  Mary d'obtenir des aveux et des excuses. Prenez les risques que vous voulez, mais vous n'en prendrez aucun pour moi. » Assura-t-elle, dĂ©terminĂ©e Ă  lui faire entendre raison. Elle avait bien compris qu'Alexander Ă©tait le genre d'homme Ă  foncer et Ă  ne pas avoir peur de prendre des risques. Elizabeth, malgrĂ© la peur, avait Ă©tĂ© ce genre de femme autrefois. Aujourd'hui, elle ne savait plus qui elle Ă©tait, mais elle avait appris une chose tous les combats ne mĂ©ritaient pas d'ĂȘtre menĂ©s et tous les risques ne valaient pas la peine d'ĂȘtre pris. Face Ă  l'insistance de l'homme, Elizabeth Ă©tait contrainte de lui lancer un ultimatum. Soit il cessait de se montrer si curieux, soit il partait. Elizabeth n'avait aucune envie de mettre fin Ă  ce rendez-vous - ce qu'elle lui avait prĂ©cisĂ©, sans trop savoir pour quelle raison d'ailleurs - mais elle le ferait sans aucune hĂ©sitation s'il le fallait - tant pour se garder en sĂ©curitĂ© que pour le mettre, lui, en sĂ©curitĂ©. La rĂ©ponse qu'il lui donna la fit sourire, discrĂštement. Elle ne pouvait nier qu'elle Ă©tait ravie de savoir qu'il n'avait pas envie de partir, qu'importent les raisons. Prolonger cette soirĂ©e, c'Ă©tait permettre Ă  Elizabeth d'avoir l'impression qu'elle avait une vie normale, pour quelque temps encore, avant de retourner Ă  son Ă©ternelle solitude. Suffisamment convaincante, semblait-il, il acceptait de renoncer et de ne plus insister, mais prĂ©cisait qu'elle pouvait lui demander son aide, mĂȘme sans la moindre explication, n'importe quand. Merci. » Souffla-t-elle, tant pour le fait de le voir arrĂȘter d'insister que pour l'aide qu'il Ă©tait prĂȘt Ă  lui accorder en toute silence - presque gĂȘnant - s'installa alors. Il semblait difficile de repartir aprĂšs cette mise au point et de faire comme si de rien n'Ă©tait. Mis Ă  part la politique, d'autres choses vous passionnent autant ? » Lui. Toujours lui. Comme lors d'une sĂ©ance dans son cabinet, Elizabeth tournait toutes les questions vers l'autre parce qu'elle refusait de parler d'elle. Vous ne devez pas avoir beaucoup de temps pour vous... La politique, dĂ©fendre vos valeurs et vos projets semblent dĂ©jĂ  vous prendre un temps considĂ©rable. » Ajouta-t-elle pour relancer la conversation, afin d'Ă©viter un nouveau silence. Je vous ressers quelque chose Ă  boire, peut-ĂȘtre ? » Demanda-t-elle finalement en dĂ©signant son verre, tentant de redonner Ă  cette conversation une allure moins Ă©trange. Alexander Hamilton âŠč Ton univers Hamilton An American MusicalâŠč Date de naissance 11/01/1980âŠč Age 42âŠč MĂ©tier Ecrivain, chercheur en sciences politiques, polĂ©miste, travaille pour un maire qu'il n'a jamais vu...âŠč Quartier Raccoon SquareâŠč CĂŽtĂ© cƓur I don't pretend to know the challenges we're facing. But I'm not afraid. Just let me stay here by your side. That would be enough.âŠč Dons/capacitĂ©s/pouvoirs Aucun pouvoir.âŠč Pseudo LiouneâŠč Avatar Lin-Manuel MirandaâŠč Copyright Sweetie & Tumblr & KoalaVolantâŠč DisponibilitĂ©s rp Toujours disponible.âŠč Autres comptes Team Willou.âŠč Messages 563âŠč Points 166âŠč Date d'inscription 27/07/2021âŠč Notes RPS En cours Sabrina Jaime Lyra Mary Elizabeth [2] Eloise RPS TerminĂ©s Phillip Jo Orpheus Marisa Walburga David Elizabeth Elizabeth & Alexander Elizabeth Elizabeth [2] Don't be shocked when your history book mentions me I will lay down my life if it sets us free Eventually you'll see my ascendancySujet Re TerminĂ© Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre âŠč Alexander. Mar 3 Mai - 1751 Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre feat. ElizabethAlexander se contente d’esquisser un fin sourire quand Elizabeth observe qu’il donne le sentiment que tout est facile. Est-ce vraiment ce qu’il pense ? Pas rĂ©ellement. Mais chaque difficultĂ© qu’il rencontre est considĂ©rĂ© pour lui comme un nouveau challenge, et plus l’affaire est complexe, Ă  la vĂ©ritĂ©, plus elle l’intrigue et plus elle lui plaĂźt. Comme un dĂ©fi fait au monde, de maniĂšre constant. Et pour cause. Alexander est un survivant, il a vĂ©cu Ă  la maladie qui a emportĂ© sa mĂšre, il a survĂ©cu Ă  l’ouragan qui a ravagĂ© sa ville, il a survĂ©cu Ă  la bataille de Yorktown, aux manigances de ses opposants politiques
 jusqu’à cet ultime moment oĂč il a baissĂ© sa garde face Ă  Burr, comme il s’était promis de ne jamais le faire. Ça n’arrivera pas ici. S’il ne peut, en ces lieux, se protĂ©ger, dĂ©fendre les intĂ©rĂȘts du peuple et protĂ©ger ceux Ă  qui il tient, alors Ă  quoi bon ? Elizabeth ne se battra pas contre celle qui la fait vivre sous une menace constante, Alexander l’a bien compris, mais ce n’est pas parce qu’elle ne souhaite pas se battre qu’il ne se battra pas en son nom. Trop cavalier, Hamilton ? Bien sĂ»r qu’il l’est
 PĂ©tri qu’il est de convictions, mais aussi d’une certaine forme d’orgueil, faut-il le prĂ©ciser. A l’assurance d’Elizabeth, cependant, Alexander comprend qu’il ne servirait Ă  rien de rĂ©torquer quoi que ce soit, alors il ne dit rien. Il mĂšnera ses propres recherches, il choisira des moyens dĂ©tournĂ©s de la contredire. Ce n’est pas trĂšs loyal, comme maniĂšre, mais il le fait, en rĂ©alitĂ©, par pure loyautĂ© envers elle. Il prendra tous les risques qu’il voudra, oui, et il les prendra pour elle s’il le dĂ©cide, elle ne l’en empĂȘchera pas. Mais il ne cherche pas Ă  la convaincre sur ce point. Il sait pertinemment qu’elle ne l’écoutera ne fait que mine d’écouter son ultimatum en y consentant pour le moment. Il ne veut pas s’en aller. La main qu’il lui tend, mĂ©taphoriquement, c’est un geste symbolique sur lequel il ne reviendra pas le moins du monde. Et il compte sur le fait que, tĂŽt ou tard, elle revienne sur sa dĂ©cision et admette qu’elle aura tout intĂ©rĂȘt, vĂ©ritablement, Ă  se tourner vers lui quand le besoin et l’urgence s’en fera sentir. Il espĂšre tout de mĂȘme, nĂ©anmoins, qu’elle n’attendra pas que la situation soit trop critique pour se tourner vers lui. Encore qu’il est bien dĂ©cidĂ© Ă  ne pas la rendre si facilement Ă  cette solitude qu’elle a prise pour compagne. Cette soirĂ©e n’est peut-ĂȘtre aux yeux d’Elizabeth qu’un Ă©pisode ponctuel, rien d’autre, ce n’est pas du tout ainsi qu’Alexander l’envisage de son cĂŽtĂ©. Il sait dĂ©jĂ  que quand il aura quittĂ© cet endroit pour retourner chez lui, il demandera Ă  la revoir, dans un autre cadre que celui de leurs sĂ©ances, qui pour tout dire ne devraient plus avoir lieu d’ĂȘtre aprĂšs une telle conversation. Autant ? Rien, je suppose », fait Alexander en toute honnĂȘtetĂ© quand Elizabeth tente de changer de sujet, sondant ses autres passions. Mais la politique, c’est tant de choses en mĂȘme temps. Ceux qui prĂ©tendent ne pas s’intĂ©resser Ă  la politique ou pire encore ne rien y comprendre n’ont pas effleurĂ© du doigt ce que la politique est exactement. Contribuer Ă  façonner le paysage de toute une sociĂ©tĂ©, c’est un travail Ă  plein temps, j’en ai peur, je ne me verrais rien faire d’autre. Il faut aussi admettre que je n’ai pas vraiment quoi que ce soit d’autre dans tous les cas. » Mais c’est un vrai prĂ©texte, au fond. MĂȘme quand il avait son Ă©pouse et ses enfants, Alexander Ă©tait tout dĂ©vouĂ© Ă  ses ambitions politiques. Elles avaient toujours pris le pas sur absolument toutes ses autres considĂ©rations, sans distinction aucune. Je ne dirais pas non Ă  un autre verre », confirme-t-il, qui devrait peut-ĂȘtre rĂ©duire la cadence
 Mais lĂ , tout de suite, il n’en a pas franchement l’intention. Vous ne pouvez pas constamment faire cela, vous savez ? Éluder les sujets qui vous dĂ©plaisent, vous fermer Ă  la possibilitĂ© mĂȘme de parler de vous, ne serait-ce qu’un peu. Je suppose que si je vous interrogeais maintenant sur ce qui vous passionne, vous ne me rĂ©pondriez pas, je me trompe ? » suggĂšre-t-elle. Je ne vais pas prĂ©tendre que le mystĂšre que vous entretenez ne contribue pas Ă  votre charme, mais ce que vous laissez entrevoir de vous chaque fois que vous vous dĂ©voilez malgrĂ© vous est autrement plus intĂ©ressant. » Il reporte son attention sur son verre. Je parle trop, je m’en rends compte. L’alcool n’aide guĂšre, je m’en rends compte. »Code by LaxyHistory has its eyes on youKoalaVolantSpoiler Elizabeth Tudor âŠč Ton univers Reign.âŠč Date de naissance 07/09/1988âŠč Age 33âŠč MĂ©tier psychologue, plutĂŽt mauvaise d'ailleurs.âŠč Quartier Baker Street Avenue.âŠč CĂŽtĂ© cƓur cĂ©libataire, veuve officieusement.âŠč Dons/capacitĂ©s/pouvoirs Aucun pouvoir.âŠč Pseudo halay.âŠč Avatar Rachel SkarstenâŠč Copyright ? avatar ; semper eadem gifâŠč DisponibilitĂ©s rp disponible. Clarice âŠč Camille NoĂ«l âŠč Edmund âŠč Lara âŠč Mary intrigue âŠč Alexander âŠč ...âŠč Autres comptes Sophie de RĂ©an, Amy Pond, Clarke Griffin, Anna d'Arendelle, Jodie Holmes, Hermione Weasley, Jasmine d'Agrabah & Ambrose Spellman.âŠč Messages 689âŠč Points 1846âŠč Date d'inscription 11/03/2019âŠč Notes Sujet Re TerminĂ© Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre âŠč Alexander. Lun 16 Mai - 1857 Avec franchise, Alexander lui expliquait que rien ne le passionnait autant que la politique. A vrai dire, elle s'en doutait un peu. Il semblait entiĂšrement dĂ©vouĂ© Ă  cette derniĂšre. Sa façon de voir les choses n'Ă©tonnait pas la jeune femme. La politique, pour lui, ce n'Ă©tait pas simplement la politique. C'Ă©tait une maniĂšre de rĂ©flĂ©chir et de vivre. Il ne faisait pas de la politique uniquement pour diriger ou pour possĂ©der une certaine forme de pouvoir. Il faisait de la politique pour changer les choses, pour les amĂ©liorer. Il inventait, cherchait des moyens de mieux faire, d'amĂ©liorer les choses et la vie des citoyens. Pour lui, la politique regroupait tout un tas de choses et il n'avait pas le temps de faire autre chose. Sa vie lui Ă©tait toute destinĂ©e, Ă  tel point qu'il ne semblait avoir rien d'autre. C'Ă©tait une sensation qu'Elizabeth connaissait. A se destiner uniquement Ă  son travail et Ă  sa solitude, elle n'avait rien d'autre, elle non plus. La diffĂ©rence Ă©tait qu'elle l'avait fait par choix quand lui l'avait fait par passion. Pour ça, elle l'admirait. J'ai rarement vu quelqu'un d'aussi passionnĂ©. » Admit Elizabeth face Ă  son explication. Les gens s'intĂ©ressaient aux choses, mais rarement avec tant de convictions, d'ambitions et de lui avoir resservi un verre, l'homme reprit la parole. Elizabeth s'Ă©tonna presque de sa franchise qui lui disait qu'elle ne pouvait pas jouer ce jeu Ă©ternellement. Et pourquoi ne le pourrais-je pas ? » Le questionna-t-elle, un sourire presque amusĂ© sur les lĂšvres, face Ă  de telles certitudes. Elle le faisait depuis trois ans, alors pourquoi ne pourrait-elle pas continuer Ă©ternellement ? Il suffisait qu'on ne s'intĂ©resse pas Ă  elle, ce qui avait plutĂŽt bien fonctionnĂ© jusqu'ici, Ă  quelques exceptions prĂšs. Si elle ne lui avait pas donnĂ© raison, parce qu'elle ne lui avait pas rĂ©pondu, il disait vrai, par prĂ©cautions, la jeune femme ne rĂ©vĂ©lerait rien de ses passions mĂȘme s'il le lui demandait. Puis qu'aurait-elle eu Ă  lui rĂ©pondre ? La vie d'Elizabeth ne lui permettait aucune passion ni aucun passe-temps. Sa vie Ă©tait rĂ©glĂ©e trĂšs prĂ©cisĂ©ment et de sorte Ă  ne se permettre aucune distraction dangereuse. Quasiment aucune sortie, hormis les quelques fois oĂč Camille et Nicolas avaient rĂ©ussi Ă  la faire sortir, pas de vĂ©ritables amis, pas d'Ă©carts... Elle ne se mĂȘlait Ă  rien ni personne pour limiter au maximum les risques, tant pour elle que pour les autres. Alors mĂȘme si elle avait voulu rĂ©pondre, elle n'aurait rien eu Ă  mots de l'homme Ă©taient flatteurs, quelque part, mais ses mystĂšres n'Ă©taient pas lĂ  pour intriguer. Ils Ă©taient lĂ  pour la maintenir en vie et pour la protĂ©ger. Parce que j'ai laissĂ© se dĂ©voiler des choses ? » Demanda-t-elle, curieuse de savoir ce qu'il avait dĂ©duit de ce qu'elle avait pu dire. Hormis quelques avis bien choisis sur la politique, elle n'avait pas dit grand chose - elle l'espĂ©rait de tout coeur, en tout cas. Avant de pouvoir ajouter quoi que ce soit, Alexander fit une rĂ©flexion sur l'alcool, ce qui amusa Elizabeth, consciente que l'un et l'autre avaient peut-ĂȘtre dĂ©jĂ  exagĂ©rĂ© sur le nombre de verres. Dans ce cas, peut-ĂȘtre devrais-je me montrer raisonnable et vous demander de me redonner votre verre pour vous servir autre chose que de l'alcool ? » A vrai dire, Elizabeth ne pouvait pas prĂ©tendre que les quelques verres qu'elle avait bu, elle aussi, ne commençaient pas Ă  lui embrouiller l'esprit. Elle se sentait peu Ă  peu libĂ©rĂ©e d'un poids, mais un poids dont il Ă©tait dangereux de se libĂ©rer. Rien ne lui disait qu'avec de l'alcool dans le sang, elle se contrĂŽlerait toujours aussi bien et veillerait toujours aussi bien sur ses mensonges, afin de ne rien rĂ©vĂ©ler de dangereux. Elle ne devait pas oublier qu'elle n'Ă©tait pas habituĂ©e Ă  boire, plus depuis qu'elle Ă©tait ici, en tout cas, toujours dans le but de garder une parfaite maĂźtrise d'elle-mĂȘme en toute circonstance. Je vais vous dire quelque chose sur moi... » Souffla-t-elle en baissant les yeux vers son verre, ne rĂ©flĂ©chissant pas Ă  ce qu'elle faisait, pour une fois Si je ne dis rien, ce n'est pas seulement parce que ça pourrait me mettre en danger... » C'Ă©tait en grande partie ça, Ă©videmment, mais ce n'Ă©tait pas que ça. Vous fuiriez. » Commença-t-elle en tournant les yeux, non pas vers lui, mais vers le vide. Si vous appreniez des choses sur moi, vous ne resteriez pas ici et vous vous allieriez Ă  elle. » PrĂ©cisa-t-elle, ce elle signifiant clairement la personne dont Elizabeth avait Ă©voquĂ© l'existence peu de temps auparavant. Elizabeth n'avait pas le beau rĂŽle dans leur histoire. Bien sĂ»r, elle n'Ă©tait pas la seule responsable, mais elle avait mis fin Ă  leur guerre de la pire des façons, en faisant dĂ©capiter sa le chemin dangereux qu'elle Ă©tait en train d'emprunter, Elizabeth tentait de garder une certaine part de contrĂŽle pour lui faire comprendre sans dire les choses clairement. Bien sĂ»r, elle savait qu'elle Ă©veillerait davantage sa curiositĂ©, mais il connaissait le marchĂ©. Aucune question ou la porte. Contentez-vous de celle que je parais ĂȘtre et ne cherchez pas Ă  savoir celle que je suis. » Affirma-t-elle, un sourire triste au coin des lĂšvres face Ă  une telle vĂ©ritĂ©. Alors oui, je peux vous assurer que je peux jouer Ă  ce petit jeu Ă©ternellement. Rien ne m'oblige Ă  rĂ©pondre aux questions ou Ă  rĂ©pondre la vĂ©ritĂ©. Je pourrais vous faire croire n'importe quoi, rĂ©pondre Ă  vos questions en mentant, mais je prĂ©fĂšre ne rien dire que mentir. » Admit-elle, en haussant les Ă©paules. Mentir, pourtant, elle le faisait en permanence en prĂ©tendant qu'elle n'Ă©tait pas la Elizabeth que Mary poursuivait pour se venger. En prĂ©tendant ĂȘtre une autre femme. Elle se mentait mĂȘme Ă  elle-mĂȘme. Mais elle ne voulait pas s'inventer toute une vie devant lui. Mettons ces aveux sur le compte de l'alcool, pour moi aussi. » Souffla-t-elle en secouant doucement le liquide dans son verre, avant de relever les yeux vers Alexander qui devait se trouver plus perdu encore face aux secrets d'Elizabeth et, peut-ĂȘtre, ne pas comprendre pourquoi elle lui avait dit tout ça - Ă  vrai dire, elle n'Ă©tait pas capable de l'expliquer elle-mĂȘme. Alexander Hamilton âŠč Ton univers Hamilton An American MusicalâŠč Date de naissance 11/01/1980âŠč Age 42âŠč MĂ©tier Ecrivain, chercheur en sciences politiques, polĂ©miste, travaille pour un maire qu'il n'a jamais vu...âŠč Quartier Raccoon SquareâŠč CĂŽtĂ© cƓur I don't pretend to know the challenges we're facing. But I'm not afraid. Just let me stay here by your side. That would be enough.âŠč Dons/capacitĂ©s/pouvoirs Aucun pouvoir.âŠč Pseudo LiouneâŠč Avatar Lin-Manuel MirandaâŠč Copyright Sweetie & Tumblr & KoalaVolantâŠč DisponibilitĂ©s rp Toujours disponible.âŠč Autres comptes Team Willou.âŠč Messages 563âŠč Points 166âŠč Date d'inscription 27/07/2021âŠč Notes RPS En cours Sabrina Jaime Lyra Mary Elizabeth [2] Eloise RPS TerminĂ©s Phillip Jo Orpheus Marisa Walburga David Elizabeth Elizabeth & Alexander Elizabeth Elizabeth [2] Don't be shocked when your history book mentions me I will lay down my life if it sets us free Eventually you'll see my ascendancySujet Re TerminĂ© Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre âŠč Alexander. Mar 17 Mai - 1754 Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre feat. ElizabethAlexander esquisse un fin sourire quand Elizabeth affirme qu’elle a rarement vu quelqu’un d’aussi passionnĂ© que lui. Il fait le choix de le prendre pour un compliment. Parce que oui, il l’a souvent entendu, que personne n’était aussi investi que lui, mais les personnes qui l’affirmaient l’observaient comme un reproche. Sa dĂ©votion Ă  ce qu’il estimait ĂȘtre une vocation Ă©tait telle qu’elle pouvait ĂȘtre Ă©touffante pour les personnes autour de lui – sauf que non, il ne s’excuserait jamais d’ĂȘtre trop passionnĂ©e. Si l’on faisait le choix de changer le monde, on ne pouvait pas faire dans la demi-mesure les choses ne peuvent pas fonctionner ainsi. Il faut faire les choses tout Ă  fait ou bien ne pas le faire du tout, c’est bien lĂ  la conception impĂ©rieuse qu’Alexander se fait des rĂ©ponse d’Elizabeth amuse Alexander plus qu’elle ne l’agace, parce qu’il s’y attendait, au fond. Il ne la poussera pas dans ses retranchements, il l’a bien compris. Certes, il a envie de dĂ©couvrir d’elle plus que ce qu’elle veut bien montrer, mais il voudrait que cela se fasse de sa propre volontĂ©. Alors elle n’a sans doute pas tort. Si elle veut se dĂ©rober Ă  ses questionnements, qu’ils soient silencieux ou non, il ne pourra pas l’en empĂȘcher. Mais il le regrette. Bien sĂ»r, il serait absurde de lui refuser de conserver son jardin secret, mais dans le cas qui la concerne, ce n’est plus d’un jardin que l’on parle, mais d’une forĂȘt trĂšs grande et trĂšs dense. Et mĂȘme s’il n’est pas le psy, des deux, Alexander gage qu’elle ne peut pas vivre dĂ©cemment, ainsi. Et oui, elle a laissĂ© se dĂ©voiler des choses
 trĂšs subtiles, certes, mais qui n’avaient pas Ă©chappĂ© au politicien. Ce n’était rien, rien qu’il puisse dĂ©crypter, mais ces quelques choses l’intriguent, et comme il l’a dĂ©jĂ  prouvĂ©, quand il a quelque chose en tĂȘte, il ne l’a clairement pas ailleurs. Je devrais tenir le coup », fait-il avec un lĂ©ger sourire quand Elizabeth suggĂšre qu’il lui rende son dĂ©lie sa langue, c’est vrai, mais ce n’est pas vĂ©ritablement ce qui le pousse Ă  s’exprimer ainsi. L’alcool lui donne une excuse confortable, mais la vĂ©ritĂ©, c’est qu’avec ou sans, il a seulement envie de comprendre qui est la femme qui se trouve en face de lui. Quand elle reprend la parole dans un souffle, le regard baissĂ© sur son propre verre, Alexander relĂšve les yeux en la fixant avec l’attention la plus totale. Ses paroles l’intriguent plus qu’elle ne l’inquiĂšte. Si elle lui parlait d’elle, elle lui assure qu’il fuirait pour s’associer Ă  cette ennemie qu’elle avait Ă©voquĂ©e prĂ©cĂ©demment. Elle a beau le dire, le pĂšre fondateur est incapable de la croire. Et quand bien mĂȘme elle aurait commis des choses horribles, lui aussi a commis des erreurs, celle qu’elle avait Ă©tĂ© au moment de le commettre n’est pas forcĂ©ment la femme qu’il a en face de lui pour autant. Les gens changent, les circonstances les changent, inexorablement, c’est ainsi. Je ne suis pas de nature Ă  fuir », commence-t-il d’abord avant de se concentrer davantage sur elle. Est-ce qu’elle se contente de le mettre en garde ou veut-elle, au fond, attiser sa curiositĂ© ? Elle doit bien savoir, non, qu’il n’abandonnera pas si facilement. Vous savez ce que je pense ? Je pense que vous ne savez pas vous-mĂȘme qui vous ĂȘtes. » Il marque une pause. Je ne sais pas qui vous avez Ă©tĂ©, et vous savez quoi ? Je m'en moque. Tout comme je me moque de ce que vous avez fait. » Paroles prononcĂ©es sans doute trop lĂ©gĂšrement. Mais soyez assurĂ©e d’une chose, Elizabeth. Quoi que vous ayez pu faire par le passĂ©, vous valez mieux que ce que vous vous imaginez. » Il y a les actes, et il y a tout le reste, il y a ce qu’il voit elle, dans ce qu’elle montre comme dans ce qu’elle ne montre pas il ne peut pas passer Ă  cĂŽtĂ© de by LaxyHistory has its eyes on youKoalaVolantSpoiler Elizabeth Tudor âŠč Ton univers Reign.âŠč Date de naissance 07/09/1988âŠč Age 33âŠč MĂ©tier psychologue, plutĂŽt mauvaise d'ailleurs.âŠč Quartier Baker Street Avenue.âŠč CĂŽtĂ© cƓur cĂ©libataire, veuve officieusement.âŠč Dons/capacitĂ©s/pouvoirs Aucun pouvoir.âŠč Pseudo halay.âŠč Avatar Rachel SkarstenâŠč Copyright ? avatar ; semper eadem gifâŠč DisponibilitĂ©s rp disponible. Clarice âŠč Camille NoĂ«l âŠč Edmund âŠč Lara âŠč Mary intrigue âŠč Alexander âŠč ...âŠč Autres comptes Sophie de RĂ©an, Amy Pond, Clarke Griffin, Anna d'Arendelle, Jodie Holmes, Hermione Weasley, Jasmine d'Agrabah & Ambrose Spellman.âŠč Messages 689âŠč Points 1846âŠč Date d'inscription 11/03/2019âŠč Notes Sujet Re TerminĂ© Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre âŠč Alexander. Dim 29 Mai - 1731 Les craintes d'Elizabeth Ă©taient fondĂ©es. Ses secrets, elle ne les gardait pas par plaisir, mais par obligation. Mary avait dĂ©jĂ  montrĂ©, Ă  de nombreuses reprises, de quoi elle Ă©tait capable, tant ici que dans leur monde. Avoir une vie sociale, des amis ou des proches Ă©taient impensable pour l'ancienne reine. C'Ă©tait un risque trop grand, tant pour elle que pour ses proches. Ils deviendraient un moyen de pression idĂ©al et une cible parfaite pour Mary. Pourtant, impulsive et stupide comme elle pouvait l'ĂȘtre parfois, la jeune femme avait voulu prouver qu'elle Ă©tait capable d'Ă©couter un conseil, capable d'avoir un ami, capable de vaincre ses peurs et son passĂ©. Elle se retrouvait alors avec un Alexander beaucoup trop curieux, qui tentait de la faire parler. Il ne prenait pas peur et, dĂ©terminĂ©, il savait la faire parler - comme il avait su le faire Ă  propos de la ne les aidait sans doute pas et, s'ils continuaient, les aiderait moins encore. Pourtant, aucun des deux ne semblait dĂ©cidĂ© Ă  rendre son verre. Peut-ĂȘtre parce qu'ils savaient que s'il ne les aidait pas, il Ă©tait surtout une excellente excuse pour justifier leurs dires. Sans trop savoir pourquoi, en se servant de cet alcool pour excuse, Elizabeth lui en confiait davantage. Ou plutĂŽt, elle lui avouait des choses, sans rien lui rĂ©vĂ©ler en rĂ©alitĂ©. Peut-ĂȘtre souhaitait-elle le faire fuir, comme elle le faisait sans cesse depuis trois ans avec ceux qui s'approchaient trop prĂšs de son passĂ© ou de sa vie. Alors, elle tentait de lui faire peur. Elle lui avait dĂ©jĂ  parlĂ© de ses craintes, maintenant, elle lui rĂ©vĂ©lait qu'elle n'Ă©tait pas seulement en danger. Elle Ă©tait un danger. Alexander fuirait en apprenant tout du passĂ© d'Elizabeth - et il aurait parfaitement raison. Il fuirait et s'allierait avec Mary pour la punir d'un passĂ© si monstrueux - que Mary partageait avec elle, mais elle avait un don particulier pour mettre en avant ce dont elle avait Ă©tĂ© victime, en oubliant bien trop souvent lĂ  oĂč elle avait Ă©tĂ© coupable. Puis, Elizabeth avait eu le dernier geste. La derniĂšre dĂ©cision. Celle qui fut fatale Ă  sa cousine et qui faisait d'elle le monstre qu'elle Ă©tait et qui faisait de Mary l'innocente victime. Elle aurait presque pu s'agacer de la rĂ©ponse d'Alexander, mais elle en Ă©tait incapable. Elle en Ă©tait incapable parce que, pour la premiĂšre fois depuis trois ans, elle avait l'impression d'avoir trouvĂ© quelque chose. Elle avait l'impression d'avoir retrouvĂ© de sa passion lorsqu'il lui avait parlĂ© de politique. Il n'Ă©tait pas de nature Ă  fuir, elle l'avait bien compris. Mais ne s'alarmait-il pas de tout ce qu'elle sous-entendait ? Que fallait-il qu'elle fasse pour le faire fuir alors ? Qu'elle lui dĂ©voile avoir tuĂ© de ses propres mains ? Qu'elle lui dĂ©voile avoir orchestrĂ© la mort d'un nombre incalculable de personnes, dont sa propre cousine, aprĂšs l'avoir gardĂ©e prisonniĂšre durant des annĂ©es ? Qu'elle lui dĂ©voile avoir Ă©tĂ© Ă  la tĂȘte d'un royaume, lui qui haĂŻssait la monarchie ? Que tous ses proches finissaient par partir ou mourir ? Elle Ă©tait bien certaine que, de nature Ă  fuir ou non, ces informations le feraient partir bien vite. NĂ©anmoins, elle ne pouvait rien lui dire. Il n'avait pas idĂ©e de ce qu'il racontait. Elle ne valait rien de mieux que son passĂ© parce qu'elle savait. Elle savait qu'elle recommencerait sans la moindre hĂ©sitation. Elle savait qu'elle reprendrait trĂšs prĂ©cisĂ©ment les mĂȘmes dĂ©cisions aujourd'hui. Évidemment, elle essayait d'ĂȘtre une personne meilleure parce que les circonstances le lui permettaient, mais elle n'Ă©tait pas certaine de ne plus ĂȘtre la mĂȘme femme qu'autrefois. Vous parlez sans savoir. » RĂ©torqua Elizabeth, refusant toujours d'affronter son regard. Il la voyait d'une façon bien trop Ă©loignĂ©e de ce qu'elle Ă©tait rĂ©ellement et c'Ă©tait dangereux. Je peux vous assurer que je ne vaux pas mieux que ce que j'ai fait... Vous savez pourquoi ? » Demanda-t-elle, osant croiser son regard une seconde avant de le reposer sur son verre, qui se vidait dĂ©jĂ  beaucoup trop vite. Parce que je suis toujours cette femme. Je sais qui je suis et je sais que je referai exactement les mĂȘmes choses aujourd'hui, s'il le fallait. » Puis, sentant que la situation lui Ă©chappait, puisqu'il Ă©tait impossible de le faire fuir comme il avait Ă©tĂ© impossible de faire fuir Nicolas, elle ajouta bĂȘtement Rien ne vous fera fuir... Et si je vous disais que je vous mettais en danger, simplement en vous invitant ici ? » AussitĂŽt prononcĂ©es, la jeune femme regrettait ses paroles. Que lui prenait-il ? Non seulement, elle se dĂ©voilait, mais elle prenait des risques stupides dans l'unique but de lui faire peur et de le faire fuir, ce qui Ă©tait encore plus stupide. Vous penseriez toujours que vous vous moquez du genre de femme que j'aie pu ĂȘtre ? » Peut-ĂȘtre un peu trop froide, agacĂ©e de perdre son contrĂŽle face Ă  lui, elle rĂ©alisait sa bĂȘtise et relevait les yeux vers lui. Oubliez ce que je viens de dire, c'Ă©tait... Enfin, je n'aurais pas dĂ» dire ça ! » Elle faisait n'importe quoi, alors mettant ça sur le compte de ce verre, elle le posa sur la table basse, sans le finir - comme si ça allait changer quelque chose. Il est prĂ©fĂ©rable d'en revenir Ă  autre chose... Je... Je ne sais pas pourquoi je vous raconte tout ça, mais je sais que c'est une erreur. Donc revenons-en Ă  cette ville et Ă  sa politique, si vous voulez bien. » Souffla-t-elle avec dĂ©termination, partagĂ©e entre l'agacement parce qu'elle Ă©tait bien trop faible et la peur parce qu'elle rĂ©vĂ©lait des choses qui attisaient sa curiositĂ© plutĂŽt qu'elles ne l'effrayaient, comme elle l'espĂ©rait. Alexander Hamilton âŠč Ton univers Hamilton An American MusicalâŠč Date de naissance 11/01/1980âŠč Age 42âŠč MĂ©tier Ecrivain, chercheur en sciences politiques, polĂ©miste, travaille pour un maire qu'il n'a jamais vu...âŠč Quartier Raccoon SquareâŠč CĂŽtĂ© cƓur I don't pretend to know the challenges we're facing. But I'm not afraid. Just let me stay here by your side. That would be enough.âŠč Dons/capacitĂ©s/pouvoirs Aucun pouvoir.âŠč Pseudo LiouneâŠč Avatar Lin-Manuel MirandaâŠč Copyright Sweetie & Tumblr & KoalaVolantâŠč DisponibilitĂ©s rp Toujours disponible.âŠč Autres comptes Team Willou.âŠč Messages 563âŠč Points 166âŠč Date d'inscription 27/07/2021âŠč Notes RPS En cours Sabrina Jaime Lyra Mary Elizabeth [2] Eloise RPS TerminĂ©s Phillip Jo Orpheus Marisa Walburga David Elizabeth Elizabeth & Alexander Elizabeth Elizabeth [2] Don't be shocked when your history book mentions me I will lay down my life if it sets us free Eventually you'll see my ascendancySujet Re TerminĂ© Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre âŠč Alexander. Lun 30 Mai - 1648 Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre feat. ElizabethAlexander voudrait contredire Elizabeth, mais c’est chose impossible, car elle a absolument raison. Il parle sans savoir, en effet, car elle ne lui laisse pas, ne serait-ce qu’un instant, l’opportunitĂ©, la possibilitĂ© de savoir quoi que ce soit. Chaque fois qu’il pense effleurer quelque chose qui se rapprocherait de la vĂ©ritĂ©, ou de sa vĂ©ritĂ©, en tout cas, il la voit se dĂ©rober, se refermer. Et pourtant, dans cette façon qu’elle a de le mettre en garde, elle lui en dit sans doute davantage qu’à beaucoup d’autres. Il es des avertissements qu’il faut Ă©couter sans les contester, et sans doute, oui, Alexander Hamilton serait-il plus en sĂ©curitĂ© loin de cette femme qui le lui laisse si clairement entendre. Mais Alexander, en bonne tĂȘte brĂ»lĂ©e qu’il a toujours Ă©tĂ© et ne cessera jamais d’ĂȘtre, ne sait jamais reculer d’un pas quand la situation l’exige. Quelque chose, chez Elizabeth, le pousse invariablement dans sa direction, et un peu plus Ă  chaque fois qu’elle le repousse, comme si elle lui lançait un challenge tacite qu’il brĂ»lait de relever. Ou bien n’est-ce jamais que de l’attirance. Il ne va pas prĂ©tendre ne pas trouver sa psychiatre charmante mais il se dĂ©fend de donner une interprĂ©tation si trivial Ă  quelque chose qui lui paraĂźt bien plus viscĂ©ral, au fond
 Qu’importe ses secrets, il sait qu’il doit s’efforcer de les percer Ă  jour, pas seulement pour satisfaire Ă  sa propre curiositĂ©, mais parce qu’Elizabeth ne peut plus vivre ainsi, ce n’est tout simplement plus possible. Et peut-ĂȘtre qu’elle a besoin qu’on la bouscule, ou encore qu’on lui prouve qu’on peut arriver Ă  bien plus que ce que l’on prĂ©tend. Je vous rĂ©pondrais que je ne me sens pas en danger et que je sais parfaitement me dĂ©fendre », rĂ©pond posĂ©ment Alexander quand son interlocutrice affirme qu’elle le met en danger rien qu’en l’invitant mots forts, vraiment
 ĂȘtre associĂ© Ă  elle, de prĂšs ou de loin, vous mettrait-il en danger de mort ? Eh bien si tel devait ĂȘtre le cas
 L’alcool embrumait un esprit autrement plus Ă©clairĂ© mais constamment effrontĂ© et dont la fĂącheuse tendance Ă  toujours dĂ©passer les limites il veut prĂ©tendre qu’il ne changerait rien, absolument rien Ă  ce qui est. En vĂ©ritĂ©, cependant, il ne se moque pas vraiment du genre de femme qu’elle a pu ĂȘtre, contrairement Ă  ce qu’il prĂ©tend, sans quoi il ne serait pas Ă  ce point dĂ©terminĂ© Ă  la comprendre ce qu’il est, Ă  tout point de vie. Elle n’aurait pas dĂ» dire tout ça, affirme-t-elle, mais elle l’a dit. Et ces paroles ne sont clairement pas entrĂ©es dans l’oreille d’un sourd. Alexander a la ferme intention de les conserver en mĂ©moire et de s’empĂȘcher, autant que possible, de les oublier, justement. Mettons que votre passĂ© ne soit pas reluisant, le mien ne l’est pas davantage », reprend-il en faisant mine d’ignorer ses paroles, quand elle suggĂ©rait qu’ils en reviennent Ă  cette ville et Ă  sa politique. Et pour qu’il nĂ©glige un tel sujet, concernant lequel il s’avĂ©rait pourtant capable de monologuer des heures durant, il fallait vraiment qu’elle l’ait intriguĂ© plus que d’ordinaire. J’ai trahi une Ă©pouse qui m’estimait et compromis ma carriĂšre politique au profit d’une stupide affaire de chantage et d’adultĂšre, j’ai laissĂ© un homme d’honneur mourir en mon nom, j’ai encouragĂ© mon propre fils
 » Sa gorge se serre Ă  la mention de Philip. 
 Ă  interrompre un duel, et cela l’a condamnĂ© Ă  mort. » Il baisse la tĂȘte. Et sur le champ de bataille, j’ai fait couler plus de sang qu’il ne devrait ĂȘtre permis d’en verser. » Il marque une pause. En temps de guerre, on fait des choix. Au nom de nos convictions, on fait des sacrifices
 » Il relĂšve le regard. Vous ĂȘtes convaincue que votre vrai visage me ferait fuir, mais vous prĂ©sumez peut-ĂȘtre de la personne que je suis. » Il s’autorise une fine esquisse de sourire. Autant que de mon obstination, j’en ai peur. »Code by LaxyHistory has its eyes on youKoalaVolantSpoiler Elizabeth Tudor âŠč Ton univers Reign.âŠč Date de naissance 07/09/1988âŠč Age 33âŠč MĂ©tier psychologue, plutĂŽt mauvaise d'ailleurs.âŠč Quartier Baker Street Avenue.âŠč CĂŽtĂ© cƓur cĂ©libataire, veuve officieusement.âŠč Dons/capacitĂ©s/pouvoirs Aucun pouvoir.âŠč Pseudo halay.âŠč Avatar Rachel SkarstenâŠč Copyright ? avatar ; semper eadem gifâŠč DisponibilitĂ©s rp disponible. Clarice âŠč Camille NoĂ«l âŠč Edmund âŠč Lara âŠč Mary intrigue âŠč Alexander âŠč ...âŠč Autres comptes Sophie de RĂ©an, Amy Pond, Clarke Griffin, Anna d'Arendelle, Jodie Holmes, Hermione Weasley, Jasmine d'Agrabah & Ambrose Spellman.âŠč Messages 689âŠč Points 1846âŠč Date d'inscription 11/03/2019âŠč Notes Sujet Re TerminĂ© Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre âŠč Alexander. Mer 1 Juin - 1722 Cet homme Ă©tait, sans le moindre doute, l'homme le plus tĂȘtu qu'il lui avait Ă©tĂ© donnĂ© de rencontrer. Les efforts d'Elizabeth et ses nombreux arguments ne faisaient qu'accroĂźtre sa curiositĂ©, dĂ©jĂ  bien prĂ©sente. Les menaces qui planaient au-dessus d'elle et les rĂ©percussions dont lui pouvaient ĂȘtre la victime ne l'effrayaient pas. Il se faisait une image bien particuliĂšre de la jeune femme. ComplĂštement faussĂ©e. Une vision idĂ©alisĂ©e par ce qu'elle tentait de renvoyer lors de leurs sĂ©ances. Une vision trafiquĂ©e par ses secrets et sa volontĂ© de se cacher aux yeux de sa cousine. Pourtant, il rĂ©ussissait presque Ă  lui faire croire qu'elle pouvait ĂȘtre quelqu'un d'autre. Il rĂ©ussissait presque Ă  lui renvoyer une autre image d'elle-mĂȘme. Une image plus agrĂ©able, qu'elle apprĂ©ciait davantage, mais qui Ă©tait fausse. Il parlait sans la connaĂźtre et sans savoir. Elle savait la femme qu'elle Ă©tait. Pas lui. Elle aurait aimĂ© ĂȘtre la femme qu'il voyait, mais ce n'Ă©tait pas le cas. Alors, je vous rĂ©pondrais, Ă  mon tour, que vous ĂȘtes incroyablement tĂȘtu et bien prĂ©somptueux. » Il Ă©tait persuadĂ© de savoir se dĂ©fendre, sans mĂȘme savoir quelle menace planait au-dessus de lui. Il ne se sentait pas en danger, pour l'instant. Mais si Alexander avait Ă©tĂ© aperçu entrant ici, Mary ne mettrait pas bien longtemps Ă  s'intĂ©resser Ă  la seule personne ayant poussĂ© cette porte, hormis Elizabeth, en trois ans. Pourtant, si elle voulait l'effrayer et le faire fuir pour retourner Ă  cette solitude rassurante, il ne fuyait pas. Alors, face Ă  l'inefficacitĂ© de ses paroles, elle les regrettait. Elizabeth Ă©tait entiĂšrement responsable de cette situation. Jamais, elle n'aurait dĂ» inviter cet homme ici. Jamais, elle n'aurait dĂ» se montrer, Ă  ce point, intĂ©ressĂ©e par ce qu'il racontait. Jamais, elle n'aurait dĂ» commencer Ă  confier des choses sur sa vie. Elizabeth Ă©tait incroyablement stupide. La psy insistait alors pour revenir Ă  leurs sujets prĂ©cĂ©dents la ville et la politique. Sans s'encombrer d'un refus, Alexander poursuivait, ignorant totalement le souhait de la jeune femme. DĂ©terminĂ© Ă  lui prouver qu'elle n'Ă©tait pas la seule Ă  avoir un passĂ© compliquĂ©, il listait ses erreurs. Elizabeth ne l'interrompit pas, malgrĂ© son envie de passer Ă  autre chose, dĂ©passĂ©e par la situation. Elle l'Ă©coutait avec attention, se reconnaissant, plus qu'elle ne le devrait, en lui. Il avait trahi une Ă©pouse. Elle avait trahi, Ă  plusieurs reprises, le premier homme qu'elle avait aimĂ© pour faire passer son royaume avant tout le reste puis ses dĂ©cisions avaient conduit le deuxiĂšme homme qu'elle avait aimĂ© Ă  la mort. Elle avait failli compromettre son royaume et sa place Ă  cause de ses passions incontrĂŽlables et son impulsivitĂ©. Des gens - trop nombreux pour les compter - Ă©taient morts en son nom. Ou Ă  cause d'elle. Responsable de conflits entre l'Angleterre et l'Ecosse, elle avait conduit des hommes Ă  la mort. Des guerres, des choix et des sacrifices, elle en avait fait plus qu'il Ă©tait possible de l'imaginer. En rĂ©alitĂ©, leur vie se ressemblait sur bien des points. Pourtant, une chose les diffĂ©renciait aux yeux d'Elizabeth. Elizabeth sentait la peine lorsqu'il Ă©voquait son fils, elle sentait les regrets lorsqu'il Ă©voquait certains Ă©vĂ©nements. Dire qu'Elizabeth ne ressentait aucun regret ou aucun remord serait un mensonge, nĂ©anmoins, elle restait persuadĂ©e, aujourd'hui, que la majoritĂ© de ses dĂ©cisions Ă©taient nĂ©cessaires. Alors, ces dĂ©cisions, elle les reprendrait sans hĂ©sitation. MĂȘme les dĂ©cisions les plus Ă©goĂŻstes. Vous ĂȘtes un homme bon ayant fait de mauvais choix. » C'Ă©tait l'opinion qu'elle s'Ă©tait faite de lui au fil du temps, en tout cas. Je suis une mauvaise personne ayant fait des choix Ă©goĂŻstes. » Il Ă©tait quelqu'un de bien. Pas elle. Il avait fait des choix malheureux. Elle avait fait des choix dĂ©libĂ©rĂ©ment mauvais. VoilĂ , ce qui les diffĂ©renciait tant. Les motivations derriĂšre leurs choix. Vos choix ont Ă©tĂ© faits en fonction de vos convictions. Les miens ont Ă©tĂ© faits pour ma survie et... » mon peuple. NĂ©anmoins, elle ne pouvait lui rĂ©vĂ©ler ce fait qui rendrait ses secrets bien trop vulnĂ©rables. Aujourd'hui, vous avez rachetĂ© vos erreurs. Aujourd'hui, vous tentez de faire au mieux pour aider cette ville et ses habitants. Ne gĂąchez pas tout, Alexander. » Il ne devait pas se lancer dans un jeu si dangereux avec Elizabeth. Il perdrait. Il perdrait comme tous ses proches avaient perdu. Parce qu'Elizabeth ne le repousserait pas Ă©ternellement. Elle ne voulait mettre personne en danger, mais elle finirait par le faire et elle en avait conscience. Votre obstination ne vaudra plus grand chose lorsqu'elle vous aura conduit Ă  votre perte. » Cette fois-ci, son regard se planta dans le sien. Il n'Ă©tait plus fuyant. Le menace n'Ă©tait pas Elizabeth, pas directement, mais ses mots restaient une menace. Une menace qu'il devait comprendre une bonne fois pour toutes pour cesser de s'accrocher Ă  l'idĂ©e de dĂ©couvrir ce qu'elle cachait. Alexander Hamilton âŠč Ton univers Hamilton An American MusicalâŠč Date de naissance 11/01/1980âŠč Age 42âŠč MĂ©tier Ecrivain, chercheur en sciences politiques, polĂ©miste, travaille pour un maire qu'il n'a jamais vu...âŠč Quartier Raccoon SquareâŠč CĂŽtĂ© cƓur I don't pretend to know the challenges we're facing. But I'm not afraid. Just let me stay here by your side. That would be enough.âŠč Dons/capacitĂ©s/pouvoirs Aucun pouvoir.âŠč Pseudo LiouneâŠč Avatar Lin-Manuel MirandaâŠč Copyright Sweetie & Tumblr & KoalaVolantâŠč DisponibilitĂ©s rp Toujours disponible.âŠč Autres comptes Team Willou.âŠč Messages 563âŠč Points 166âŠč Date d'inscription 27/07/2021âŠč Notes RPS En cours Sabrina Jaime Lyra Mary Elizabeth [2] Eloise RPS TerminĂ©s Phillip Jo Orpheus Marisa Walburga David Elizabeth Elizabeth & Alexander Elizabeth Elizabeth [2] Don't be shocked when your history book mentions me I will lay down my life if it sets us free Eventually you'll see my ascendancySujet Re TerminĂ© Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre âŠč Alexander. Mer 1 Juin - 2045 Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre feat. ElizabethL’obstination d’Alexander Ă  connaĂźtre les secrets qu’Elizabeth lui dissimule n’a sans doute d’égale, ironiquement, que la tĂ©nacitĂ© d’Elizabeth Ă  ne surtout rien lui dire. Autant dire que cette conversation n’a par consĂ©quent que peu de chance d’aboutir Ă  quoi que ce soit de satisfaisant, pour l’un comme pour l’autre. Mais le politicien, tĂȘtu et tenace, ne lĂąche pas l’affaire pour autant. Peut-ĂȘtre parce que les quelques bribes d’informations qu’il est parvenu Ă  obtenir sur elle, si infimes soient-elles, le poussent Ă  se croire capable d’en obtenir davantage
 Peut-ĂȘtre simplement parce que c’est dans sa nature, et qu’il ne sait pas faire autrement. Quand Elizabeth lui fait remarquer, sans dĂ©tour et de but en blanc, qu’il est incroyablement tĂȘtu et bien prĂ©somptueux, il ne cherche pas un seul instant Ă  s’en dĂ©fendre
 bien au contraire, mĂȘme, Ă  la place, il s’autorise un lĂ©ger sourire. Ces dĂ©fauts que l’on souligne rĂ©guliĂšrement le concernant font bien souvent sa fierté  et il serait sans doute grand temps qu’il se remette en question Ă  ce sujet
 mais ça attendra. Il a visiblement nĂ©gligĂ© le peu de bon sens dont il pouvait ĂȘtre capable au moment de passer le pas de la porte de cet appartement, et Ă  prĂ©sent, il considĂšre ĂȘtre allĂ© dĂ©finitivement trop loin pour ne serait-ce qu’envisager de faire marche s’efforce de prouver Ă  son interlocutrice qu’elle est Ă  l’image qu’il se fait d’elle, la vĂ©ritĂ©, c’est que oui, il ne sait rien d’elle, et Ă  ce rythme continuera Ă  ne rien savoir. S’il la respectait vraiment comme il prĂ©tend le vouloir, il accepterait d’entendre sa parole, sa volontĂ©, voire mĂȘme de modifier le regard qu’il porte sur elle, mais il en est incapable. Si elle n’est vraiment qu’une personne mauvaise et Ă©goĂŻste, pourquoi s’obstine-t-il Ă  voir en elle cette autre, cette femme dĂ©terminĂ©e, intelligente, volontaire, aux idĂ©es novatrices qui, si elle associait son savoir au sien, pourrait bouleverser pour de bon l’échiquier politique de la ville ? Se peut-il qu’il se trompe sur toute la ligne Ă  son sujet ? Bien sĂ»r que c’est possible, mais il refuse encore d’y croire
 Leur conversation ne lui a guĂšre donnĂ© le sentiment d’avoir affaire Ă  un monstre d’égoĂŻsme, mais bel et bien de se trouver en prĂ©sence d’une personne plus humaine qu’elle ne serait capable de le reconnaĂźtre elle-mĂȘme. Mais s’il se trompait. Si en dĂ©finitive, Elizabeth n’était pas davantage que ce qu’elle a toujours montrĂ© d’elle ? Il serait sans doute temps qu’il cesse de s’acharner, alors
 Mais certains dĂ©tails l’y oblige. Ces choix qu’elle a fait pour sa survie
 ce n’est pas une si terrible motivation
 et il y a cette phrase qu’elle laisse de nouveau en suspens. Vous parlez comme un homme que j’ai bien connu », observe Alexander quand Elizabeth lui fait remarquer que son obstination ne vaudrait plus grand-chose quand elle l’aura conduit Ă  sa perte. Cet homme m’a tuĂ© », reprend-il d’une voix sans timbre, qui ne laisse pas deviner grand-chose de ce qu’il ressent vĂ©ritablement Ă  l’évocation d’Aaron Burr. Son premier ami. Son ennemi. Celui qui dĂ©plorait constamment son tempĂ©rament frondeur
 Mais mes idĂ©es ne sont pas mortes avec moi », constate-t-il seulement. Aussi, sa perte n’a pas Ă©tĂ© grand-chose si les valeurs qu’il avait cherchĂ© toutes son existence Ă  dĂ©fendre lui avaient finalement survĂ©cu. Il laisse passer un temps de pause. Il ne veut pas se soustraire Ă  la menace de ces mots. Il ressent plus que prĂ©cĂ©demment le danger dont elle avait jusqu’alors cherchĂ© Ă  l’avertir sans qu’il en tienne pour autant compte. Et malgrĂ© tout, il refuse de faire un pas de cĂŽtĂ©, il s’obstine Ă  vouloir l’entendre, Ă  vouloir la soutenir, Ă  voir en elle plus que ce qu’elle prĂ©tend ĂȘtre. A peut-ĂȘtre projeter sur elle une image qui ne lui correspond pas tout Ă  fait, mais qu’il veut voir lui correspondre
 par pure complaisance
 parce qu’il a besoin de croire que ce qu’il a perçu en elle n’était pas que le pire fruit de son imagination. Pourquoi avoir souhaitĂ© m’inviter ici si vous estimiez me mettre en danger ? Pourquoi prĂ©tendre Ă  mon amitiĂ© si vous la rejetez dĂšs l’instant oĂč je vous apporte mon soutien ? » demande-t-il aprĂšs un instant. Je me sentirais capable d’accepter d’en savoir moins que je le dĂ©sirerais Ă  votre sujet si cela me permettait de garder Ă  mes cĂŽtĂ©s cette amie brillante et fascinante que j’ai dĂ©couverte ce soir, mais je commence Ă  m’interroger quant Ă  l’intĂ©rĂȘt que vous trouverez vous-mĂȘme Ă  nos interactions. »Code by LaxyHistory has its eyes on youKoalaVolantSpoiler Elizabeth Tudor âŠč Ton univers Reign.âŠč Date de naissance 07/09/1988âŠč Age 33âŠč MĂ©tier psychologue, plutĂŽt mauvaise d'ailleurs.âŠč Quartier Baker Street Avenue.âŠč CĂŽtĂ© cƓur cĂ©libataire, veuve officieusement.âŠč Dons/capacitĂ©s/pouvoirs Aucun pouvoir.âŠč Pseudo halay.âŠč Avatar Rachel SkarstenâŠč Copyright ? avatar ; semper eadem gifâŠč DisponibilitĂ©s rp disponible. Clarice âŠč Camille NoĂ«l âŠč Edmund âŠč Lara âŠč Mary intrigue âŠč Alexander âŠč ...âŠč Autres comptes Sophie de RĂ©an, Amy Pond, Clarke Griffin, Anna d'Arendelle, Jodie Holmes, Hermione Weasley, Jasmine d'Agrabah & Ambrose Spellman.âŠč Messages 689âŠč Points 1846âŠč Date d'inscription 11/03/2019âŠč Notes Sujet Re TerminĂ© Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre âŠč Alexander. Ven 3 Juin - 1718 Si Elizabeth Ă©coutait vĂ©ritablement le fond de sa pensĂ©e, elle ne pourrait nier qu'elle apprĂ©ciait, quelque part, de voir tant de dĂ©termination Ă  la connaĂźtre. L'intĂ©rĂȘt qu'il lui portait et la vision qu'il semblait avoir d'elle Ă©taient plaisants. Elle aimerait pouvoir ĂȘtre celle qu'il dĂ©crivait. Elle aimerait pouvoir accueillir, avec joie, cet intĂ©rĂȘt et cette nouvelle amitiĂ©. Mais elle s'en empĂȘchait. Elle s'en empĂȘchait parce qu'elle se voyait comme un danger trop grand. Elle craignait de le voir se mettre en danger pour une cause dĂ©finitivement perdue elle. Ce nouveau monde lui permettait une chose ĂȘtre une meilleure personne en protĂ©geant les gens d'elle-mĂȘme. Elle tentait de rĂ©ussir, mais elle avait ses faiblesses. Sa fiertĂ©, qui l'avait poussĂ©e Ă  prouver qu'elle pouvait avoir une vie normale, avait poussĂ© Elizabeth Ă  organiser ce rendez-vous. Son envie de faire un pas vers une vie normale et d'Ă©loigner, le temps d'une soirĂ©e, cette Ă©puisante, mais rassurante, solitude, qu'elle s'infligeait depuis trois ans, l'avait poussĂ©e Ă  organiser ce rendez-vous. Sa faiblesse la poussait Ă  mettre les gens en danger, malgrĂ© toute sa bonne danger qui conduirait cet homme Ă  la mort, s'il insistait trop. Mary connaissait les faiblesses de sa cousine. Mary connaissait les moyens de pression utiles et efficaces. Et Mary n'avait aucun scrupule Ă  les utiliser. Alors, vous n'apprenez pas de vos erreurs. » RĂ©torqua la psy, lorsqu'Alexander lui confia qu'elle lui rappelait quelqu'un. Quelqu'un qui l'avait tuĂ©. A ses idĂ©es, qui lui avaient survĂ©cu, la jeune femme n'avait rien ajoutĂ©. Dans un monde comme celui-ci, elle doutait que les idĂ©es puissent lui survivre, alors s'il voulait le rendre meilleur, il devait rester en vie. Mais, peut-ĂȘtre se trompait-elle. Qu'importe, finalement. Les menaces d'Elizabeth Ă©taient claires. Soit il comprenait le danger, soit il risquait sa vie. Ce n'Ă©tait pas des paroles en l'air, ce n'Ă©tait pas pour l'intimider. C'Ă©tait pour le faire fuir et le mettre en sĂ©curitĂ© - alors que, paradoxalement, elle Ă©tait responsable de sa mise en devait l'avouer, elle se retrouvait perdue face aux questions qui suivaient. Que devait-elle - que pouvait-elle - rĂ©pondre ? Pouvait-elle ĂȘtre tout Ă  fait franche avec lui Ă  ce sujet ? Je... » Son hĂ©sitation Ă©tait Ă©vidente. Il avait rĂ©ussi Ă  la rendre hĂ©sitante, Ă  la rendre silencieuse face Ă  une question, elle, qui, habituellement, trouvait rĂ©ponse Ă  tout. Et, surtout, face Ă  des compliments qu'elle n'avait pas l'habitude de recevoir. Des mots agrĂ©ables qui lui donnaient, une fois encore, envie d'ĂȘtre cette femme qu'il voyait. De le devenir. Plus encore, elle n'avait pas envie qu'il ne pense que leurs interactions n'avaient aucune importance pour elle. C'Ă©tait faux. Elle n'avait pas pris autant de plaisir Ă  discuter depuis une Ă©ternitĂ©. Non, mĂȘme si elle ne pouvait pas lui offrir une vĂ©ritable amitiĂ©, elle ne voulait pas qu'il s'imagine que tout ça n'avait Ă©tĂ© que comĂ©die. Pourtant, peut-ĂȘtre aurait-ce Ă©tĂ© plus simple s'il le croyait, mais Elizabeth ne le voulait pas. Nos discussions me plaisent beaucoup. Elles sont ce qui est arrivĂ© de plus intĂ©ressant dans ma vie depuis bien longtemps. N'en doutez pas. Et j'aurais aimĂ©, si les circonstances le permettaient, avoir, de nouveau, ce genre de discussions avec vous... » Non, Alexander n'Ă©tait pas inintĂ©ressant et ses discussions non plus. Elle avait aimĂ© discuter avec lui, dĂ©battre de ses idĂ©es et dĂ©couvrir ce qu'il Ă©tait lorsqu'il parlait de ce qu'il aimait plus que tout. Mais, tout ça restait, malgrĂ© tout, une terrible erreur. Je vous ai invitĂ© parce que je voulais... Je voulais avoir l'occasion de... Je voulais avoir l'impression de pouvoir avoir une vie normale, le temps d'une soirĂ©e. » Admit-elle en baissant les yeux, presque honteuse d'en ĂȘtre rĂ©duite Ă  ça, lui avouant cette triste vĂ©ritĂ© plutĂŽt que de lui mentir. Mais je n'en avais pas le droit. Ce n'est qu'une preuve de mon Ă©goĂŻsme. Je savais que je vous mettais en danger, et pire encore... » Elle soufflait un bon coup, ses yeux refusant de se relever pour affronter son regard et sa rĂ©action. Je vous ai choisi parce que j'ai considĂ©rĂ© que vous Ă©tiez capable de vous dĂ©fendre si jamais ce rendez-vous vous mettez en danger. » Sa honte ne cessait de grandir, comme sa gĂȘne. Avouer Ă  quelqu'un qu'il avait Ă©tĂ© choisi et que ce rendez-vous n'avait pas Ă©tĂ© dĂ©cidĂ© naturellement, ce n'Ă©tait sans doute pas le plus agrĂ©able. Elle lui Ă©vitait, nĂ©anmoins, le reste des raisons il semblait ĂȘtre celui qui lui correspondait le plus pour passer une bonne soirĂ©e et sa conversation semblait agrĂ©able. Mieux valait qu'il la prenne uniquement pour le monstre d'Ă©goĂŻsme qu'elle Ă©tait. Et... Je me rends simplement compte que c'Ă©tait une mauvaise idĂ©e... que je n'ai pas le droit de faire ça. » VoilĂ  pourquoi elle rejetait une possible amitiĂ© qui naissait naturellement, une si bonne entente qui Ă©tait tout aussi naturelle et dans laquelle elle s’était laissĂ©e glisser sans rĂ©flĂ©chir aux consĂ©quences. Alors, il ne pouvait conserver son amitiĂ©, quand bien mĂȘme elle aimerait. Elle espĂ©rait donc que cette franchise lui permette d'obtenir ce qu'elle cherchait Ă  obtenir - sans le dĂ©sirer rĂ©ellement, pourtant - depuis quelques instants, sa fuite. Alexander Hamilton âŠč Ton univers Hamilton An American MusicalâŠč Date de naissance 11/01/1980âŠč Age 42âŠč MĂ©tier Ecrivain, chercheur en sciences politiques, polĂ©miste, travaille pour un maire qu'il n'a jamais vu...âŠč Quartier Raccoon SquareâŠč CĂŽtĂ© cƓur I don't pretend to know the challenges we're facing. But I'm not afraid. Just let me stay here by your side. That would be enough.âŠč Dons/capacitĂ©s/pouvoirs Aucun pouvoir.âŠč Pseudo LiouneâŠč Avatar Lin-Manuel MirandaâŠč Copyright Sweetie & Tumblr & KoalaVolantâŠč DisponibilitĂ©s rp Toujours disponible.âŠč Autres comptes Team Willou.âŠč Messages 563âŠč Points 166âŠč Date d'inscription 27/07/2021âŠč Notes RPS En cours Sabrina Jaime Lyra Mary Elizabeth [2] Eloise RPS TerminĂ©s Phillip Jo Orpheus Marisa Walburga David Elizabeth Elizabeth & Alexander Elizabeth Elizabeth [2] Don't be shocked when your history book mentions me I will lay down my life if it sets us free Eventually you'll see my ascendancySujet Re TerminĂ© Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre âŠč Alexander. Sam 4 Juin - 934 Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre feat. ElizabethElizabeth n’a sans doute que trop raison sur ce point les erreurs qu’il avait commises et les graves consĂ©quences qui en avaient dĂ©coulĂ© devraient naturellement dissuader Alexander de rĂ©pĂ©ter les mĂȘmes, mais il Ă©tait bien incapable de raisonner ainsi
 De mĂȘme que si son chemin devait Ă  nouveau croiser celui d’Aaron Burr, il serait sans doute capable de sombrer dans les mĂȘmes Ă©cueils qu’autrefois plutĂŽt que d’envisager qu’appliquer la loi du Talion serait le meilleur sort qu’il puisse rĂ©server Ă  celui qu’il avait autrefois considĂ©rĂ© comme un ami. Alexander n’était pas nĂ©cessairement de ceux qui pensaient qu’il y avait du bon en chacun, pourtant, c’était plus complexe que cela. Il Ă©tait surtout de ceux qui n’acceptaient pas de croire ĂȘtre susceptibles de se tromper quand leur intuition leur soufflait quelque chose. Et c’était autrement plus dangereux, bien sĂ»r. Et l’erreur, il a la ferme intention de s’y embourber jusqu’au bout, n’en dĂ©plaise Ă  son interlocutrice, qu’il confronte finalement sur ses le met Ă  prĂ©sent en garde, elle s’efforce de le faire fuir. Mais il est ici Ă  son invitation Ă  elle, et il ne l’oublie pas. Il aurait tendance Ă  trouver l’hĂ©sitation qu’elle affiche en cet instant rassurante, pas qu’il tienne Ă  la voir particuliĂšrement ainsi, mais la voir, elle qui avait Ă©tĂ© aussi catĂ©gorique jusqu’alors, afficher une certaine incertitude, lui donne le sentiment qu’en fin de compte, il ne s’est sans doute pas tant trompĂ© sur elle. Il y a ce dont elle veut le convaincre et ce que ses choix et paroles trahissent. En somme une complexitĂ© plus profonde que ce que ses avertissements catĂ©goriques pouvaient laisser entrevoir jusqu’ apprĂ©cie l’entendre confirmer que leurs discussions lui plaisent. Il l’avait immĂ©diatement ressenti et n’avait pas voulu croire – par orgueil peut-ĂȘtre – ĂȘtre le seul Ă  y trouver Ă  ce point d’intĂ©rĂȘt. Il ne sait empĂȘcher une esquisse de sourire d’étirer ses lĂšvres quand elle admet par la mĂȘme que ces discussions sont trĂšs probablement ce qu’elle a connu de plus intĂ©ressant dans sa vie depuis bien longtemps. Il veut le croire, car il en est de mĂȘme pour lui. Et quand elle affirme qu’elle aurait aimĂ© avoir de nouveau ce genre de conversations avec lui, il veut immĂ©diatement la reprendre, lui assurer que rien ne les en empĂȘche, et que mĂȘme si quelque chose devait les empĂȘcher, il empĂȘcherait cette empĂȘchement pour la seule satisfaction de profiter encre un peu de sa compagnie et de leurs Ă©changes. Il ne laissera pas cette discussion ĂȘtre leur derniĂšre, ne lui en dĂ©plaise
 et Ă  l’évidence, elle a forcĂ©ment compris, Ă  prĂ©sent, qu’il n’était pas nature Ă  lĂącher l’affaire si facilement. Si avoir une vie normale est ce que vous dĂ©sirez rĂ©ellement, Elizabeth, alors il vous faut la conquĂ©rir. Et je peux vous y aider. Je veux vous y aider. »Le simple fait qu’elle admette que tel Ă©tait son dĂ©sir est la preuve, aux yeux d’Alexander – qui se montre peut-ĂȘtre un peu trop naĂŻf en la circonstance. Il peut ĂȘtre d’une luciditĂ© et d’une intelligence Ă  toute Ă©preuve et se montrer pourtant, de par son tempĂ©rament bornĂ© et frondeur, Ă  la frontiĂšre de la naĂŻvetĂ©, parfois. Elle peut se prĂ©senter comme cruelle, dangereuse, indigne de son amitiĂ©, quand Elizabeth rĂ©vĂšle cette part d’humanitĂ© qu’elle voudrait lui dissimuler. Elle le dit elle-mĂȘme
 Elle veut simplement une vie normale, mĂȘme temporairement, et Alexander se dĂ©couvre l’envie sincĂšre de l’aider Ă  accĂ©der Ă  ce qui lui semble inaccessible. AprĂšs tout, Ă  cƓur vaillant, rien d’impossible, non ? C’est ce qu’il a toujours pensĂ©. Vous m’avez bien choisi, je suis en effet capable de me dĂ©fendre si je dois ĂȘtre en danger », reprend-il en faisant f de l’embarras de son amie. Il cherche surtout Ă  argumenter en faveur de leur amitiĂ©, il s’en rend bien compte. Peut-ĂȘtre parce qu’à lui aussi, elle lui a donnĂ© le sentiment de pouvoir mener une vie normale l’espace d’un instant. Vous avez le droit de me mettre en danger si je vous y autorise », reprend-il doucement. Je ne veux pas partir. Je le ferai si vous m’y contraignez, mais ce n’est pas ce que vous voulez vraiment, n’est-ce pas ? »Code by LaxyHistory has its eyes on youKoalaVolantSpoiler Elizabeth Tudor âŠč Ton univers Reign.âŠč Date de naissance 07/09/1988âŠč Age 33âŠč MĂ©tier psychologue, plutĂŽt mauvaise d'ailleurs.âŠč Quartier Baker Street Avenue.âŠč CĂŽtĂ© cƓur cĂ©libataire, veuve officieusement.âŠč Dons/capacitĂ©s/pouvoirs Aucun pouvoir.âŠč Pseudo halay.âŠč Avatar Rachel SkarstenâŠč Copyright ? avatar ; semper eadem gifâŠč DisponibilitĂ©s rp disponible. Clarice âŠč Camille NoĂ«l âŠč Edmund âŠč Lara âŠč Mary intrigue âŠč Alexander âŠč ...âŠč Autres comptes Sophie de RĂ©an, Amy Pond, Clarke Griffin, Anna d'Arendelle, Jodie Holmes, Hermione Weasley, Jasmine d'Agrabah & Ambrose Spellman.âŠč Messages 689âŠč Points 1846âŠč Date d'inscription 11/03/2019âŠč Notes Sujet Re TerminĂ© Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre âŠč Alexander. Mar 7 Juin - 1358 Il Ă©tait rare qu'Elizabeth se sente ainsi dĂ©stabilisĂ©e. Elle avait appris, depuis toujours, Ă  faire bonne figure et Ă  paraĂźtre sĂ»re d'elle, en toute circonstance. Garder la tĂȘte haute, ne jamais Ă©voquer ses faiblesses, rester maĂźtresse de chaque situation... Elle n'y arrivait plus aussi bien qu'autrefois. Pas avec lui. Face Ă  sa tĂ©nacitĂ© et sa dĂ©termination Ă  toute Ă©preuve, Elizabeth n'arrivait pas Ă  rester ferme. Elle ne lui voulait aucun mal, mais elle l'avait invitĂ© Ă  venir passer la soirĂ©e ici. Elle aimait tout particuliĂšrement sa prĂ©sence, mais souhaitait dĂ©sormais le voir fuir. Ses actions et sa volontĂ© ne semblaient avoir aucun sens. Elle Ă©tait simplement perdue. Perdue entre ce qu'elle Ă©tait et ce qu'elle aurait aimĂ© ĂȘtre. Perdue entre ce qu'elle devait faire et ce qu'elle aimerait faire. Lorsqu'elle avait compris que Mary Ă©tait dans ce monde, dĂ©terminĂ©e Ă  lui faire payer sa mort, Elizabeth s'Ă©tait promis qu'elle ne mettrait plus personne en danger. Elle s'Ă©tait alors enfermĂ©e dans une vie oĂč elle ne frĂ©quentait personne, en dehors de ses patients. Elle protĂ©geait les autres et se protĂ©geait des autres. La confiance Ă©tait une chose difficile Ă  accorder lorsque toute sa vie avait Ă©tĂ© faite de trahisons. Pourtant, pour une fois, elle avait voulu faire confiance. Juste le temps d'une soirĂ©e. Une soirĂ©e oĂč elle se permettait de vivre et plus simplement survivre. Une soirĂ©e oĂč elle avait dĂ©cidĂ© d'inviter cet homme, soigneusement choisi. Mais mĂȘme cet aveu, mĂȘme cette information ne le faisait pas fuir. Elizabeth commençait Ă  se demander s'il existait une chose capable de faire fuir Alexander - et se dire que non n'Ă©tait pas dĂ©plaisant, mĂȘme si elle se refusait Ă  l'admettre. Elizabeth n'arrĂȘtait plus de dire des choses qu'elle regrettait presque aussitĂŽt. Non, elle n'avait pas le droit de trouver cette tĂ©nacitĂ© agrĂ©able. Non, elle n'avait pas le droit d'apprĂ©cier plus que de raison leur conversation. Elizabeth se connaissait. Elle allait cĂ©der. Elle allait cĂ©der Ă  son envie d'en faire son ami et de le garder dans sa vie. Elle cĂ©derait puis elle en payerait le prix. Et, en plus de tout le reste, elle avait peur. Peur d'ĂȘtre trahie. Déçue. BlessĂ©e. Peur parce que la peur Ă©tait le seul moteur qu'elle connaissait. Le seul capable de la garder en vie depuis toutes ces annĂ©es. On ne peut pas toujours obtenir ce que l'on veut. » Souffla-t-elle comme une Ă©vidence. Elle voulait une vie normale. Elle la voulait plus que tout. Avant le retour de sa cousine dans sa vie, elle s'Ă©tait imaginĂ©e vivre normalement. Loin de la cour, du pouvoir, des complots, elle s'Ă©tait imaginĂ©e devenir celle qu'elle aurait aimĂ© et avoir la vie qu'elle voulait. Pourtant, le vouloir ne garantissait pas de l'obtenir, malheureusement pour elle. Longtemps, elle avait cherchĂ© son propre bonheur et, Ă  chaque fois, ses espoirs avaient Ă©tĂ© ruinĂ©s. Elle ne me laissera jamais faire. » Jamais Mary ne lui permettrait d'ĂȘtre heureuse et de mener une vie normale parce qu'elle cherchait Ă  se venger, Ă  tout prix - Ă  juste titre, sans doute. Alors il pouvait essayer de l'aider tant qu'il le pouvait, il n'y pourrait rien. A son plus grand ne put empĂȘcher un sourire discret lorsqu'il lui affirma qu'elle avait bien choisi parce qu'il Ă©tait, en effet, capable de se dĂ©fendre. Il ne doutait vraiment de rien et son assurance, bien qu'agaçante parfois, n'Ă©tait pas pour lui dĂ©plaire. Ses rĂ©ponses effaçaient presque la gĂȘne et la honte d'Elizabeth face Ă  ses aveux. Vous ignorez tout de ce danger et, pourtant, vous semblez si sĂ»r de vous... Vous donnez envie de croire en tout ce que vous dĂźtes... » Il aurait dĂ» se retrouver surpris, Ă©tonnĂ©, blessĂ© Ă  cette idĂ©e. Il n'en Ă©tait rien. Il lui donna mĂȘme l'autorisation de le mettre en danger. Etait-il stupide ou infiniment dĂ©terminĂ© Ă  faire ce qu'il avait en tĂȘte ? Il refusait la fuite, persuadĂ© que ce n'Ă©tait pas ce qu'elle voulait. Il avait raison. Alors, soit elle mentait en lui assurant qu'elle voulait le voir partir, soit elle confirmait que ce n'Ă©tait pas vraiment ce qu'elle voulait. Dans un cas comme dans l'autre, elle ne voyait aucune solution parfaite. La premiĂšre la forçait Ă  mentir Ă  un homme qu'elle apprĂ©ciait. La seconde allait sans doute faire rester, et mettre en danger, un homme qu'elle apprĂ©ciait. Vous vous engagez sur un chemin dangereux... Mais peut-ĂȘtre fuirez-vous enfin aprĂšs avoir affrontĂ© le danger en face... » Elle espĂ©rait, bien sĂ»r, qu'ils n'en arrivent pas lĂ , mais s'il s'obstinait, il y avait peu de chances de voir Mary l'ignorer totalement. Mais je ne vous demanderai plus de partir puisque, vous avez raison, je n'en ai pas envie... Alors, soit, restez. Restez et mettez-vous en danger. Laissez-moi vous mettre en danger si cela vous est Ă©gal. Mais c'est votre choix. Plus le mien. » Qu'il le lui permette ou non, elle n'avait pas le droit de faire ça. Mais s'il voulait jouer Ă  ce jeu dangereux, elle ne pouvait - et ne voulait - pas l'en empĂȘcher. NĂ©anmoins, il devenait responsable de son propre sort - en partie - puisqu'Elizabeth l'avait suffisamment mis en garde, selon elle. Je ne vous demanderai qu'une chose dĂ©fendez-vous aussi bien qu'il est possible de le faire. Ne m'infligez pas la douleur de perdre un ami. » Souffla-t-elle, le rendant plus coupable que victime s'il tombait entre les mains de Mary. Je ne plaisante pas. Je vous interdis de mourir. » Confia-t-elle en tentant de sourire face Ă  cette vĂ©ritĂ©, comme s'il Ă©tait en position de choisir. Alexander Hamilton âŠč Ton univers Hamilton An American MusicalâŠč Date de naissance 11/01/1980âŠč Age 42âŠč MĂ©tier Ecrivain, chercheur en sciences politiques, polĂ©miste, travaille pour un maire qu'il n'a jamais vu...âŠč Quartier Raccoon SquareâŠč CĂŽtĂ© cƓur I don't pretend to know the challenges we're facing. But I'm not afraid. Just let me stay here by your side. That would be enough.âŠč Dons/capacitĂ©s/pouvoirs Aucun pouvoir.âŠč Pseudo LiouneâŠč Avatar Lin-Manuel MirandaâŠč Copyright Sweetie & Tumblr & KoalaVolantâŠč DisponibilitĂ©s rp Toujours disponible.âŠč Autres comptes Team Willou.âŠč Messages 563âŠč Points 166âŠč Date d'inscription 27/07/2021âŠč Notes RPS En cours Sabrina Jaime Lyra Mary Elizabeth [2] Eloise RPS TerminĂ©s Phillip Jo Orpheus Marisa Walburga David Elizabeth Elizabeth & Alexander Elizabeth Elizabeth [2] Don't be shocked when your history book mentions me I will lay down my life if it sets us free Eventually you'll see my ascendancySujet Re TerminĂ© Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre âŠč Alexander. Mer 8 Juin - 1821 Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre feat. ElizabethMalheureusement, il est un point sur lequel Alexander sera bien incapable de donner tort Ă  son interlocutrice. On ne peut pas toujours obtenir ce que l’on veut. On peut se battre pour cela, de toutes ses forces, mais on ne peut dĂ©finitivement pas obtenir prĂ©cisĂ©ment ce que l’on veut Ă  chaque fois qu’on aura formulĂ© ce dĂ©sir, sous le prĂ©texte de s’ĂȘtre battu pour. Mais quand bien mĂȘme la tĂąche pourrait sembler impossible, le pĂšre fondateur estime qu’il ne sera jamais bain de se battre, quitte Ă  Ă©chouer. C’est ainsi – et seulement ainsi – que l’on pourra ĂȘtre certain que la chose Ă©tait inĂ©vitable. Sans quoi l’on se demandera toujours s’il aurait Ă©tĂ© possible de faire quoi que ce soit. Telle est la philosophie du politicien, une philosophie qui a de nombreuses failles, mais qu’il rejettera en bloc Ă  l’heure de vouloir convaincre sa nouvelle amie de la garder dans sa vie. Il refuse de renoncer Ă  la complicitĂ© qui se tisse doucement entre eux, sous aucune forme de prĂ©texte, ce serait, Ă  ses yeux, nouveau, elle prononce ce elle » sans spĂ©cifier de qui il s’agit plus prĂ©cisĂ©ment, et une fois de plus, Alexander veut en demander davantage et s’abstient pourtant. Il a bien compris qu’insister dans ce sens reviendrait Ă  repousser des limites qu’Elizabeth ne se sent pas capable de franchir. Certes, une part de lui veut croire, assez Ă©goĂŻstement, que tĂŽt ou tard, elle finira par tout lui dire
 il ne devrait sans doute pas trop y compter, mais il se repose pourtant sur cette Ă©ventualitĂ©, comme s’il devait s’agir de la plus stricte Ă©vidence. Au fond, peut-ĂȘtre croit-il vraiment un peu trop que l’on peut toujours obtenir ce que l’on veut. Ou en tout cas la plupart du daigne tĂŽt ou tard lui apprendre la vĂ©ritĂ© u non, cela ne change rien Ă  ses yeux. Oui, sans rien savoir du danger, Alexander ne flanche pas, il reste sĂ»r de lui. Elizabeth l’avait dit elle-mĂȘme, elle l’avait imaginĂ© capable de se dĂ©fendre, et elle a tout Ă  fait raison de l’avoir cru, car il l’est. Il n’a pas survĂ©cu aussi longtemps qu’il l’aurait voulu, pas suffisamment du moins pour pouvoir observer toutes les consĂ©quences de ses actions, mais bien assez du moins pour savoir s’ĂȘtre battue fiĂšrement contre les bonnes personnes et ne pas avoir Ă  rougir de son aptitude Ă  faire front face au danger. Il recommencera s’il le faut. Et il le faut, car en cet instant, que ce soit par orgueil ou par attachement, il refuse catĂ©goriquement de renoncer Ă  Elizabeth. En politique, c’est une nĂ©cessitĂ© », observe Alexander avec un rien d’humour quand son interlocutrice remarque que l’on a envie de croire en tout ce qu’il dit. Pas qu’il se prĂ©sente comme un baratineur. Il a toujours Ă©tĂ© honnĂȘte, trop honnĂȘte pour son propre bien d’ailleurs, et il n’aurait pas vu d’intĂ©rĂȘt Ă  exprimer autre chose que ses convictions les plus profondes. NĂ©anmoins, Alexander peut bien admettre qu’il faut savoir parler et surtout ĂȘtre Ă©coutĂ© si l’on veut caresser quelque ambition politique que ce soit – c’est mĂȘme une Ă©vidence, Ă  dire vrai. Il ne retient pas le lĂ©ger sourire qui Ă©tire ses lĂšvres quand elle confirme qu’elle n’a pas l’intention de le laisser partir – et surtout, qu’elle n’en a pas l’envie. Il assumera tout Ă  fait d’en avoir fait le choix si le danger doit bel et bien se prĂ©senter, et il ne s’en inquiĂšte pas un seul instant. Alexander fait fi de ses mises en garde, c’est chose admise, et dorĂ©navant, ce qu’il adviendra de lui pour cette raison ne dĂ©pend plus tout Ă  fait d’elle et complĂštement de lui. Prendre un risque dont il ne mesure pas l’ampleur bien sĂ»r que c’est lĂ  le choix que devait naturellement faire Alexander. Puisque c’est un ordre, j’obĂ©irai », rĂ©pond-il avec une solennitĂ© qui semblerait presque excessive s’il ne voulait laisser entendre Ă  son interlocutrice combien il prend son propos au ce qu’il devine du souci qu’elle se fait pour lui, et en dĂ©pit du danger dont il est averti, Alexander trouve mĂȘme une certaine forme de satisfaction, en rĂ©alitĂ©. MĂȘme si une prĂ©occupation demeure nĂ©anmoins. Combien aura-t-il fallu qu’elle perde de personnes chĂšres Ă  son cƓur pour tant s’inquiĂ©ter de la survie des quelques personnes qu’elle s’autorise encore Ă  cĂŽtoyer. Puisqu’il est maintenant admis que tous les risques sont pris, m’autorisez-vous une seule question ? Une unique question, et je ne vous en poserai plus d’autre, c’est promis. » Il marque une pause. Je voudrais seulement connaĂźtre le nom de cette Elle qui vous tourmente. »Code by LaxyHistory has its eyes on youKoalaVolantSpoiler Elizabeth Tudor âŠč Ton univers Reign.âŠč Date de naissance 07/09/1988âŠč Age 33âŠč MĂ©tier psychologue, plutĂŽt mauvaise d'ailleurs.âŠč Quartier Baker Street Avenue.âŠč CĂŽtĂ© cƓur cĂ©libataire, veuve officieusement.âŠč Dons/capacitĂ©s/pouvoirs Aucun pouvoir.âŠč Pseudo halay.âŠč Avatar Rachel SkarstenâŠč Copyright ? avatar ; semper eadem gifâŠč DisponibilitĂ©s rp disponible. Clarice âŠč Camille NoĂ«l âŠč Edmund âŠč Lara âŠč Mary intrigue âŠč Alexander âŠč ...âŠč Autres comptes Sophie de RĂ©an, Amy Pond, Clarke Griffin, Anna d'Arendelle, Jodie Holmes, Hermione Weasley, Jasmine d'Agrabah & Ambrose Spellman.âŠč Messages 689âŠč Points 1846âŠč Date d'inscription 11/03/2019âŠč Notes Sujet Re TerminĂ© Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre âŠč Alexander. Sam 11 Juin - 1451 Devrais-je me mĂ©fier alors ? » Elizabeth souriait, malgrĂ© la situation actuelle et les risques avec lesquels ils Ă©taient en train de jouer tous les deux. Il avait ce don, il vous donnait envie de le croire, quoi qu'il dise. Les mots qu'il utilisait, le ton qu'il employait, la façon dont il vous fixait... Tout donnait envie de croire en chacun de ses mots. Il pourrait raconter les pires mensonges qu'Elizabeth finirait par croire en ce qu'il disait, elle en Ă©tait persuadĂ©e. Elle se laissait persuadĂ©e bien trop facilement lorsqu'elle se sentait bien. Le jeu auquel elle Ă©tait en train de jouer n'en Ă©tait alors que plus dangereux. Ce don, chez lui, n'avait rien d'Ă©tonnant. Il le disait lui-mĂȘme, c'Ă©tait un trait nĂ©cessaire pour faire de la politique - et Elizabeth savait parfaitement de quoi il parlait. Parler et mentir. Deux choses nĂ©cessaires et indissociables, selon elle. Il Ă©tait courant de mentir. D'arranger la vĂ©ritĂ©. Alors, peut-ĂȘtre Ă©tait-il prĂ©fĂ©rable de ne pas croire bĂȘtement en tout ce qu'il disait ? Peut-ĂȘtre devait-elle faire preuve d'un peu d'intelligence en restant sur ses gardes plutĂŽt qu'en se laissant tomber dans ses promesses agrĂ©ables ?Elizabeth abandonnait son sourire pour retrouver son sĂ©rieux. Elle n'avait pas envie de le voir partir, il avait raison. Peut-ĂȘtre qu'elle Ă©tait seule depuis trop longtemps ? Peut-ĂȘtre qu'il Ă©tait trop difficile de renoncer Ă  cette agrĂ©able compagnie ? Qu'importe, elle lui cĂ©dait. Elle cĂ©dait Ă  son dĂ©sir de rester lĂ , malgrĂ© le danger, auprĂšs d'elle. Elle cĂ©dait parce qu'elle en avait envie et besoin. Elle cĂ©dait malgrĂ© la peur et le danger. Il avait donc vu juste et elle le confirmait. Mais s'il ne partait pas, mĂȘme en connaissant le danger, il devenait responsable de ses choix et de ce qui allait peut-ĂȘtre suivre. Il Ă©tait vrai qu'elle l'avait mis en danger la premiĂšre, en l'invitant ainsi, en lui confiant ce qu'elle n'aurait jamais dĂ» lui confier... NĂ©anmoins, malgrĂ© ses nombreuses mises en garde, il restait. Alors, il Ă©tait dĂ©sormais question de son choix. Un choix qu'il regretterait bien vite lorsque Mary mettrait son nez dans toutes leurs histoires. Un choix qui deviendrait difficile Ă  supporter pour Elizabeth, s'il venait Ă  lui arriver quelque chose. C'Ă©tait d'ailleurs sa seule exigence dĂ©sormais, qu'il reste en vie. Elle ne voulait pas le voir mourir Ă  cause d'elle, parce qu'alors, il lui infligerait la terrible douleur d'avoir perdu quelqu'un, mais aussi celle de se sentir responsable. Il lui assurait alors qu'il obĂ©irait Ă  cet ordre. Son assurance rassurait Ă©trangement Elizabeth, comme s'il venait de faire une promesse qu'il Ă©tait capable de tenir. Et elle l'espĂ©rait sincĂšrement. Elle espĂ©rait sincĂšrement ne pas le voir prendre de risques inconsidĂ©rĂ©s et stupides. Elle espĂ©rait ne pas le voir se mettre en danger. Elle espĂ©rait qu'il resterait en vie parce qu'elle aimait sa compagnie et se dĂ©couvrait capable de s'ouvrir un peu Ă  ce nouveau monde, Ă  son voulait alors lui poser une autre question. Une seule. La derniĂšre. Pour le moment. Une derniĂšre question, mais pas des moindres. Elizabeth n'Ă©tait pas certaine d'avoir envie de rĂ©pondre Ă  cette question. A quel point mettait-elle en danger ses secrets en rĂ©vĂ©lant cette information ? Avec un simple nom, que pouvait-il faire ? Ce n'Ă©tait pas une dĂ©cision Ă  prendre Ă  la lĂ©gĂšre. Elle en avait dĂ©jĂ  tellement dit, mais sans rien rĂ©vĂ©ler de prĂ©cis en mĂȘme temps. Elizabeth l'avait longuement fixĂ©. Silencieuse. Ses pensĂ©es se bousculaient. Sa rĂ©ponse changeait en permanence. Pourquoi ressentait-elle l'envie de lui dire, malgrĂ© tout ? Pourquoi donner tant d'informations alors que, depuis trois ans presque, elle Ă©tait capable de se taire, d'inventer et de mentir. Pourquoi n'en Ă©tait-elle pas capable avec lui ? Mary. » Lança-t-elle finalement dans un souffle, comme un secret qu'elle rĂ©vĂ©lait avec difficultĂ©. Ce nom sortait toujours difficilement d'entre ses lĂšvres, ce n'Ă©tait qu'un murmure Ă©touffĂ©. Ne comptez pas sur moi pour avoir un nom de famille, en revanche. » Un prĂ©nom suffisait amplement, selon elle. Avec un nom, il aurait alors bien trop d'informations et pourrait se mettre Ă  faire des recherches. Si un jour vous deviez vous trouver face Ă  elle, ne vous fiez pas Ă  l'innocence qu'elle dĂ©gage. Elle est impitoyable. » Au moins autant qu'elle - mĂȘme si elle ne comptait pas le lui prĂ©ciser. Il s'Ă©tait laissĂ© abusĂ© par ce qu'Elizabeth essayait de transmettre en se faisant passer pour une autre, il cĂ©derait aux mĂȘmes dĂ©sirs, bien plus rapidement, avec Mary. Elizabeth connaissait parfaitement sa cousine et l'effet qu'elle avait sur les gens. Elle restait donc persuadĂ©e que quiconque rencontrerait Mary prendrait sa dĂ©fense face Ă  Elizabeth et les atrocitĂ©s qu'elle avait commises. Je me battrai Ă  vos cĂŽtĂ©s... » Avait-elle fini par dire, aprĂšs un court silence, comme une promesse. Pour cette ville, pour vos projets politiques... Je resterai Ă  vos cĂŽtĂ©s. » Sa volontĂ© ne faisait aucun doute. Il Ă©tait prĂȘt Ă  se battre pour la cause perdue qu'elle Ă©tait, elle se battrait pour la cause d'Alexander, Ă  son tour. Il venait de lui offrir une chose prĂ©cieuse une chance de goĂ»ter Ă  autre chose que la peur, la solitude et l'enfermement. Alors, elle pouvait lui rendre une partie de ce qu'il lui donnait - d'autant qu'il s'agissait d'une chose qui l'intĂ©ressait tout particuliĂšrement. Alexander Hamilton âŠč Ton univers Hamilton An American MusicalâŠč Date de naissance 11/01/1980âŠč Age 42âŠč MĂ©tier Ecrivain, chercheur en sciences politiques, polĂ©miste, travaille pour un maire qu'il n'a jamais vu...âŠč Quartier Raccoon SquareâŠč CĂŽtĂ© cƓur I don't pretend to know the challenges we're facing. But I'm not afraid. Just let me stay here by your side. That would be enough.âŠč Dons/capacitĂ©s/pouvoirs Aucun pouvoir.âŠč Pseudo LiouneâŠč Avatar Lin-Manuel MirandaâŠč Copyright Sweetie & Tumblr & KoalaVolantâŠč DisponibilitĂ©s rp Toujours disponible.âŠč Autres comptes Team Willou.âŠč Messages 563âŠč Points 166âŠč Date d'inscription 27/07/2021âŠč Notes RPS En cours Sabrina Jaime Lyra Mary Elizabeth [2] Eloise RPS TerminĂ©s Phillip Jo Orpheus Marisa Walburga David Elizabeth Elizabeth & Alexander Elizabeth Elizabeth [2] Don't be shocked when your history book mentions me I will lay down my life if it sets us free Eventually you'll see my ascendancySujet Re TerminĂ© Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre âŠč Alexander. Dim 12 Juin - 851 Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre feat. ElizabethPour le sourire d’Elizabeth, aussi rare que prĂ©cieux, Alexander sait se convaincre une bonne fois pour toutes de prendre la bonne dĂ©cision, en insistant pour la soutenir quoi qu’il en soit, en dĂ©pit des circonstances et de ce que cela peut bien reprĂ©senter pour lui. Il sourit en retour quand elle suggĂšre qu’elle devrait peut-ĂȘtre se mĂ©fier Ă©galement quand il suggĂšre que cela fait partie de lui que de s’arranger pour ĂȘtre convaincant et de donner envie de croire en tout ce qu’il affirme. Cela ne l’empĂȘche cependant pas d’ĂȘtre sincĂšre. Et de sa part, non, Elizabeth n’a rien Ă  craindre, et encore moins Ă  se mĂ©fier. Peut-il prĂ©tendre que ses intentions envers elle sont tout Ă  fait pures ? Peut-ĂȘtre pas, car lui-mĂȘme ne sait – ou bien ne veut – mettre de mots plus prĂ©cis sur ce qui motive Ă  ce point le comportement qui est le sien en cet instant. Il sait seulement que sa dĂ©termination ne saurait ĂȘtre brimĂ©e ou entravĂ©e par quoi que ce soit. Il a la ferme intention d’aller au bout de ses convictions, elle en fait entiĂšrement partie, Ă  prĂ©sent, et sentir qu’elle accepte progressivement cette idĂ©e en mĂȘme temps qu’elle l’accepte dans sa vie a quelque de plutĂŽt grisant, en vĂ©ritĂ©. Faire confiance oblige Ă  baisser sa garde, ne serait-ce qu’un peu, et c’est un effort qu’ils font l’un et l’autre pour la simple satisfaction de ne pas mettre un terme Ă  cette entrevue, et de ne pas empĂȘcher les il pose cette question dont il sait qu’elle la trouverait indiscrĂšte, il s’attend Ă  ce qu’elle refuse catĂ©goriquement de lui rĂ©pondre, qu’elle ne lui donne pas le nom de cette femme qui pourrait dĂ©cider de sa vie ou de sa mort. Un silence suit sa question, qui laisse supposer Ă  Alexander qu’Elizabeth refusera de lui rĂ©pondre. Silencieusement, il commence dĂ©jĂ  Ă  l’accepter – temporairement, du moins, car il cherchera nĂ©cessairement Ă  revenir Ă  la charge plus tard. Mais ce n’est pas le cas. Elle ne lui donne qu’un prĂ©nom. Mary. Un prĂ©nom, ce n’est trois fois rien, un prĂ©nom aussi classique que Mary » d’autant plus, pourtant, il accepte de s’en contenter, fait si rare chez lui. Non que sa curiositĂ© soit complĂštement assouvie c’est loin, trĂšs loin d’ĂȘtre le cas, mais il admet en revanche qu’il serait plus qu’inutile, en vĂ©ritĂ©, d’insister davantage. Elle fait dĂ©jĂ  preuve d’une sorte de franche rĂ©signation en acceptant de lui faire cette confidence qu’elle n’avait sans doute jamais faite auparavant, il se doit de la prendre pour ce qu’elle est une marque de confiance qu’il fera tout pour mĂ©riter, Ă  prĂ©sent. Comment saura-t-il s’il s’agit d’elle s’il doit se retrouver face Ă  elle ? Devra-t-il vraiment se dĂ©fier dorĂ©navant de toutes les Mary qui croiseront sa route. Ce qu’il sait en revanche, c’est qu’il ne se laissera pas abuser. Il sait qu’un visage innocent peut dissimuler les vices les plus remarquables, il sait tout autant qu’un homme que vous preniez autrefois pour un ami pourra ne pas hĂ©siter Ă  vous abattre d’une balle en plein cƓur. Alexander n’a que la parole d’Elizabeth, et celle-ci ne devrait peut-ĂȘtre pas lui suffire, mais Alexander dĂ©cide de l’écouter et de la croire. Il veut dire quelque chose, lui promettre de ne pas se fier Ă  l’apparence peut-ĂȘtre innocente ou charmante de celle qu’elle redoute tant, mais en fin de compte, seuls lui importent les derniers mots qu’elle prononce, et qui ont Ă  ses yeux quelque chose de grisant, qui la lui rendent en rĂ©alitĂ© diablement sĂ©duisante. Elle se battra Ă  ses cĂŽtĂ©s
 Il ne retient que ça. Je ne pouvais espĂ©rer meilleure alliĂ©e que vous », rĂ©pond Alexander avec conviction. Ne serait-il pas biaisĂ© par la nature plus profonde de leur conversation, ou simplement par cette impression de solitude qu’il a lui aussi ressentie, tout comme elle, bien qu’à une autre Ă©chelle. Je suis au regret en revanche qu’en gagnant une alliĂ©e, je vous fasse perdre un patient. » Il esquisse un fin sourire. Je vous prĂ©fĂšre bien davantage en amie qu’en thĂ©rapeute. » Il reprend, affublĂ© de cette verve qui lui ressemble tant. Je suis en revanche au regret de vous apprendre que je suis tout aussi tenace en amitiĂ© qu’en politique et qu’il vous faudra supporter ma compagnie plus qu’il n’est peut-ĂȘtre tolĂ©rable de le faire. Et sans rĂ©munĂ©ration financiĂšre », plaisante-t-il ensuite. Enfin, je vous rĂ©munĂ©rerai en tant qu'associĂ©e, bien sĂ»r. »Code by LaxyHistory has its eyes on youKoalaVolantSpoiler Contenu sponsorisĂ© Sujet Re TerminĂ© Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre âŠč Alexander. TerminĂ© Parce qu'il faut parfois rĂ©apprendre Ă  vivre âŠč Alexander. Page 2 sur 3Aller Ă  la page 1, 2, 3 Permission de ce forumVous ne pouvez pas rĂ©pondre aux sujets dans ce forumMAD WORLD LA VILLE Baker Street Avenue ResidencesSauter vers
\n \n quel personnage de one piece est ton petit ami
Ace Luffy, un jour, nous partirons en mer, nous quitterons ce royaume ! Et nous serons libres ! Ce que je veux, c'est dĂ©couvrir le monde et Ă©crire nos mĂ©moires sur nos aventures ! Sabo Ă  Ace et Luffy Sabo (ă‚”ăƒœ, Sabo) est le deuxiĂšme membre le plus important de l'ArmĂ©e RĂ©volutionnaire derriĂšre Monkey D. Dragon, il est le frĂšre spirituel de Monkey D. Luffy et Portgas D. Ace et le

On trouve un peu de tout dans One Piece des personnages moches, des robots, des animaux bizarres et des endroits tous aussi dĂ©paysants les uns que les autres. Mais One Piece reste un manga, et dans les mangas on y trouve toujours des jolies filles. TantĂŽt fragiles, tantĂŽt mĂ©chantes, souvent dĂ©terminĂ©es et tout le temps classes, les personnages fĂ©minins de One Piece sont loin de laisser le lecteur indiffĂ©rent, florilĂšge. Nami Le personnage fĂ©minin majeur de la saga gagne un bon tour de poitrine et Ă©gard quelques vĂȘtements au bout de bientĂŽt 70 tomes, on ne va pas s'en plaindre. Source photo Tumblr Nico Robin L'autre personnage fĂ©minin de l'Ă©quipage du chapeau de paille. Nico Robin est aussi le seul personnage Ă  ne pas avoir Ă©tĂ© trop tournĂ© en ridicule par son auteur. Source photo Tumblr Boa Hancock ForcĂ©ment, quand t'es impĂ©ratrice d'un royaume amazone t'as une place dans le top 3 direct, mais elle un aussi deux gros atouts. Source photo Tumblr Shirahoshi Les deux seules choses qu'on peut reprocher Ă  la princesse sirĂšne seraient d'ĂȘtre un poil disproportionnĂ©e et d'avoir un requin dĂ©bile pour animal de compagnie. Source photo Tumblr Kalifa Ce membre du CP-9 a le pouvoir de rendre propre tout ce qu'elle touche. Vu qu'elle gĂšre aussi pour botter des fesses il vaut mieux rĂ©flĂ©chir deux fois avant de lui demander de faire la vaisselle. Source photo Tumblr Vivi Nerfertari Princesse du royaume aride d'Alabasta et ancien membre de l'Ă©quipage du chapeau de paille, possĂšde un canard en guise de monture. Source photo Tumblr Sadi Gardienne de prison et personnage le plus "Cuir-cuir-moustache" du manga. Source photo Tumblr Camie Le meilleur ami de ce personnage est une Ă©toile de mer avec des lunettes de soleil, ça ne s'invente pas. Source photo Tumblr Tashigi Membre de la marine intĂšgre et Ă©pĂ©iste expĂ©rimentĂ©e, le plus grand mystĂšre de Tashigi est de savoir comment elle fait pour vivre en pleine mer dans un navire oĂč elle est la seule exeption fĂ©minine. Source photo Tumblr Conis Quand l'Ă©quipage du chapeau de paille arrivent sur skypiea, l'Ăźle cĂ©leste, ils croisent la route de la charmante Conis, autochtone de l'Ăźle qui, comme tous ses habitants, a des ailes d'ange et l'habitude de finir ses phrases par "Heso" "Nombril" en traduction littĂ©rale, on attend toujours les explications de l'auteur. Source photo Tumblr Arrivent ensuite Peronna, Alvida et Baby 5, vous en voyez d'autres Ă  rajouter ? Source photo Tumblr Source image Ă  la une Anime Full Ligths

CeSamedi 10 aoĂ»t est une journĂ©e spĂ©ciale top 10 sur mondoblog. j’ai donc pensĂ© Ă  faire une liste de personnages que je considĂšre comme les plus puissants shinobis dans l’univers de Masashi Kishimoto, Naruto Shippuden. Je suis sĂ»r que certains fans de l’anime qui liront ce classement ne seraient pas d’accord car des personnages puissants, il en existe une 1 Es-tu un homme ou une femme ? Homme Femme 2 Aides-tu la personne qui vient de tomber devant toi sachant que tu ne la connais pas ? Oui Non Je rigole... 3 Tu viens de manger et tu es le premier Ă  demander Ă  manger 1 heure aprĂšs. Oui Non est un service gratuit financĂ© par la publicitĂ©. Pour nous aider et ne plus voir ce message 4 Es-tu Ă©goĂŻste ? Oui Non 5 Es-tu prĂȘt Ă  tout pour un ami ? Oui Non Cela dĂ©pend de qui c'est 6 Aimes-tu la vie que tu mĂšnes ? Oui Non Je ne sais pas. 7 Une fille trĂšs belle ou un garçon trĂšs beau est dans la rue, que fais-tu ? Tu vas l'accoster. Tu la/le regardes mais tu ne fais pas que ça. Tu ne fais rien. 8 As-tu peur des animaux ou des gens que tu n'as jamais vus ? Oui Non
quel personnage de one piece est ton petit ami
HĂ©las la triste rĂ©alitĂ© nous a vite rattrapĂ©s nous ne sommes que de simples moldus. Afin d’apporter un peu de magie dans votre quotidien, la rĂ©daction a dĂ©cidĂ© de vous concocter un test de personnalitĂ©. Extrait de la saga Harry Potter. De gauche Ă  droite : Hermione, Harry et Ron. CrĂ©dit Photo : Warner Bros. TOUTES LES PUBLICATIONSCette publication est 5 de vos personnages prĂ©fĂ©rĂ©s1- Shanks 2- Monkey D. Dragon 3- Roronoa Zoro 4- Amiral Isshƍ "Fujitora" 5- Magellan / Dracule Mihawk modifiĂ©e par les administrateursJ'ai pas d'ordre mais voici 5 personnages qui sortent du lot Luffy , Law , Doflamingo , Akainu , Barbe Blanche J'aime beaucoup Caesar qui me fait bien rire J'aime bien Big Mom Ă©galement contrairement Ă  beaucoup modifiĂ©e par les administrateurs a Ă©crit Pour ceux qui ont votĂ© Sanji, vous percevez le personnage comment maintenant ? Vu la frustration sur son manque de participation aux combats j'aurais plutĂŽt cru que sa cĂŽte baisserait. Sinon moi parmis mes favoris en Ă©liminant les trop facile comme Zoro Mihawk les amiraux ou empereurs SN etc... Je voterais Mr2 Kuma Usopp Shiliew et Rayleigh Sanji est mon perso preferĂ© , il est vraie qu'il lui manque son combat power-up dans l'arc whole cake Vs ichiji Mais son devellopement dans l'arc etait trĂ©s touchant , Un personnage trĂ©s naif et maladroit qui se fait manipulĂ© par tout le monde et qui l'accepte dans le but de proteger son vrai pĂ©re et ses amis ... Comme l'a dit sa soeur, sanji Ă  un enorme coeur , aprĂ©s cette arc je considĂ©re sanji comme le personnage le plus gentil nottament envers les femmes de tout le manga . J'attend la fin de l'arc avec j'espere un combat , Je reve probablement mais avec un ichiji , ca serait parfait . modifiĂ©e par Itchigo74Ussop Baggy Mr 2 Bartho Luffy Sanji Brook Garp Hancock Hannyabal Vu que j'aime les persos un peu barrĂ©, mention spĂ©ciale Ă  Wanze! D modifiĂ©e par Un utilisateur de Fandom1-Zoro 2-Kuzan 3-Luffy 4-Shanks 5-Rob Lucci Actuellement je surveille Sabo de prĂšs... modifiĂ©e par Mythic-ZoroJ'ai pas vraiment d'ordre non plus, mais je dirais -Monet -Zoro -Robin -Crocodile/Ener -Baggy modifiĂ©e par Un utilisateur de FandomMes personnages prĂ©fĂ©rĂ©s dans l'ordre Sanji Personnage qui fait passer ses amis avant lui, qui respect toujours ses principes, se bats toujours sans les mains, personnage toujours classe, mains dans les poches, une clope, tranquille zen. Pour moi c'est le PERSONNAGE LE PLUS CHARISMATIQUE de l'Ă©quipage et puis il vient d'une famille de sang "royal", pourtant il Ă  jamais frimĂ©, je kiff ce personnage qui reste trĂšs rĂ©servĂ©. Luffy Personnage principale de la sĂ©rie, je m'attarderais pas sur lui, je pense qu'on l'aime tous d'ailleurs. Kobby Pour moi ce personnage Ă  un trĂšs grand rĂŽle Ă  jouer au sein du Manga, c'est pour moi le Marine le plus honnĂȘte/noble de cƓur et qui en plus apparaĂźt depuis le premier Ă©pisode avec Luffy, pour moi sa cache quelque chose. Kaido Ce Yonko attire particuliĂšrement mon attention, il semble ĂȘtre juste immortel et sa puissance de frappe parait inhumaine, d'ailleurs Big Mom le catĂ©gorise comme Ă©tant une chose et non un humain, de plus en plus intĂ©ressant ! Ben Beckmann je le prĂ©fĂšre Ă  Zoro et tout comme Shanks lui mĂȘme ce personnage est trĂšs curieux et semble avoir un calme imperturbable et une force dĂ©mesurĂ©. De plus Oda le caractĂ©rise comme Ă©tant le personnage ayant le plus grand QI du manga. modifiĂ©e par 66Sanji66BlueJam/Higuma Wiper/Calgara Kuma/Kizaru Sengoku/Magellan Doflamingo/Teach modifiĂ©e par Un utilisateur de Fandom1- Law Bon et luffy parce que c'est le hĂ©ros. Mais j'ai vraiment rien d'un fan boy avec lui 2- Sanji / Marco / Katakuri / Doflamingo / Jack 3- Robin / BartolomĂ©o 4- Yonko Big Mom / Kaido / BB/ Shanks / Teach 5- Mugiwara no ichimi jinbei et Flotte compris BONUS Caesar / Sabo modifiĂ©e par Un utilisateur de FandomZoro Luffy Hancock Crocodile Doflamingo Et juste aprĂšs la petite fille qui accompagne les mugi a enies lobby modifiĂ©e par FritouAce je l'aime trop !l Zoro Trop badass.. Nami Navigatrice de rĂȘve Luffy Toujours drĂŽle Law ex aequo avec Jewelry Bonney Law parce qu'il est bizarre et Jewelry ben...je sais pas je l'aime bien modifiĂ©e par Portgas D me LĂ maintenant tout de suite on est bien, on est posĂ© entre couilles, alors tu peux l'avouer: tu kiffes la sĂ©rie The Walking Dead. D'ailleurs en plus d'avoir un One Piece ForumIci, tous les fans de One Piece se rassemblent ! Bienvenue à toutes et à tous dans le monde de One Piece, passez une bonne visite ! ~ Le Deal du moment Coffret PokĂ©mon Ultra Premium Dracaufeu 2022 en ... Voir le deal Celafait maintenant 2 semaines que vous restez sur une plage Ă  pĂȘcher pour survivre. Heureusement pour vous, Paimon est Ă  vos cĂŽtĂ©s depuis que vous l'avez repĂȘchĂ©e des profondeurs. Qui est-elle ? Un casse-croĂ»te d'urgence bien sĂ»r, mais plus important : elle sera votre guide pour la plus grande aventure de votre vie. Bienvenue, dans Genshin impact ! Portgas D. Ace Portgas D. Ace de son vrai nom Gol D. Ace aussi surnommĂ© Ace aux Ace aux Poings Ardents. Ace est mon personnage prĂ©fĂ©rĂ©, il est un frĂšre aimant, un subordonnĂ© loyal et un des personnages les plus fort de l’univers de One piece et comme son frĂšre il est plutĂŽt marrant ! Il est e personnage qui me manque le plus mĂȘme aprĂšs tout ce temps, sa mort a Ă©tĂ© une vraie tragĂ©die que tous les amoureux de One piece se souviennent ! Il n’a Ă©tĂ© un pirate que pendant 3 ans vous les ordres d’un des plus grand pirates de tous les temps, Barbe Blanche ! On va dĂ©couvrir lors de son exĂ©cution qu’il est le fils de Gold D. Roger !Ma citation prĂ©fĂ©rĂ©e de Ace On doit vivre de façon Ă  n'avoir jamais aucun regret. Un jour nous prendrons la mer et nous vivrons notre vie comme nous le voulons, plus libre que quiconque ! » Shanks Shanks surnommĂ© le roux » est celui qui a inspirĂ© Ă  Luffy de devenir un pirate, c’est aussi lui qui a offert Ă  Luffy son chapeau dont son surnom Chapeau de paille. Il et aussi un Yonko un des 4 grand pirates des mers ! Il est aussi celui qui a mis fin Ă  la grande guerre Ă  Marinford ! Il est personnage principale dans l’histoire de One piece sans aucun doute !Shanks n’a pas une grande flotte, son Ă©quipage est plutĂŽt rĂ©duit mais chaque membre de son Ă©quipage est puissant et aussi intĂ©ressent que lui ! MalgrĂ© sa force incomparable, il n’a jamais manger un fruit de dĂ©mon, mais son Haki fait de lui un grand combattant ! Je finis par rappelle qu’il a perdu son bras gauche pour sauver Luffy !Ma citation prĂ©fĂ©rĂ©e de Shanks Ne t'en fais pas, un bras en moins c'est pas un drame, ce qui est important c'est que tu sois sain et sauf. » Monkey D. Luffy Duffy le personnage principal de One piece, est drĂŽle, fort, loyal et il fait de ce Manga ce qu’il est ! Il est un garçon qui fait tout afin de rĂ©aliser son rĂȘve de devenir le roi des pirates. Il a mangĂ© le fruit de dĂ©mon GOMU GOMU NO qui a fait de lui un homme Ă©lastique mais qui malheureusement lui rend impossible de nager ! Ce qui le dĂ©finit Ă  part sa bonne humeur, est sa loyautĂ© Ă  ses amis et compagnons et son grand coeur qui l’oblige d’aider les dĂ©munis Ă  chaque occasion. Il n’abandonne jamais un ami et ne baisse jamais les bras mĂȘme dans les moments difficile. Il a le Haki des rois dont seul une minoritĂ© de personne possĂšdent qui fait plus de lui un personnage unique. Il va devenir rapidement cĂ©lĂšbre surtout aprĂšs la bataille de Marinford, connu surtout pour les troubles qu’ils causent n’importe oĂč il met ses citation prĂ©fĂ©rĂ©e de Luffy Le Roi des Pirates, ce sera moi ! » Roronoa Zoro Roronoa Zoro est le bras droit de Luffy, le premier membre de son Ă©quipage. Avant de devenir pirate, il Ă©tait un chasseur de prime ! Pour moi il est le plus cool Ă©pĂ©iste de tous One Piece mĂȘme plus cool que Hawk c’est dire !. Sa loyautĂ© pour Luffy est illimitĂ© et sa loyautĂ© pour son capitaine est un principe inviolable ! Son rĂȘve depuis son enfance est devenir le meilleur Ă©pĂ©iste du monde, un rĂȘve pas si facile que çà vu la prĂ©sence de Hawk qu’on dĂ©couvre dĂšs les premiers Ă©pisodes. Il est connu pour son mauvais sens de la direction, sa capacitĂ© de dormir n’importe oĂč n’importe quand et son amour pour la biĂšre. Son style de combat est unique vu qu’il utilise plusieurs Ă©pĂ©es, il est si fort qu’on croit des fois qu’il est la vrai capitaine des citation prĂ©fĂ©rĂ©e de Roronoa Zoro À quoi te sert ton ambition si tu ne peux pas protĂ©ger ton capitaine ? » Barbe Blanche Barbe Blanche de son vrai nom Edward Newgate aussi connu comme l’homme le plus fort du monde. Il est le capitaine des pirates de Barbe Blanche connu comme Ă©tant le rival de Gold D. Roger. On va le dĂ©couvrir pendant la bataille lĂ©gendaire de Marinford ! Il considĂšre son Ă©quipage comme sa propre famille et chaque membre de son Ă©quipage le considĂšre comme son pĂšre. Sa mort est une des scĂšnes les plus cultes de l’anime One Piece, malgrĂ© tous les coups qu’il pris il est mort en restant debout, un moment Ă©mouvant ! Il a aussi rĂ©animer le mystĂšre du One Piece car avant sa mort il a dĂ©clarĂ© que le One Piece existe citation prĂ©fĂ©rĂ©e de Barbe Blanche Je suis l'homme au top de l'Ăšre nommĂ©e Barbe Blanche ! Il n'y a aucun navire pouvant me transporter vers la nouvelle Ăšre ! »Episode de One piece VFEpisode de One Piece VOSTFRScan de One PiecePage WIKI de One piece Lefilm One Piece - Red est Ă©galement prĂ©vu au cinĂ©ma pour le 10 aoĂ»t prochain dans les salles françaises, seulement quatre jours aprĂšs la date japonaise. Ce long-mĂ©trage suivra Luffy et
DĂ©butPage prĂ©cedentePage suivanteFin Alors...31 c'est Le Sunny Et 03 c'est chopper donc Chopper affronte Kaku humain dans le Sunny! Mais Baggy lui pĂ©ta la gueule Et moria arrive, absorbe les mille ombres et dĂ©truit le Sunny donc chopper,kaku et baggy se noie car il ont mangĂ© un fruit du dĂ©mon kokoro est morte car elle c'est fais pĂ©ter les gueule par baggy et moria crĂšve aussi car il tombe Ă  l'eau... et il a aussi manger un fruit du dĂ©mon... Mais le sunny est de retour mais ... en piĂšce... Et un petit petit pantin de boue tout pourris fais sont apparition mais il sont tous mort donc il dĂ©truit le sunny un peu plus donc il tomba Ă  l'eau et mourra avec le sunny... Moria est mort donc il ne reviens pas... Et lucci panthĂšre penser sauver son coĂ©quipier mais il tombat aussi Ă  l'eau donc il est mort aussi Et arlong qui Ă©tait sous l'eau entrain de les regarder se marra Et luffy tua arlong qar il est en colĂšre et il mourra dans l'eau aussi fin de l'histoire... aors que calgara se marais depuis les Îles cĂ©lĂ©stes .......... ben oui , 32 sec = calgara , il est arrivĂ© Ă  32 sec je vais faire mon histoire perso ! toast alors que Nami cherchait un trĂ©sor sur une Ăźle pendant que les autres cherchaient ... le gardien du destin pour lui pĂ©ter saggle , elle tomba sur ... barbe noire , qui voulait Ă©viter de perdre son trĂ©sor , car il sait de quoi Nami est capable , c'est alors qu'il appela ... Kizaru , pour l'aider Ă  dĂ©foncer Nami , qui appela Ă  son tour ... Perona , qui Ă©tait d'ailleurs devenue son amie , et qui appela elle mĂȘme ... Spandam , qui Ă©tait devenu un zombie Ă  cause de Moria , mais barbe noire et Kizaru appelĂšrent ... DĂ©butPage prĂ©cedentePage suivanteFin Victime de harcĂšlement en ligne comment rĂ©agir ?
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